
Hier soir, ce fut
1. Surboulot -> 2h30
2. "train raté", donc plus sommeil avant 4 heures (passage de DVD idiots pour chercher le sommeil)
3. Grésillement de plomb : 5h -> 6h30 à farfouiller entre mon matériel électrique (où ai-je fichu ces '"_(è'çè"( de plombs de rechange)
4. Finalement, déplombage du plomb j'en avais marre, recouché à 7 heures
5. Bon, je décide de sécher les deux premières heures pour rattraper, lever prévu à 9 heures
6. Suite à mes manoeuvres (mon disjoncteur est assez faible), l'électricité a dû sauter pendant que je dormais. Plus de réveil, donc :
7. Réveillé à 10h30, par le froid (plus de convecteur), j'ai loupé mes cours.
8. Gla gla gla gla.
9. Presque midi, il fait enfin chaud, je me recouche une heure.
10. Je "finis" ma nuit au milieu de l'après-midi.
Pour être honnête, je n'ai lu en entier que le premier livre des Essais, pour la bonne raison que je n'ai jamais acheté le deuxième ; donc je ne peux pas te citer tout le texte.gfa wrote:Salut SisypheSisyphe wrote:![]()
J'ai une petite question: que veut dire ta signature (quel en est le contexte)?
Il y a deux manières d'entendre cette citation, suivant le sens que l'on donne à "grammairien". Au sens propre, la phrase est absurde mais je l'aime bien ; car toute ma vie tourne autour de la grammaire et de la linguistique, tant et si bien que j'aime à penser qu'il n'existe rien dans ce monde, à commencer par ses troubles, qui ne puisse être occasionné par elles.
En fait, par "grammairiennes", Montaigne veut dire "compliquées, chicaneuses et sans fondement", comme les sont d'ordinaires les querelles de grammairiens.
En étant officiellement grammairien (du moins aspiré-je à le devenir, ce n'est pas gagné), j'aurai au moins la satisfaction morale d'une certaine honnêteté, puisque le monde entier l'est d'une manière ou d'une autre, même si ce n'est pas au sens propre.