Latinus wrote:Heu, juste un conseil, préférez une râpe électrique (comme celle d'un robot ménager, par exemple) ... sinon vous allez suer même au milieu de l'hiver
Ah oui, j'avais oublié ça... déjà, rien que pour les peler les coins, c'est sympathique, alors là, je crois que je vais laisser tomber...
Enfin, je vais attendre de voir si tu survis !
Et puis, c'est pas un peu passé la saison des coings ?
Sonka - Сонька
I'm a father and I am a son but I don't know how to tell them that I have come undone
C'est très simple, mais il faut être assisté par un palmipède prénommé Coin (comme nombre de palmipèdes).
Dispose le fruit en question dans un angle de la pièce, demande au canard d'y mettre un peu d'huile et ça devrait marcher (en revanche, si tu n'arrives pas à ouvrir le coing qu'oint Coin dans le coin, achète des pommes ).
prstprsi wrote:Oui d'ailleur mon grand-père (spécialiste ès confitures, compotes et eaux-de-vie...) m'a dit de laisser tomber, que c'était trop dur (il me connaît )
Latinus, toi, peux-tu me répondre ? Comment ouvre t-on un coing ?
Ben, j'en ai débité quelques uns début décembre à la campagne (Mes hôtes préparaient de la pâte de coings) mais je n'ai pas souvenir d'une technique particulière.
Je pense que j'ai fait ça comme pour des pommes. Par contre, sur une planche(-ette) et non dans la main comme on le ferait pour une pomme ou une poire.
Comme c'est un fruit dur, le mieux est de le peler d'abord, de le couper ensuite en quartier (si la préparation l'exige sinon en deux ou... comme nécessaire) et de finir en l'épépinant.
Si tu veux faire de la pâte de coings ou de la gelée, conserve bien les pépins, c'est bourré de pectine (y'a pas mieux comme gélifiant bio).
J'avais la chance d'en faire régulièrement. J'avais un jardin avec cerisiers, pommiers, cognassiers, fraises, mûres... et en tendant la main à travers le grillage (avec autorisation du voisin ), framboises blanches.