[Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
- Ankhsenamon
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Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
"Montre-moi enlève-moi
Tu seras comme le héros de mes rêves
Les frissons et les larmes
C´est encore la même histoire romantique
Mais de toi je ferai ce que je voudrai
Mais de toi je ferai ce que je voudrai
Et si tu prends mon cœur ça ne me fait pas peur
et si tu prends mon corps tu n´as pas vraiment tort..."
NIAGARA, Tchiki Boum
Tu seras comme le héros de mes rêves
Les frissons et les larmes
C´est encore la même histoire romantique
Mais de toi je ferai ce que je voudrai
Mais de toi je ferai ce que je voudrai
Et si tu prends mon cœur ça ne me fait pas peur
et si tu prends mon corps tu n´as pas vraiment tort..."
NIAGARA, Tchiki Boum
"La pause, elle aussi, fait partie de la musique" Stefan ZWEIG
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Tu parles à tort des gens que tu ne connais pas
tu dis bien fort ce que l'on pense tout bas
tu fais:" Bla bla bla bla "
c'est trop, et trop
Tu parles à tort, si la parole est d'argent
j'aurai bientôt fait fortune en t'écoutant
tu fais:" Bla bla bla bla "
c'est trop, et trop
Richard Anthony : tu parles trop
tu dis bien fort ce que l'on pense tout bas
tu fais:" Bla bla bla bla "
c'est trop, et trop
Tu parles à tort, si la parole est d'argent
j'aurai bientôt fait fortune en t'écoutant
tu fais:" Bla bla bla bla "
c'est trop, et trop
Richard Anthony : tu parles trop
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
- Ankhsenamon
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Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Tant pis je vais quand même "parler" trop et la coller entière, cette chanson-là, parce que je la trouve magnifique et qu'elle m'est particulièrement touchante et chère!...
"Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu'on connaît à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais
A celle qu'on voit apparaître
Une seconde à sa fenêtre
Et qui, preste, s'évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanoui
A la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré la main
A celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
Près d'un être trop différent
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D'un avenir désespérant
Chères images aperçues
Espérances d'un jour déçues
Vous serez dans l'oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu'on se souvienne
Des épisodes du chemin
Mais si l'on a manqué sa vie
On songe avec un peu d'envie
A tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre
Aux coeurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu'on n'a jamais revus
Alors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lèvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l'on n'a pas su retenir."
G. BRASSENS, Les passantes
"Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu'on connaît à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais
A celle qu'on voit apparaître
Une seconde à sa fenêtre
Et qui, preste, s'évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanoui
A la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré la main
A celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
Près d'un être trop différent
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D'un avenir désespérant
Chères images aperçues
Espérances d'un jour déçues
Vous serez dans l'oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu'on se souvienne
Des épisodes du chemin
Mais si l'on a manqué sa vie
On songe avec un peu d'envie
A tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre
Aux coeurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu'on n'a jamais revus
Alors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lèvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l'on n'a pas su retenir."
G. BRASSENS, Les passantes
"La pause, elle aussi, fait partie de la musique" Stefan ZWEIG
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Elle porte des rubans
qu'elle laisse s'envoler
elle me chante souvent
que j'ai tort d'essayer
de les retenir
de les retenir
je l'aime à mourir
pour monter dans sa grotte
cachée sous les toits
je dois clouer des notes
à mes sabots de bois
je l'aime à mourir
je dois juste m'asseoir
je ne dois pas parler
je ne dois rien vouloir
je dois juste essayer
de lui appartenir
de lui appartenir
je l'aime à mourir
Francis Cabrel : je l'aime à mourir
qu'elle laisse s'envoler
elle me chante souvent
que j'ai tort d'essayer
de les retenir
de les retenir
je l'aime à mourir
pour monter dans sa grotte
cachée sous les toits
je dois clouer des notes
à mes sabots de bois
je l'aime à mourir
je dois juste m'asseoir
je ne dois pas parler
je ne dois rien vouloir
je dois juste essayer
de lui appartenir
de lui appartenir
je l'aime à mourir
Francis Cabrel : je l'aime à mourir
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Viens mais ne viens pas quand je serais seule
Quand le rideau un jour tombera,
Je veux qu'il tombe derrière moi.
