Pourriez-vous m'aider à traduire ce texte en latin car je n'y connais rien.Merci.(c'est pour moi personnellement)123
"in quorum medio jacere dicunt corpus Divi tutelaris Canionis ibi reconditum a Leone laudatissimo ejus urbis episcopo, anno Domini 799. Ejus translationis festus dies celebratur 11 martii, festivitatis vero 15 maii; in qua die, quod mirum est dictu, ex lapideo loculo liquor pretiosus manare solet dulcis et omnibus infirmitatibus salutaris. Prope sacrarium visitur locus ubi asservatur simulacrum ejusdem sancti in altari compaginato ex candido marmore, vacuo tamen: in eo asservatur pastorale pedum martiris, quod per foramen conspicitur, et tangitur; aliquando vero per menses multos nec apparet,nec tangi potest; quod ferunt cum accidit flagellum, iram divinam haud longius abesse. Asservatur in argentea pretiosa statua ejusdem insignis reliquia ad populorum confugium, et devotionem."
latin
Moderators: kokoyaya, Beaumont, Sisyphe
Re: latin
Oui c'est bien ça Serenità, et c'est du latin facile à lire, pas du latin classique. 123, tu peux demander confirmation aux traducteurs sur Freelang, mais en gros ça dit:
au milieu de ceux-ci on dit que repose le corps du divin tutélaire (saint patron?) Canio(n), placé (caché?) là par Léon, le très loué évêque de cette ville, en l'an 799. Le jour festif de son transport est célébré le 11 mars, et celui de sa fête le 15 mai, jour où, ce qui est admirable à dire, de l'emplacement (cercueil?) de pierre un liquide précieux coule d'habitude, doux et salutaire pour toutes les maladies. Près du sanctuaire on visite le lieu où est conservé la représentation (statue?) de ce même saint sur un autel composé fait de marbre blanc, mais vide (creux): dans celui-ci est conservé le bâton de berger du martyr, que par un trou on regarde et on touche; parfois en vérité pendant de nombreux mois il n'apparait pas et ne peut non plus être touché; et ce fléau, on raconte que quand il arrive, la colère divine n'est pas absente plus longtemps. Est conservée dans la précieuse statue en argent du même (saint) une remarquable relique pour le recours et la dévotion des foules.
au milieu de ceux-ci on dit que repose le corps du divin tutélaire (saint patron?) Canio(n), placé (caché?) là par Léon, le très loué évêque de cette ville, en l'an 799. Le jour festif de son transport est célébré le 11 mars, et celui de sa fête le 15 mai, jour où, ce qui est admirable à dire, de l'emplacement (cercueil?) de pierre un liquide précieux coule d'habitude, doux et salutaire pour toutes les maladies. Près du sanctuaire on visite le lieu où est conservé la représentation (statue?) de ce même saint sur un autel composé fait de marbre blanc, mais vide (creux): dans celui-ci est conservé le bâton de berger du martyr, que par un trou on regarde et on touche; parfois en vérité pendant de nombreux mois il n'apparait pas et ne peut non plus être touché; et ce fléau, on raconte que quand il arrive, la colère divine n'est pas absente plus longtemps. Est conservée dans la précieuse statue en argent du même (saint) une remarquable relique pour le recours et la dévotion des foules.
Re: latin
Je suis allé voir par Google où c'était, et sur la page officielle de la ville acerenza.com (sur Cattedrale > Interno > seconda parte) il y a un prodige de ce bâton présenté comme réel, ça rend tout de suite beaucoup plus proche le monde moyenâgeux de ce texte latinOlivier wrote:le bâton de berger du martyr, que par un trou on regarde et on touche
"... importanti a sapersi quando si considera un fenomeno mai spiegato e inspiegabile con le leggi della fisica, cioè il fatto che detto bastone si muove spontaneamente per cui a volte è talmente vicino all'apertura da potersi toccare con le dita, altre invece è a metà o in fondo."
- bref le bâton bouge tout seul: il recule à l'idée d'être touché par certaines personnes?
-- Olivier