Pour le public français, une image forte restera de Mercedes Sosa. A la fin des années 70, Paris la découvre sur les scènes du Théâtre d’Orsay et du Théâtre de la Ville ; silhouette sombre, immobile, recouverte d’un poncho aux couleurs vives, s’accompagnant au bombo (tambour indien). Sa présence quasi chamanique et sa voix profonde, presque masculine, de contralto, expriment la douleur des peuples d’Amérique latine sous le joug des militaires. C’est grâce à elle qu’on connaîtra, en France, Gracias a la vida, de la Chilienne Violeta Parra.
(...)
Yo tengo tantos hermanos
Que no los puedo contar
Y una hermana muy hermosa
Que se llama libertad (Mercedes Sosa)
Maïwenn wrote:On ne peut pas citer tout un article sur le forum. Enzo, tu peux faire un résumé et poster seulement le lien ? Merci !
C'est ce que je comptais faire au départ, mais, impossible de copier le lien, alors j'ai fait comme ça en pensant que le fait d'indiquer la source suffirait à éviter des ennuis...
Yo tengo tantos hermanos
Que no los puedo contar
Y una hermana muy hermosa
Que se llama libertad (Mercedes Sosa)
Retour à la discussion... J'ai honte, mais je dois avouer que j'ignorais totalement son existence. Encore qu'un de ses titres m'est connu, je dois l'avoir entendu dans un film d'Almodovar. Ou je confonds...
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)