Viens mais ne viens pas quand je serai seule
Moi qui ai tout choisi dans ma vie
Je veux choisir ma mort aussi.
Il y a ceux qui veulent mourir un jour de pluie
Et d'autres en plein soleil,
Il y a ceux qui veulent mourir seuls dans un lit
Tranquilles dans leur sommeil
Dalida - Mourir sur scène
Quand le rideau un jour tombera,
Je veux qu'il tombe derrière moi.
Viens mais ne viens pas quand je serai seule
Moi qui ai tout choisi dans ma vie
Je veux choisir ma mort aussi.
Il y a ceux qui veulent mourir un jour de pluie
Et d'autres en plein soleil,
Il y a ceux qui veulent mourir seuls dans un lit
Tranquilles dans leur sommeil
Dalida - Mourir sur scène
Sonka - Сонька
I'm a father and I am a son but I don't know how to tell them that I have come undone
I'm a father and I am a son but I don't know how to tell them that I have come undone
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Tu n'as pas sommeil
tu fumes et tu veilles
t'es toute écorchée
t'es comme un chat triste
perdu sur la liste
des objets trouvés
la nuit carcérale
tombant sur les dalles
et ce lit glacé
aller et venir
soleil et sourire
sont de l'autre coté
Bernard Lavilliers : Betty
tu fumes et tu veilles
t'es toute écorchée
t'es comme un chat triste
perdu sur la liste
des objets trouvés
la nuit carcérale
tombant sur les dalles
et ce lit glacé
aller et venir
soleil et sourire
sont de l'autre coté
Bernard Lavilliers : Betty
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Comme si je n'existais pas
Elle est passée à côté de moi
Sans un regard reine de Saba
J'ai dit Aïcha prend tout est pour toi
Voici les perles, les bijoux
Aussi or autour de ton cou
Les fruits bien mûrs au goût de miel
Khaled - Aicha
Elle est passée à côté de moi
Sans un regard reine de Saba
J'ai dit Aïcha prend tout est pour toi
Voici les perles, les bijoux
Aussi or autour de ton cou
Les fruits bien mûrs au goût de miel
Khaled - Aicha
Sonka - Сонька
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- Ankhsenamon
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Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
"Dehors, derrière l'horizon,
Je revois ma maison,
Colorée de soleil
Et parfumée de miel.
On est Fin septembre,
Le froid se fait attendre.
Dehors, derrière l'horizon
J'entends pleurer mon nom,
Et perler sur ma couche
Les sanglots de ma douce.
On est Fin septembre,
Le froid se fait attendre.
Je revois mon foyer
Plein d'amour délaissé;
Les jours où j'l'ai maudit,
Rêvant d'un autre paradis.
Mais aujourd'hui mon Éden,
Reforgé par ma peine,
L'accueille en son coeur,
Plus près de mon coeur.
On est Fin septembre,
Le froid se fait attendre.
Et ce soir, je laisserai s'envoler
Mes rêves de liberté;
Cent mille espoirs inavoués.
Peut-être qu'en chemin,
Ils s'uniront au possible..."
Debout Sur Le Zinc, Fin Septembre
Je revois ma maison,
Colorée de soleil
Et parfumée de miel.
On est Fin septembre,
Le froid se fait attendre.
Dehors, derrière l'horizon
J'entends pleurer mon nom,
Et perler sur ma couche
Les sanglots de ma douce.
On est Fin septembre,
Le froid se fait attendre.
Je revois mon foyer
Plein d'amour délaissé;
Les jours où j'l'ai maudit,
Rêvant d'un autre paradis.
Mais aujourd'hui mon Éden,
Reforgé par ma peine,
L'accueille en son coeur,
Plus près de mon coeur.
