Bonjour, je suis en maîtrise d'arts plastiques et ai réalisé un échiquier de 2 m². J'ai une question très importante: On m'a dit que ls anciens échiquiers étaient en rouge et vert et non en noir et blanc; Pourriez vous me renseigner? C'est très important pour mon interprétation.
Je vous remercie et à bientôt.
Echecs et couleurs
Je ne suis pas certaine que tu sois sur la bonne partie de ce forum, consacrée aux langues...
Les échecs chinois sont effectivement en rouge et vert (plus d'infos sur ce site.
Pas certain que ce soit une histoire d'ancienneté vu que c'est un jeu arabe. A creuser cependant...
Pas certain que ce soit une histoire d'ancienneté vu que c'est un jeu arabe. A creuser cependant...
ah, oui? moi j'avais vu que c'était d'origine indienne...(mais les indiens sont encore plus chauvin que les français alors....kokoyaya wrote: Pas certain que ce soit une histoire d'ancienneté vu que c'est un jeu arabe. A creuser cependant...
)et pis de toute façon le monde arabe et indien ont échangé beaucoup de chose alors après les chiffres, p'tèt que les indiens leur ont aussi appris les échecs?
Le mot espagnol est en tout cas d'origine arabe (puisque ce sont eux qui y ont introduit le jeu).daraxt wrote:ah, oui? moi j'avais vu que c'était d'origine indienne...(mais les indiens sont encore plus chauvin que les français alors....
A confirmer mais il me semble qu'il en est de même pour le français.
A l'origine, le jeu n'avait pas de cases de couleur. Elles vinrent ensuite au cours des transformations.
Nom : du persan shah (roi). "Échec et mat" signifiant "Le roi est mort".
Un prince indien très riche, Bathait, très amateur de conquètes guerrières, après avoir vaincu tous ses voisins passait ces journées à s'ennuyer. Il demanda à ses sages de lui inventer quelques choses pour faire cesser cet ennui.
Le sage Sissa, un brahmane, eut l'idée de se faire affronter des armées sur un plateau plutôt que sur une plaine. Il lui apporta un nouveau jeu : le Chaturanga. La date est imprécise, entre 531 et 578 après JC.
Chaturanga, ce qui signifie "quatre rois". Il se disputait également sur 64 cases, mais, à l'origine, se jouait à 4 partenaires. Chacun jouait pour soi-même et devait lancer un dé qui désignait impérativement la pièce a bouger.
Le prince trouva ce jeu passionnant et y joua des journées entières. Pour remercier Sissa, il lui demanda quelle récompense lui ferait plaisir. Le sage répondit qu'il voudrait le nombre de grains de blé nécessaire pour remplir l'échiquier de la façon suivante : 1 grain sur la première case, 2 sur la seconde, 4 sur la troisième, 8 sur la quatrième... etc en doublant le nombre de grains jusqu'a la 64ième case. Le prince trouva cette demande bien modeste.
En réalité le nombre de grain à réunir est astronomique et irréalisable ! En effet, le nombre précis est 2^64 - 1 (2 à la puissance 64, c'est-à-dire 2x2x2x2x2...64 fois) ce qui donne précisément : 18 446 744 073 709 551 615.
Le jeu fût introduit en Europe par les Arabes, sous le nom de Shatranj. Haroun-al-Rachid en aurait offert un jeu à Charlemagne.
Quelques autre précisions sur la façon de jouer :
http://www.geocities.com/csagne/echecs.html
Nom : du persan shah (roi). "Échec et mat" signifiant "Le roi est mort".
Un prince indien très riche, Bathait, très amateur de conquètes guerrières, après avoir vaincu tous ses voisins passait ces journées à s'ennuyer. Il demanda à ses sages de lui inventer quelques choses pour faire cesser cet ennui.
Le sage Sissa, un brahmane, eut l'idée de se faire affronter des armées sur un plateau plutôt que sur une plaine. Il lui apporta un nouveau jeu : le Chaturanga. La date est imprécise, entre 531 et 578 après JC.
Chaturanga, ce qui signifie "quatre rois". Il se disputait également sur 64 cases, mais, à l'origine, se jouait à 4 partenaires. Chacun jouait pour soi-même et devait lancer un dé qui désignait impérativement la pièce a bouger.
Le prince trouva ce jeu passionnant et y joua des journées entières. Pour remercier Sissa, il lui demanda quelle récompense lui ferait plaisir. Le sage répondit qu'il voudrait le nombre de grains de blé nécessaire pour remplir l'échiquier de la façon suivante : 1 grain sur la première case, 2 sur la seconde, 4 sur la troisième, 8 sur la quatrième... etc en doublant le nombre de grains jusqu'a la 64ième case. Le prince trouva cette demande bien modeste.
En réalité le nombre de grain à réunir est astronomique et irréalisable ! En effet, le nombre précis est 2^64 - 1 (2 à la puissance 64, c'est-à-dire 2x2x2x2x2...64 fois) ce qui donne précisément : 18 446 744 073 709 551 615.
Le jeu fût introduit en Europe par les Arabes, sous le nom de Shatranj. Haroun-al-Rachid en aurait offert un jeu à Charlemagne.
Quelques autre précisions sur la façon de jouer :
http://www.geocities.com/csagne/echecs.html
Last edited by arkayn on 07 Mar 2004 16:42, edited 1 time in total.
La folie des uns est la sagesse des autres
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marinala_b
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Echec
Merc Arkayn pour tes précisions 
En Inde, les règles du jeu sont différentes de celles pratiquées ici;
les pions ne peuvent se déplaçer que d'une case au départ
le pion arrivé au bout des cases adverses reste pion et ne peut se transformer en "reine"
etc
En Inde, les règles du jeu sont différentes de celles pratiquées ici;
les pions ne peuvent se déplaçer que d'une case au départ
le pion arrivé au bout des cases adverses reste pion et ne peut se transformer en "reine"
etc
Re: Echec
C'est pas le jeu de dames ça ?Vikr wrote:le pion arrivé au bout des cases adverses reste pion et ne peut se transformer en "reine"
Au échecs aussi, le pion qui parvient dans la dernière rangée de l'adversaire prends du galon. Il peut devenir au choix tour, fou, cavalier, dame si cette pièce a déjà été prise par l'adversaire.
Il n'y aura donc pas deux ou trois dames dans le jeu par joueur. Contrairement au jeu de dames.
Il n'y aura donc pas deux ou trois dames dans le jeu par joueur. Contrairement au jeu de dames.
La folie des uns est la sagesse des autres