traduction français -> allemand

Bienvenue sur le forum Freelang.com !

Moderators: kokoyaya, Beaumont, Sisyphe

Post Reply
Lehrling
Guest

traduction français -> allemand

Post by Lehrling »

Bonjour,

J'essaye de m'entraîner et d'améliorer mon allemand (actif). J'ai traduit un petit texte du français vers l'allemand et j'aimerais avoir l'avis de germanistes/germanophones ...
Quelqu'un peut-il m'indiquer les fautes qui m'ont échappées et les constructions vraiment bizarres pour un germanophone ?
Merci beaucoup :jap:


Le texte original :

- Nous allons être en retard !
- Eh bien ! Ils attendront !
Armand Boisier jeta un regard amusé à sa fille qui tenait le volant. Elle lui avait répliqué comme l'aurait fait sa mère, autrefois. Avec une joyeuse insolence. Isabelle aussi ne manquait pas de lui rappeler à l'occasion qu'il n'était pas n'importe qui ! Elle l'encourageait même à se montrer plus exigeant dans ses discussions avec son éditeur. Durant toute sa jeunesse, Sandrine, qu'on appelait tendrement Sandy en famille, avait entendu seriner que, si son père pouvait superbement écrire, il ne savait malheureusement pas défendre ses intérêts. C'était toujours la même rengaine d'affectueux reproches. Depuis sept ans qu'Isabelle était morte, Sandy avait si bien pris la relève qu'en cet instant Armand Boisier ne savait plus au juste laquelle des deux était assise à sa gauche, dans la voiture. N'ayant jamais voulu passer son permis, il s'abandonnait mollement à la sensation d'une direction et d'une vitesse que des mains de femme contrôlaient pour lui. Cela lui permettait de réfléchir commodément à l'étrangeté de sa condition actuelle.



Ma traduction :

- Wir werden spät sein !
- Na und ! Sie werden warten !
Armand Boisier warf einen belustigten Blick auf seine Tochter, die am Steuer saß. Sie hatte ihm erwidert, wie ihre Mutter es damals getan hätte. Mit einer fröhlichen Frechheit. Bei Gelegenheit pflegte auch Isabelle ihm daran zu erinnern, dass er nicht irgendjemand war ! Sie ermutigte ihn sogar mehr von seinem Verlag zu verlangen. Ihre ganze Jugend lang hatte Sandrine, die mit Zärtlichkeit im Familienkreis Sandy genannt wurde, immer wieder gehört, dass wenn ihr Vater wunderbar schreiben konnte, konnte er seine Interesse leider nicht verteidigen. Es war immer die alte Leier liebevoller Vorwürfe. Seit sieben Jahren war Isabelle tot, und Sandy hatte ihre Rolle so gut übernommen, dass in diesem Augenblick Armand Boisier nicht mehr genau wusste, welche von den beiden links von ihm im Auto saß. Da er den Führerschein nie hatte machen wollen, ergab er sich widerstandlos ins Gefühl der Richtung und des Tempos, die Frauenhänden für ihn steuerten. Das erlaubte ihm über die Seltsamkeit seiner gegenwärtigen Stellung bequem nachzudenken.
Post Reply