Comme a fait "lune" il n'y a pas longtemps, je coupe
Ma liberté
Longtemps je t'ai gardée
Comme une perle rare
Ma liberté
C'est toi qui m'a aidé
A larguer les amarres
On allait n'importe où
On allait jusqu'au bout
Des chemins de fortune
Miju, c'est Aristide Bruant, l'auteur (je ne savais pas non plus !).
Dans un cas comme ça, il suffit de taper les paroles dont tu te rappelles dans un moteur de recherche : ça marche à tous les coups . Les paroles entières ici.
***
Il s'installe, il regarde partout
Il prépare ses phrases
Comme elle s'est avancé un peu
D'un coup leurs regards se croisent
Après c'est une histoire normale
Le verre qu'elle accepte, le sourire qu'il étale
En s'approchant un peu, il voit les ombres fines
Dans ses yeux de figurine
Pas la peine que je précise
D'où ils viennent et ce qu'ils ce disent
C'est une histoire d'enfants
Une histoire ordinaire
On est tout simplement, simplement
Un samedi soir sur la terre
F. Cabrel - Samedi soir sur la Terre
svernoux wrote:
J'ai comme l'impression que mon message a fait déborder le vase...
Dans l'ensemble j'essaie de rester brève, mais là c'était une unité de sens, je ne voyais pas où la couper
C'est pas un problème du tout !
Tout le monde le fait depuis belle lurette, moi la première .
Mais j'ai corrigé la règle par acquit de conscience...
Maman disait toujours : La vie, c'est comme une boîte de chocolats ; on sait jamais sur quoi on va tomber...
Terre brûlée au vent des landes de pierre
Autour des lacs c'est pour les vivants
Un peu d'enfer le Connemara
Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre les lacs les rivières
Michel Sardou - Les lacs du Connemara
Penn ar Bed
The end of the land
Le commencement d'un monde
Voir la rivière gelée
Vouloir être un printemps
Voir la terre brûlée
Et semer en chantant
Voir que l'on a vingt ans
Vouloir les consumer
Voir passer un croquant
Et tenter de l'aimer
Voir une barricade
Et la vouloir défendre
Voir périr l'embuscade
Et puis ne pas se rendre
Voir le gris des faubourgs
Vouloir être Renoir
Voir l'ennemi de toujours
Et fermer sa mémoire
J'ai la mémoire qui flanche
J'me souviens plus très bien
Comm' il était très musicien
Il jouait beaucoup des mains
Tout entre nous a commencé
Par un très long baiser
Sur la vein' bleutée du poignet
Un long baiser sans fin.
Jeanne Moreau : j'ai la mémoire qui flanche
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
Y aura des jardins, d'l'amour et du pain
Des chansons, du vin, on manquera de rien
Y aura du soleil sur nos fronts
Et du bonheur plein nos maisons
C'est une nouvelle ère, révolutionnaire
On aura du temps pour rire et s'aimer
Plus aucun enfant n'ira travailler
Y aura des écoles pour tout l'monde
Que des premières classes, plus d'secondes
C'est la fin de l'histoire, le rouge après le noir
On aura nos dimanches
On ira voir la mer
Et nos frères de silence
Et la paix sur la terre
Mais si la guerre éclate
Sur nos idées trop belles
Autant crever pour elles
Que ramper sans combattre
Fredericks Goldman Jones : rouge
Yo tengo tantos hermanos
Que no los puedo contar
Y una hermana muy hermosa
Que se llama libertad (Mercedes Sosa)
Enzo wrote:Y aura des jardins, d'l'amour et du pain
Des chansons, du vin, on manquera de rien
Y aura du soleil sur nos fronts
Et du bonheur plein nos maisons
C'est une nouvelle ère, révolutionnaire
On aura du temps pour rire et s'aimer
Plus aucun enfant n'ira travailler
Y aura des écoles pour tout l'monde
Que des premières classes, plus d'secondes
C'est la fin de l'histoire, le rouge après le noir
On aura nos dimanches
On ira voir la mer
Et nos frères de silence
Et la paix sur la terre
Mais si la guerre éclate
Sur nos idées trop belles
Autant crever pour elles
Que ramper sans combattre
Fredericks Goldman Jones : rouge
Yo tengo tantos hermanos
Que no los puedo contar
Y una hermana muy hermosa
Que se llama libertad (Mercedes Sosa)
J'ai fait une bêtise, j'ai voulu corriger le post d'avant, et cela me l'a posté deux fois. Quelqu'un peut-il effacer le deuxième (plus le post présent) ?
Merci.
Yo tengo tantos hermanos
Que no los puedo contar
Y una hermana muy hermosa
Que se llama libertad (Mercedes Sosa)
Ce chant de guerre qui monte sur la ville
Comme une prière à la lune qui brille
Rappelle à ceux qui dorment derrière les grilles
Qu'on peut toujours même si c'est pas facile
Devenir Cheyenne Combattre quand même
Devenir Cheyenne
Regagner les plaines
Pow Wow - Devenir Cheyenne
Sonka - Сонька
It's crazy how the time just seems to fly
But for a moment you and I, we caught it
Dans les plaines du Far-West, quand vient la nuit,
Les cow-boys, dans leur bivouac, sont réunis.
Près du feu, sous le ciel de l'Arizona,
C'est la fête aux accords d'un harmonica.
Et leurs chants, que répètent les échos,
Syncopés par le rythme d'un banjo.
Dans les plaines du Far-West quand vient la nuit,
Les cow-boys, dans leur bivouac, sont réunis
Yves Montant : dans les plaines du Far West
Last edited by miju on 08 Feb 2009 10:25, edited 1 time in total.
Avec tout le bonheur que se petafine dans le monde que d'heureux on pourrait faire.
A travers les chagrins
Rencontrés aujourd'hui
Il se trouve un chemin
Où le ciel s'éclaircit
Et malgré les détours
Que t'apporte la vie
Nous savons bien qu'un jour
Nous serons réunis
Écoute ce disque
Et tu comprendras
Que l'amour existe
Car je pense à toi
D'autres avant nous, oui c'est vrai,
Se sont vu séparés, ils se sont oubliés
Mais que peut-il arriver
Puisque toutes nos pensées
Ne se quittent jamais ?
Sheila : écoute ce disque
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
Allez, venez, Milord !
Vous asseoir à ma table ;
Il fait si froid, dehors,
Ici c'est confortable.
Laissez-vous faire, Milord
Et prenez bien vos aises,
Vos peines sur mon coeur
Et vos pieds sur une chaise
Je vous connais, Milord,
Vous n'm'avez jamais vue
Je ne suis qu'une fille du port,
Qu'une ombre de la rue...