Pourquoi pas des contrepétries ?
Pourquoi pas des contrepétries ?
Vous savez c'est un jeu de langue qui consiste à intervertir des parties d'une phrase banale pour en faire une autre le plus souvent grivoise : mais attention personne ne doit donner la solution !
Mais alors où faudrait-il les ranger ?
Mais alors où faudrait-il les ranger ?
مع السلامة
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Mais c'est très facile, voyons ! C'est toujours la même chose :ann wrote: ça pourrait etre bien, meme si je sais déjà que je ne pigerai rien si on ne me donne pas la solution: j'achetais le Canard toutes les semaines quand j'étais "jeune" et essayais vainement de lire l'Album de la comtesse, j'ai jamais réussi à en trouver - meme pas une, meme pas une
Tu repères le mot en -ouille, -u(l), -ite, -ine, -culer, -aiser, -ucer, etc. et tu as donc la première combinaison. Les autres s'enchaînent très logiquement...
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Le problème, mon cher Latinus, c'est que par nature, le contrepet ( le même lui-même est admirable d'ambiguïté...) est obscène, puisque à l'instar du calembour, de l'équivoque, de l'attente de rime et du kakemphaton*, il a pour fonction de cacher, tout en montrant fortement qu'il cache quelque chose, et que ce quelque chose mérite qu'on le décèle...Latinus wrote:Autant le dire d'entrée, que ces "contrepétries" soient fines d'esprits et de vocabulaire.
... Je ne vois guère comment nous pourrions échapper à de ces choses qui font rougir les dames. Mais il est vrai, comme le disait Jean-Louis Ezine, que "le fétichisme et la pornographie peuvent être traités de manière absolument saine et pure" ( j'aurais pu la proposer au Kikadi celle-là).
Bref, à nous de censurer les c**illes, les b*tes et cha*te (:jap: effectivement, Blood, je n'y avais point songé) pour éviter les foudres censurantes de Google.
A nous surtout de faire assaut d'esprit pour que ces vulgarités s'élèvent au rang du sublime. Pour être drôle, la grossiéreté, comme le violon, n'admet pas la médiocrité !
Vous voudriez bien savoir ce qu'est le kakemphaton, n'est-ce pas ? Apprenez, o ignoranti que le kakemphaton est un calembour produit par l'enchaînement de deux mots, spécialement quand une liaison vient s'y ajouter.
Exemple célèbre et littéraire, puisqu'il est de Corneille : "vous me connaissez mal, la même ardeur me brûle / et le désir s'accroît quand l'effet se recule" (à prononcer vite) ; ou cet autre d'une célèbre chanson grivoise : "on est jamais trop aidé"...
... Récemment mon prof de 18e a affirmé en cours : "Beaumarchais a trop_axé ses deux personnages sur ... [un silence]... tro(p) | h'axé ses deux personnages etc."
Tu m'as mal compris, je pense, quand je lis tes exemples ci-après.Sisyphe wrote: Le problème, mon cher Latinus, c'est que par nature, le contrepet ( le même lui-même est admirable d'ambiguïté...) est obscène, puisque à l'instar du calembour, de l'équivoque, de l'attente de rime et du kakemphaton*, il a pour fonction de cacher, tout en montrant fortement qu'il cache quelque chose, et que ce quelque chose mérite qu'on le décèle...
On peut rougir sans être choqué, et je ne pense pas forcément aux dames qui peuvent très bien rendre la pareille à ses messieurs ; je pense au très jeune public (je me souviens même d'une personne venant sur le forum accompagnée de son tuteur).... Je ne vois guère comment nous pourrions échapper à de ces choses qui font rougir les dames. Mais il est vrai, comme le disait Jean-Louis Ezine, que "le fétichisme et la pornographie peuvent être traités de manière absolument saine et pure" ( j'aurais pu la proposer au Kikadi celle-là).
C'est bien de ce genre de choses dont il est question dans mon "autant le dire d'entrée".Bref, à nous de censurer les c**illes, les b*tes et cha*te (:jap: effectivement, Blood, je n'y avais point songé) pour éviter les foudres censurantes de Google.
D'autant plus que c'est facile... bête et aux antipodes d'un forum très très très littéraire !
Entièrement d'accordA nous surtout de faire assaut d'esprit pour que ces vulgarités s'élèvent au rang du sublime. Pour être drôle, la grossiéreté, comme le violon, n'admet pas la médiocrité !
Voilà justement ce que j'appelle de la finesse d'esprit et de vocabulaire ; comme quoi, nous sommes d'accord !Exemple célèbre et littéraire, puisqu'il est de Corneille : "vous me connaissez mal, la même ardeur me brûle / et le désir s'accroît quand l'effet se recule" (à prononcer vite) ; ou cet autre d'une célèbre chanson grivoise : "on est jamais trop aidé"...
... Récemment mon prof de 18e a affirmé en cours : "Beaumarchais a trop_axé ses deux personnages sur ... [un silence]... tro(p) | h'axé ses deux personnages etc." [/size]
Lat.
Les courses hippiques, lorsqu'elles s'y frottent.