Et ca, c'est cadeau :)
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Et ca, c'est cadeau :)
La France en demi
Après ses succès contre la Yougoslavie et la Roumanie, la France a paru impuissante et fatiguée contre l'Autriche, lors de son dernier match du 2e tour. Largement battues (22-30), les Bleues se qualifient néanmoins pour les demi-finales.
En effet, grâce à la victoire du Danemark, invaincu dans la compétition, sur la Yougoslavie (28-25), les filles d'Olivier Krumbholz obtiennent leur billet pour le dernier carré aux dépens des Yougoslaves, qui ont pourtant le même nombre de points et même une meilleure différence de buts que la France. Mais, mardi, les Tricolores s'étaient imposées face à cette équipe yougoslave, et c'est donc grâce à ce succès important qu'elles ont maintenant le droit de défier la Norvège, samedi. L'autre demi-finale opposera le Danemark à la Russie.
Contre l'Autriche, dès le début de la rencontre, la France se montre en difficulté en attaque. Après avoir obtenu un court avantage, les Tricolores se font très vite dépasser par les Autrichiennes, agressives, qui les mitraillent de tous les coins du terrain.
A la reprise, la France accumule encore les pertes de balle et l'Autriche en profitet pour prendre un peu plus le large. Malgré un petit relâchement de la part de leurs adversaires, les Tricolores ne parviennent pas à revenir. En effet, les Autrichiennes réussissent toujours à les surprendre par leur jeu rapide à une touche de balle. C'est d'autant plus difficile pour les Bleues, qui continuent de commettre beaucoup de fautes techniques. Et c'est donc en toute logique qu'elles s'inclinent sans gloire, de huit buts.
Après ses succès contre la Yougoslavie et la Roumanie, la France a paru impuissante et fatiguée contre l'Autriche, lors de son dernier match du 2e tour. Largement battues (22-30), les Bleues se qualifient néanmoins pour les demi-finales.
En effet, grâce à la victoire du Danemark, invaincu dans la compétition, sur la Yougoslavie (28-25), les filles d'Olivier Krumbholz obtiennent leur billet pour le dernier carré aux dépens des Yougoslaves, qui ont pourtant le même nombre de points et même une meilleure différence de buts que la France. Mais, mardi, les Tricolores s'étaient imposées face à cette équipe yougoslave, et c'est donc grâce à ce succès important qu'elles ont maintenant le droit de défier la Norvège, samedi. L'autre demi-finale opposera le Danemark à la Russie.
Contre l'Autriche, dès le début de la rencontre, la France se montre en difficulté en attaque. Après avoir obtenu un court avantage, les Tricolores se font très vite dépasser par les Autrichiennes, agressives, qui les mitraillent de tous les coins du terrain.
A la reprise, la France accumule encore les pertes de balle et l'Autriche en profitet pour prendre un peu plus le large. Malgré un petit relâchement de la part de leurs adversaires, les Tricolores ne parviennent pas à revenir. En effet, les Autrichiennes réussissent toujours à les surprendre par leur jeu rapide à une touche de balle. C'est d'autant plus difficile pour les Bleues, qui continuent de commettre beaucoup de fautes techniques. Et c'est donc en toute logique qu'elles s'inclinent sans gloire, de huit buts.
Pourquoi faire simple ?
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Je vois bien que ca interesse personne, mais bon, je persevere... Et de toute facon, ce sera la derniere puisque la competition est finie. A savoir que c'est le Danemark qui a fini premier devant la Norvege.
Du bronze pour la France
Dominée par la Norvège samedi en demi-finale, la France s'est ressaisie, dimanche, lors du match pour la 3e place : les Bleues ont obtenu la médaille de bronze en battant la Russie, championne du monde en titre (27-22).
En capitaine exemplaire, Stéphanie Cano a largement contribué à cette superbe victoire. Meilleure marqueuse de la rencontre, c'est elle qui inscrivait le premier but français après un engagement rapide, clouant sur place les grands gabarits russes.
Wendling et Van Parys défendaient efficacement au centre et récupéraient des balles synonymes de premier avantage pour les Bleues (3-2). Saïd Mohamed organisait les croisés avec Van Parys, qui usait de son jeu de jambes rapide pour inscrire le 5e but tricolore (9e).
Alors que Nicolas s'imposait dans les buts, Saïd Mohamed et Pecqueux-Rolland défendaient avec acharnement en pointe sur les arrières russes déconcertées.
Leur placement laissait cependant des espaces en défense centrale que Muravyeva et Koltchina exploitaient pour revenir à 6-6 (15e).
Les nombreux arrêts de Nicolas permettaient aux siennes de conserver leur avance après un bon service de Van Parys sur Pecqueux-Rolland et une montée de balle parfaitement étagée conclue par Cano (10-7, 19e).
Réduites à quatre après les exclusions coup sur coup de Saïd Mohamed et Wendling, les Bleues marquaient tout de même par Myaro qui s'envolait seule au-dessus des six paires de bras russes (12-10).
En supériorité, les Russes exploitaient les intervalles, mais leurs adversaires revenaient encore grâce à une contre-attaque de Tervel, après une longue passe décisive de Cano à l'opposé du terrain.
La reprise était moins brillante pour les Françaises qui retombaient dans leurs travers offensifs habituels et ne s'en sortaient que par la réussite de Nicolas dans les buts (17-17, 43e).
Tout était à refaire, Tervel, seule en contre-attaque, manquait l'occasion de reprendre l'avantage. Heureusement pour les Françaises, Cano, encore elle, s'arrachait pour obtenir peu après l'égalisation (18-18).