On est Fin septembre,
Le froid se fait attendre.
Et ce soir, je laisserai s'envoler
Mes rêves de liberté;
Cent mille espoirs inavoués.
Peut-être qu'en chemin,
Ils s'uniront au possible..."
Debout Sur Le Zinc, Fin Septembre
"La pause, elle aussi, fait partie de la musique" Stefan ZWEIG
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
L'amour impossible
Il est là devant vous
comme un mur infranchissable
mais qui vous donne une force incroyable
l'amour impossible
vous l'avez dans le coeur
vous devenez fort pour deux
et mis à part d'être heureux
tout est possible
tout est possible
tout est possible
jamais vivre un moment avec elle
jamais votre nom quand elle appelle
imaginez-vous
le plus solitaire d'entre vous
sait la force des gens à genoux
jamais vivre un moment avec elle
jamais votre nom quand elle appelle
imaginez-vous
le plus solitaire d'entre vous
sait la force des gens à genoux
Michel Berger : tout est possible
Il est là devant vous
comme un mur infranchissable
mais qui vous donne une force incroyable
l'amour impossible
vous l'avez dans le coeur
vous devenez fort pour deux
et mis à part d'être heureux
tout est possible
tout est possible
tout est possible
jamais vivre un moment avec elle
jamais votre nom quand elle appelle
imaginez-vous
le plus solitaire d'entre vous
sait la force des gens à genoux
jamais vivre un moment avec elle
jamais votre nom quand elle appelle
imaginez-vous
le plus solitaire d'entre vous
sait la force des gens à genoux
Michel Berger : tout est possible
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
- Ankhsenamon
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Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Croyez-vous que je sois jaloux ? Pas du tout, pas du tout !
Moi j'ai un piège à fille, un piège tabou
Un joujou extra qui fait crac boum hu
Les fill's en tomb'nt à mes g'noux
J'ai pas peur des petits minets
Qui mangent leur ronron au Drugstore
Ils travaill'nt tout comme les castors
Ni avec leurs mains, ni avec leurs pieds
Jacques DUTRONC, Les playboys
Moi j'ai un piège à fille, un piège tabou
Un joujou extra qui fait crac boum hu
Les fill's en tomb'nt à mes g'noux
J'ai pas peur des petits minets
Qui mangent leur ronron au Drugstore
Ils travaill'nt tout comme les castors
Ni avec leurs mains, ni avec leurs pieds
Jacques DUTRONC, Les playboys
"La pause, elle aussi, fait partie de la musique" Stefan ZWEIG
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
J'traînais les pieds et des casseroles
J'n'aimais pas beaucoup l'école
J'traînais les pieds et mes guiboles abîmées
J'explorais mon quartier
J'traînais des pieds dans mon café
Olivia Ruiz - J'traîne des pieds
J'n'aimais pas beaucoup l'école
J'traînais les pieds et mes guiboles abîmées
J'explorais mon quartier
J'traînais des pieds dans mon café
Olivia Ruiz - J'traîne des pieds
Sonka - Сонька
I'm a father and I am a son but I don't know how to tell them that I have come undone
I'm a father and I am a son but I don't know how to tell them that I have come undone
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Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
On vide un café, on en touille un autre
Le temps passe de cafetière en cafetière
Marin affamé, on ronge la côte
On mange la soucoupe et la p'tite cuillère
La p'tite écuyère, d'ailleurs, viendra pas
C'est con de s'y faire ! Attendre, c'est beau !
L'horloge s'en fout, elle est déjà là
L'attente connaît jamais le repos
Ça te bat le cœur, te tient en éveil
Patron de mon spleen, remouds du café!
