Aux Etats-Unis, Microsoft réussit à breveter l'"invention" du clic
Cliquer sur une icône ou un bouton pour ouvrir un document ou lancer un programme : l'idée est si excellente qu'elle gouverne tous les systèmes informatiques depuis de nombreuses années. Excellente, elle n'en était pas moins en souffrance d'inventeur, puisque personne n'avait revendiqué ou obtenu, jusqu'à présent, la paternité de cette "invention".
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Un clic et passez à la caisse !
- Sisyphe
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08/06/04 16:22 GMT Dépêche AFP (ou presque) - Suite au récent brevetage du "clic" de souris par la firme Microsoft, qui consacre le droit mettre sous licence un simple geste, les avocats de l'homme de Néandertal ont décidé de déposer un brevet pour sur le curage d'oreille au moyen de l'auriculaire droit ou gauche. Les lawyers américains font en effet valoir que c'est leur client qui, le premier, a eu l'idée "d'utiliser le plus petit des cinq doigts de la main pour retirer les excès de cérumen du conduit auriculaire et/ou y calmer une démangeaison", selon les termes de la licence. L'intéressé se refuse néanmoins à toute déclaration à la presse, estimant que son état de décès est incompatible avec toute interview.
08/06/04 16:50 GMT Dépêche AFP (ou presque) - Les avocats des singes bonobos ont déposé un recours contre la mise sous licence du curage digital d'oreilles réclamée par l'homme de Néandertal. Leurs clients estiment en effet que l'antériorité de l'invention leur revient. Des tractations seraient en cours avec les avocats des chimpanzés et des gorilles, qui pourraient se joindre à la plainte. Le syndicat international des primates moyens réserve pour l'instant sa réponse.

08/06/04 16:50 GMT Dépêche AFP (ou presque) - Les avocats des singes bonobos ont déposé un recours contre la mise sous licence du curage digital d'oreilles réclamée par l'homme de Néandertal. Leurs clients estiment en effet que l'antériorité de l'invention leur revient. Des tractations seraient en cours avec les avocats des chimpanzés et des gorilles, qui pourraient se joindre à la plainte. Le syndicat international des primates moyens réserve pour l'instant sa réponse.
