Bonjour à tous,
suite à la lecture d'un article de M. Polac dans Charlie Hebdo (Ben oui, je vais pas lire que le Monde diplomatique...), je me permets de poster ce petit sujet.
En effet, il semble qu'une polémique agite le petit monde des sinologues Français. D'un côté, nous avons François JULLIEN (dont je n'ai lu que deux livres: "Eloge de la Fadeur" et "La propension des choses") et de l'autre, Jean-François BILLETER ( "contre François Jullien", mais je ne l'ai pas lu).
En gros, Billeter reproche (selon l'article de presse) à F. Jullien une traduction orientée du mot "Tao" , l'exaltation d'une spécificité chinoise et une grille de lecture de la Chine à travers le concept de la "fadeur".
Et nos sinologues (sans ironie) du Forum, qu'en pensent-ils ?
Sinologue ? vous avez dit sinologue ?
-
- Guest
-
- Guest
Non, je ne crois pas...
Voilà un lien vers la 4e de couverture:
http://isabelledescharbinieres.hautetfo ... deur1.html
Et un lien vers un commentaire
http://www.volle.com/lectures/fadeur.htm
Voilà un lien vers la 4e de couverture:
http://isabelledescharbinieres.hautetfo ... deur1.html
Et un lien vers un commentaire
http://www.volle.com/lectures/fadeur.htm
-
- Guest
-
- Guest
En fait, j'avais vraiment beaucoup aimé "la propension des choses" mais, après ces critiques, j'avoue que je doute un peu.
Moi, l'idée générale de "la propension des choses" me semblait logique: la force "dynamique" des choses en fonction de leur disposition. (il s'agit de mon interprétation).
Ex: dans une bataille, la disposition correcte des armées emporte la victoire (et à la limite, prévisible avec cette seule disposition).
Je pense que cette idée est traduite par "CHE" (de mémoire).
Moi, l'idée générale de "la propension des choses" me semblait logique: la force "dynamique" des choses en fonction de leur disposition. (il s'agit de mon interprétation).
Ex: dans une bataille, la disposition correcte des armées emporte la victoire (et à la limite, prévisible avec cette seule disposition).
Je pense que cette idée est traduite par "CHE" (de mémoire).