Ce soir, j'ai dû trop sucrer ma cervelle
Le jour tombe vite, l'aiguille s'y fait
J'attends, j'attendrai l'express de Bordeaux
Vers quinze expresso, Café des Tilleuls
Un dossier d'osier tressé dans mon dos
Et sur les genoux, un pot de glaïeuls
J'attendrai ton train en croquant des nems
Le temps qu'il faudra sous la Montparnasse
Clarika (Chez Leprest), Les tilleuls
Le temps passe de cafetière en cafetière
Marin affamé, on ronge la côte
On mange la soucoupe et la p'tite cuillère
La p'tite écuyère, d'ailleurs, viendra pas
C'est con de s'y faire ! Attendre, c'est beau !
L'horloge s'en fout, elle est déjà là
L'attente connaît jamais le repos
Ça te bat le cœur, te tient en éveil
Patron de mon spleen, remouds du café!
Ce soir, j'ai dû trop sucrer ma cervelle
Le jour tombe vite, l'aiguille s'y fait
J'attends, j'attendrai l'express de Bordeaux
Vers quinze expresso, Café des Tilleuls
Un dossier d'osier tressé dans mon dos
Et sur les genoux, un pot de glaïeuls
J'attendrai ton train en croquant des nems
Le temps qu'il faudra sous la Montparnasse
Clarika (Chez Leprest), Les tilleuls
"La pause, elle aussi, fait partie de la musique" Stefan ZWEIG
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Moi je n'implore qu'une grâce
C'est qu'elle passe la morte-saison
au cimetière du Montparnasse
à quatre pas de ma maison
Ainsi chantait, la mort dans l'âme
un jeune homme de bonne tenue
en train de ranimer la flamme
du soldat qui lui était connu
or, il advint que le ciel eut marre de
l'entendre parler de ses caveaux
et Dieu fit signe à la camarde
de l'expédier rue Froidevaux...
Mais les croque-morts, qui étaient de Chartres
funeste erreur de livraison
menèrent sa dépouille à Montmartre
de l'autre côté de sa maison
Georges Brassens : la ballade des cimetières
C'est qu'elle passe la morte-saison
au cimetière du Montparnasse
à quatre pas de ma maison
Ainsi chantait, la mort dans l'âme
un jeune homme de bonne tenue
en train de ranimer la flamme
du soldat qui lui était connu
or, il advint que le ciel eut marre de
l'entendre parler de ses caveaux
et Dieu fit signe à la camarde
de l'expédier rue Froidevaux...
Mais les croque-morts, qui étaient de Chartres
funeste erreur de livraison
menèrent sa dépouille à Montmartre
de l'autre côté de sa maison
Georges Brassens : la ballade des cimetières
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Quand je me tourne vers mes souvenirs
je revois la maison où j'ai grandi.
Il me revient des tas de choses:
je vois des roses dans un jardin.
Là où vivaient des arbres, maintenant
la ville est là
et la maison, les fleurs que j'aimais tant
n'existent plus.
Ils savaient rire, tous mes amis
ils savaient si bien partager mes jeux
mais tout doit finir pourtant dans la vie
et j'ai dû partir, les larmes aux yeux.
Mes amis me demandaient: "Pourquoi pleurer?"
et "Couvrir le monde vaut mieux que rester.
Tu trouveras toutes les choses qu'ici
on ne voit pas
toute une ville qui s'endort la nuit
dans la lumière."
Quand j'ai quitté ce coin de mon enfance
je savais déjà que j'y laissais mon c ur.
Tous mes amis, oui, enviaient ma chance
mais moi, je pense encore à leur bonheur.
à l'insouciance qui les faisait rire
et il me semble que je m'entends leur dire:
"Je reviendrai un jour, un beau matin
parmi vos rires
oui, je prendrai un jour le premier train
du souvenir."
La temps a passé et me revoilà
cherchant en vain la maison que j'aimais.
Où sont les pierres et où sont les roses
toutes les choses auxquelles je tenais?
D'elles et de mes amis plus une trace
d'autres gens, d'autres maisons ont volé leurs places.
Là où vivaient des arbres, maintenant
la ville est là
et la maison, où est-elle, la maison
où j'ai grandi?
