un texte en français
Posted: 18 Oct 2015 16:55
Bonjour,
Je dois faire une correction d'un test de français pour des jeunes russes. Est-ce qu'un natif de la langue française peux-me dire si les accords des verbes sont tous correctes ? merci bien
(Les enfants demandèrent à Mme Dupont comment enterrer un jouet cassé:)
-Mais dans quoi le mettrons-nous ?
- J'ai une vieille boîte à jouet ; ma bonne la recouvrira de tissue rose.
C'est très joli ; venez voir.
Les petites coururent chez Mme Dupont où la bonne était en train de finir/finissait l'oreiller et le matelas qu'on devait mettre dans la boîte ; les enfants admirèrent ce charmant cercueil ; elles y mirent le jouet, et, pour qu'on ne vit pas la tête brisée, les pieds fondus et le bras cassé, elles le recouvrirent avec un petit couvre-pied de laine rose.
On plaçait la boîte sur un brancard que la maman leur faisait faire. Elles voulaient toutes le porter ; c'était pourtant impossible, puisqu'il n'y avait place que pour deux. Après qu'ils se furent un peu poussés, disputés, on décida que Mylène et Fred, les deux plus petits, porteraient le brancard, et que Joséphine et Albertine marcheraient l'une derrière, l'autre devant, en portant un panier de fleurs qu'on devra jeté sur la tombe.
Je dois faire une correction d'un test de français pour des jeunes russes. Est-ce qu'un natif de la langue française peux-me dire si les accords des verbes sont tous correctes ? merci bien
(Les enfants demandèrent à Mme Dupont comment enterrer un jouet cassé:)
-Mais dans quoi le mettrons-nous ?
- J'ai une vieille boîte à jouet ; ma bonne la recouvrira de tissue rose.
C'est très joli ; venez voir.
Les petites coururent chez Mme Dupont où la bonne était en train de finir/finissait l'oreiller et le matelas qu'on devait mettre dans la boîte ; les enfants admirèrent ce charmant cercueil ; elles y mirent le jouet, et, pour qu'on ne vit pas la tête brisée, les pieds fondus et le bras cassé, elles le recouvrirent avec un petit couvre-pied de laine rose.
On plaçait la boîte sur un brancard que la maman leur faisait faire. Elles voulaient toutes le porter ; c'était pourtant impossible, puisqu'il n'y avait place que pour deux. Après qu'ils se furent un peu poussés, disputés, on décida que Mylène et Fred, les deux plus petits, porteraient le brancard, et que Joséphine et Albertine marcheraient l'une derrière, l'autre devant, en portant un panier de fleurs qu'on devra jeté sur la tombe.