Sisyphe wrote:- L'efficacité est quasi-nulle
À peu de choses près la même qu'un bain
sans lessives.
Si tant de gens s'y mettent et les trouvent efficaces, c'est précisément que notre linge n'est pas sale. On peut se contenter de laver à l'eau chaude un bon tiers de notre linge. :
Ma mère en utilise, et en est satisfaite
Sisyphe wrote:
Oui, les noix du Sapindus mukorossi sans s et sans majuscule (faute dans l'article), sont écolos, mais... Elles viennent des Indes ! Par avion ! Autrement dit, votre noix écolos-bobo-bio, elle a dix milles kilomètres de kérosène dans les papattes !
... J'ignore en fait (youhou, Patmos !?) si l'arbre a été acclimaté chez nous dans ce but, mais j'ai l'impression que non. Bon, peut-être que ça va se développer, mais je suis pas sûr que ça ne soit pas dangereux non plus : d'ici à ce qu'elle se transforme en espèce invasive. :
Pour transport, ce n'est pas périssable, ça peut venir par bateau ! Il faut relativiser, on achéte tous qsouvent des biens qui beaucoup voyagé, et en plus un impact écologique bien plus important à la production (alimentation, textile, petit électroménager....) !
Pour la plante, ben non, le Sapindus est bien "trop pical" pour être cultivable en France.
Sisyphe wrote:
Des détergents végétaux, toutes les sociétés en ont connu. Autrefois, on utilisait du son ou de la résine de pin ; ou de la cendre (mais là, il faut la produire et en tant que telle ça pollue). Le sureau, aussi, contient me semble-t-il de la saponine. Bon, je laisse Patmos nous expliquer tout ça et contredire mes énormités, mais grosso modo, si on veut être écolo, je pense qu'il conviendrait plutôt de s'intéresser aux essences de chez nous (
et puis d'ici qu'un gros c** fasse breveter le/la* Sepindus en question, et interdise aux Indiens de le cultiver...) :
Chez on a la saponaire (
Saponaria officinalis)qui était utilisé autrefois pour faire la lessive. Pour en dire plus ilfaut que je fasse des recherches.Une plante sauvage n'est pas brevetable, par contre une sélection qui contiendrait 3 ou 4 fois plus de matière "lavante" le serait (comme le serait une variété à feuilles panaché), une méthode d'extraction de la matière active serait brevetable également.
.
*En latin tous les noms d'essences sont féminin, mais je crois que l'usage scientifique consacre le masculin. Paaaatmos ! Au secours... .
Comment ça, Sysiphe me demande un avis sur le latin, à moi qui en ai arrêté l'étude avant d'avoir commencé !!!
Bon, en fait non, les non de genre peuvent être masculin, féminin ou neutre, le nom d'espèces s'accorde avec celui du genre. Après j'en sais rien, un usage de mettre les nom d'arbres au féminin, je n'en jurerai pas, mais il je ne pense pas ?
Quelques exemple (le laisse Sysiphe faire les commenraire grammaticaux):
Charme:
Carpinus betulus (je le vrait bien masculin celui là)
Chêne;
Quercus robur, Q. petreae, Q. ilex, Q. cerris, Q. tozza, Q. suber, Q. pyrenaica.
Frêne:
Fraxinus excelsior, F. ornus
Hêtre:
Fagus sylvatica
Sorbier, cormier et alisier: Sorbus aucuparia, S. domestica, S. aria, S. latifolia,
Erable:
Acer pseudoplatanus, A. platanoides, A. campestre
Bouleau:
Betula verrucosa, B. papyrifera
Peuplier:
Populus alba, Populus nigra,
Pin:
Pinus maritima, P. nigra, P. sylvatica, P. cembra
Sapin:
Abies alba
Méléze:
Larix decidua,
Epicea:
Picea abies, P. serbica
Orme:
Ulmus campestris, U. glabra
Tilleul:
Tilia cordata, T. platyphyllos
Cyprès:
Cupressus sempervirens
Aulne:
Alnus incana, A. glutinosa
Noisetier:
Corylus avellana, C. maxima,
Poirier:
Pyrus communis
Noyer:
Juglans regia
). Si jamais tu sais que tu ne seras pas là à temps pour le sortir, fais un arrêt cuve pleine, et puis tu l'essoreras plus tard.
. Si ça ce strouve, y'en a partout par ici, et je vais pouvoir faire des tests 