Je ne sais pas où est ma maison
la maison où j'ai grandi.
Où est ma maison?
Qui sait où est ma maison?
Ma maison, où est ma maison?
Qui sait où est ma maison? ...
Françoise Hardy
Un peu de nostalgie
https://www.youtube.com/watch?v=g1cuQF8sEGA
je revois la maison où j'ai grandi.
Il me revient des tas de choses:
je vois des roses dans un jardin.
Là où vivaient des arbres, maintenant
la ville est là
et la maison, les fleurs que j'aimais tant
n'existent plus.
Ils savaient rire, tous mes amis
ils savaient si bien partager mes jeux
mais tout doit finir pourtant dans la vie
et j'ai dû partir, les larmes aux yeux.
Mes amis me demandaient: "Pourquoi pleurer?"
et "Couvrir le monde vaut mieux que rester.
Tu trouveras toutes les choses qu'ici
on ne voit pas
toute une ville qui s'endort la nuit
dans la lumière."
Quand j'ai quitté ce coin de mon enfance
je savais déjà que j'y laissais mon c ur.
Tous mes amis, oui, enviaient ma chance
mais moi, je pense encore à leur bonheur.
à l'insouciance qui les faisait rire
et il me semble que je m'entends leur dire:
"Je reviendrai un jour, un beau matin
parmi vos rires
oui, je prendrai un jour le premier train
du souvenir."
La temps a passé et me revoilà
cherchant en vain la maison que j'aimais.
Où sont les pierres et où sont les roses
toutes les choses auxquelles je tenais?
D'elles et de mes amis plus une trace
d'autres gens, d'autres maisons ont volé leurs places.
Là où vivaient des arbres, maintenant
la ville est là
et la maison, où est-elle, la maison
où j'ai grandi?
Je ne sais pas où est ma maison
la maison où j'ai grandi.
Où est ma maison?
Qui sait où est ma maison?
Ma maison, où est ma maison?
Qui sait où est ma maison? ...
Françoise Hardy
Un peu de nostalgie
https://www.youtube.com/watch?v=g1cuQF8sEGA
Avec tout le bonheur que se petafine dans le monde que d'heureux on pourrait faire.
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
coucou Miju
Un terrain vague, de vagues clôtures,
un couple divague sur la maison future.
on s'endette pour trente ans, ce pavillon sera le nôtre,
et celui de nos enfants corrige la femme enceinte.
les travaux sont finis, du moins le gros œuvre,
ça sent le plâtre et l'enduit et la poussière toute neuve.
Des ampoules à nu pendent des murs, du plafond,
le bébé est né, il joue dans le salon.
on ajoute à l'étage une chambre de plus,
un petit frère est prévu pour l'automne.
dans le jardin les arbres aussi grandissent,
on pourra y faire un jour une cabane.
Bénabar : quatre murs et un toit.
le dernier mot aurait du être "maison".Le premier joueur cite un passage de paroles de chansons (entre 2 et 8 « vers » maxi, selon l'humeur) (de 4 « vers » minimum) ; celles-ci peuvent être en français ou bien en toute autre langue (mais dans ce cas, il faut fournir une traduction libre entre parenthèses).
Le joueur suivant doit citer lui aussi un extrait de chanson contenant le dernier mot de la citation précédente.
Un terrain vague, de vagues clôtures,
un couple divague sur la maison future.
on s'endette pour trente ans, ce pavillon sera le nôtre,
et celui de nos enfants corrige la femme enceinte.
les travaux sont finis, du moins le gros œuvre,
ça sent le plâtre et l'enduit et la poussière toute neuve.
Des ampoules à nu pendent des murs, du plafond,
le bébé est né, il joue dans le salon.
on ajoute à l'étage une chambre de plus,
un petit frère est prévu pour l'automne.
dans le jardin les arbres aussi grandissent,
on pourra y faire un jour une cabane.
Bénabar : quatre murs et un toit.
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.