Et comme si ça ne suffisait pas, Quino est mort !
Mafalda, que j'ai lue toute mon enfance, en en comprenant qu'après coup certains strips, trop près des années 70 pour mon enfance des années 80, mais dont la douce révolte me convenait.Un «génie», titrait mercredi le quotidien argentin La Nación, saluant la mémoire du créateur de Mafalda, mort quelques heures plus tôt. La petite fille de papier, connue pour son regard désabusé sur le monde adulte et traduite dans le monde entier, fêtait cette semaine ses 56 ans. Cette icône de la bande dessinée humoristique continuera de souffler les bougies. La nouvelle de la mort de Quino a été accueillie avec émotion dans son pays mais aussi à l’étranger, où Mafalda et sa bande de copains ont accompagné des générations de lecteurs.
Et tous les recueils de dessins géniaux, avec lesquels j'ai grandi, que j'utilise maintenant régulièrement comme prof.
Franchement, ça devient dur...