A l'occasion de ce 174e, je vous invite à débusquer les apparences trompeuses, si possible radicalement.
En l'occurrence, cette illustration montre exactement l'inverse de ce que les esprits habitués aux zoos et à la nature sous vitrine imaginent au premier coup d'oeil : ce n'est pas notre amie Vervet et son petit qui sont contraints par un grillage mais votre serviteur et son appareil photo dans une zone où la bipédie humaine était autorisée (comprendre à l'abri).
On pourrait croire qu'à Berlin, le métro passe à travers les maisons des deux côtés de la Dennewitzstrasse.
Sur le côté droit de la photo, l'apparence est trompeuse. Il y a une rue transversale juste avant le pont qui est parallèle à cette rue.
Par contre, sur le côté gauche, le métro aérien traverse vraiment la maison au numéro 2 à hauteur du 3e étage avant de devenir souterrain. Bien entendu, tout a été fait pour que les habitants ne subissent aucune nuisance, depuis 1926.
Par de bons mots foudroyons la sottise, craignons le sang ; ne versons que le vin.