Arf, que je suis frustrée ! Car j'avais cherché à la frontière monténégro-albanaise, vu Shkoder et pas reconnu !
Et quel sac de noeuds : même en ayant la réponse, il m'a fallu un moment pour comprendre le méli-mélo des cours d'eau dans cette région. Faut dire qu'un fleuve qui se jette dans un autre fleuve, c'est pas courant !
Et quant à la nouvelle énigme d'Andergassen, je ne trouve pas non plus, et ça m'agaaaaace... (vous n'avez donc pas de pitié pour les gens qui bossent ? )
Sonka - Сонька
It's crazy how the time just seems to fly
But for a moment you and I, we caught it
(Excusez le dérangement de mon intrusion ici, juste le temps quand même de dire bravo à Sylvain, donc, et de confirmer, ayant lancé l'énigme, qu'il s'agissait bien de la forteresse de Rozafa (dont la légende justifie le nom du château) que l'on distingue en haut de la colline de Tepe, à Shkodër en Albanie; le "petit" fleuve que ce pont de bois traverse s'appelle Buna et s'écoule du "très très grand" lac de Shkodra jusqu'en mer Adriatique, en formant la frontière entre Albanie et Monténégro. Merci à tous pour votre participation plaisante! )
"La pause, elle aussi, fait partie de la musique" Stefan ZWEIG
svernoux wrote:Arf, que je suis frustrée ! Car j'avais cherché à la frontière monténégro-albanaise, vu Shkoder et pas reconnu !
Et quel sac de noeuds : même en ayant la réponse, il m'a fallu un moment pour comprendre le méli-mélo des cours d'eau dans cette région. Faut dire qu'un fleuve qui se jette dans un autre fleuve, c'est pas courant !
Effectivement quel sac de nœuds ! Pour ma part j'avais compris que le pont enjambait la frontière.. Trop d'indice tue l'indice
«C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain ne l'écoute pas.» Victor Hugo
Dada wrote:Effectivement quel sac de nœuds ! Pour ma part j'avais compris que le pont enjambait la frontière.. Trop d'indice tue l'indice
Bah, c'est une excuse comme une autre! Mais je pense quand même avoir dit très clairement les choses depuis le début , l'interprétation restant personnelle à chacun...
"La pause, elle aussi, fait partie de la musique" Stefan ZWEIG
svernoux wrote:Arf, que je suis frustrée ! Car j'avais cherché à la frontière monténégro-albanaise, vu Shkoder et pas reconnu !
)
bienvenue au club !! exactement la même chose...j'ai vu mais n'ai pas reconnu.. si j'avais pris la peine de déplacer mon curseur plus bas sur ma page j'aurais retrouvé la photo que Ankh nous a proposé...
bravo pour ton énigme Ankh !!
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
Non, ce qui était au départ une histoire purement hongroise est devenu une histoire vraiment austro-hongroise après 1920, suite à une modification de frontières lors du démembrement des deux monarchies. Salzbourg n'a rien à voir là-dedans!
Par de bons mots foudroyons la sottise, craignons le sang ; ne versons que le vin.
Sopron étant resté en Hongrie, il est naturel que le site de cet entrepreneur ferroviaire* en pleine expansion** soit en hongrois !
*GYSEV en hongrois, Raaberbahn en allemand (Raab étant le nom allemand de la ville hongroise de Györ).
** Aujourd'hui, GYSEV exploite pratiquement tout le réseau ferré dans l'ouest de la Hongrie et deux lignes en Autriche, avec un matériel roulant moderne vert et jaune et des gares modernisées.
Suite au démantèlement de l'empire autrichien et du royaume de Hongrie, la partie germanophone de la Hongrie occidentale avait été rattachée à la nouvelle République d'Autriche allemande (Deutsch-Oesterreich), formant une nouvelle province sous le nom de Burgenland, dont Oedenburg (Sopron) devait être la capitale naturelle. Malheureusement, les Hongrois ne l'ont pas entendu de cette oreille, prétextant une population majoritairement magyare, et Sopron est resté en Hongrie, formant un saillant profondément enfoncé en territoire autrichien. Il fallait trouver une capitale pour la nouvelle province, mais aucune ville n'était prépondérante, Oedenburg étant la seule ville digne de ce nom. Finalement, c'est la petite bourgade d'Eisenstadt, ex-Kismarton, qui a été choisie.
Sonka, gratulálok, à toi la main !
Par de bons mots foudroyons la sottise, craignons le sang ; ne versons que le vin.