Les Russes, déstabilisées par l'acharnement défensif des Bleues, peinaient elles aussi en attaque. Les difficultés offensives françaises étaient compensées par la hargne des avants Pecqueux-Rolland et... Cano en fin de montée de balle.
Elles redonnaient du coeur à l'ouvrage à la défense qui, associée à Nicolas, étouffait les dernières tentatives russes. Van Parys, partie en contre attaque sur l'aile droite, offrait la balle du + 3 à un peu plus d'une minute de la fin, assurant la médaille aux Bleues avant un dernier but, pour le spectacle, de Korfanty.
Du bronze pour la France
Dominée par la Norvège samedi en demi-finale, la France s'est ressaisie, dimanche, lors du match pour la 3e place : les Bleues ont obtenu la médaille de bronze en battant la Russie, championne du monde en titre (27-22).
En capitaine exemplaire, Stéphanie Cano a largement contribué à cette superbe victoire. Meilleure marqueuse de la rencontre, c'est elle qui inscrivait le premier but français après un engagement rapide, clouant sur place les grands gabarits russes.
Wendling et Van Parys défendaient efficacement au centre et récupéraient des balles synonymes de premier avantage pour les Bleues (3-2). Saïd Mohamed organisait les croisés avec Van Parys, qui usait de son jeu de jambes rapide pour inscrire le 5e but tricolore (9e).
Alors que Nicolas s'imposait dans les buts, Saïd Mohamed et Pecqueux-Rolland défendaient avec acharnement en pointe sur les arrières russes déconcertées.
Leur placement laissait cependant des espaces en défense centrale que Muravyeva et Koltchina exploitaient pour revenir à 6-6 (15e).
Les nombreux arrêts de Nicolas permettaient aux siennes de conserver leur avance après un bon service de Van Parys sur Pecqueux-Rolland et une montée de balle parfaitement étagée conclue par Cano (10-7, 19e).
Réduites à quatre après les exclusions coup sur coup de Saïd Mohamed et Wendling, les Bleues marquaient tout de même par Myaro qui s'envolait seule au-dessus des six paires de bras russes (12-10).
En supériorité, les Russes exploitaient les intervalles, mais leurs adversaires revenaient encore grâce à une contre-attaque de Tervel, après une longue passe décisive de Cano à l'opposé du terrain.
La reprise était moins brillante pour les Françaises qui retombaient dans leurs travers offensifs habituels et ne s'en sortaient que par la réussite de Nicolas dans les buts (17-17, 43e).
Tout était à refaire, Tervel, seule en contre-attaque, manquait l'occasion de reprendre l'avantage. Heureusement pour les Françaises, Cano, encore elle, s'arrachait pour obtenir peu après l'égalisation (18-18).
Les Russes, déstabilisées par l'acharnement défensif des Bleues, peinaient elles aussi en attaque. Les difficultés offensives françaises étaient compensées par la hargne des avants Pecqueux-Rolland et... Cano en fin de montée de balle.
Elles redonnaient du coeur à l'ouvrage à la défense qui, associée à Nicolas, étouffait les dernières tentatives russes. Van Parys, partie en contre attaque sur l'aile droite, offrait la balle du + 3 à un peu plus d'une minute de la fin, assurant la médaille aux Bleues avant un dernier but, pour le spectacle, de Korfanty.
Pourquoi faire simple ?
Heureusement que tu as déjà parlé du Hand dans un autre topic... sinon difficile de savoir de quel sport du parles, si on ne le connaît pas bien
Moonila est une ancienne joueuse de Hand, mais je suppose qu'elle n'a pas du faire attention à ton message... pas facile quand on ne vient pas tous les jours par ici
Moonila est une ancienne joueuse de Hand, mais je suppose qu'elle n'a pas du faire attention à ton message... pas facile quand on ne vient pas tous les jours par ici
Les courses hippiques, lorsqu'elles s'y frottent.
normal, au plus ils sont crevés au moins ils intéressent les sponsors....kokoyaya wrote:Cinq ou six matches en une semaine. Au hand, les joueurs se crèvent au moins autant qu'au foot. On se plaint que les joueurs de foot jouent trop et ils n'ont jamais fait aussi dense !
Les courses hippiques, lorsqu'elles s'y frottent.
J'aimerais savoir pourquoi on dit volley-bôôle, footbôôle, basket-bôôle, mais hand bâââle. J'imagine que c'est une décision de je ne sais quelle commission du genre de celle qui a validé récemment "arobe" mais pas "arobase" pour le @, ou qui voulait nous imposer le "mel", avec plusieurs années de retard...
Time is an illusion. Lunchtime doubly so.
Personnellement je disais handbôôôll, jusqu'au jour où l'on m'a corrigé... déformation populaire ou réelle décision officielle ?Beaumont wrote:J'aimerais savoir pourquoi on dit volley-bôôle, footbôôle, basket-bôôle, mais hand bâââle. J'imagine que c'est une décision de je ne sais quelle commission du genre de celle qui a validé récemment "arobe" mais pas "arobase" pour le @, ou qui voulait nous imposer le "mel", avec plusieurs années de retard...
Les courses hippiques, lorsqu'elles s'y frottent.
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Vous me voyez tout confusé de pas avoir indiqué le sport au départ Pour moi, c'etait tellement evident que j'ai meme pas pris la peine de faire attention a si c'etait dans les articles.
Enfin, je remarque une fois de plus que personne n'en avait entendu parler en France
Bah, finalement, je m'en fiche un peu, dans mon pays, on en parle au moins un peu
Enfin, je remarque une fois de plus que personne n'en avait entendu parler en France
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Pourquoi faire simple ?
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