Moi aussi quand j'étais en primaire on nous parlait une ou deux fois par mois des pules, vaches cochons, etc... Et bien-sûr ça n'a rien donné. Alors je ne sais pas si ça a vraiment changé aujourd'hui. Mais je pense que ce que proposait Flamenco, c'était un véritable enseignement des langues, pas juste d'apprendre une comptine... Au rythme des petits bien-sûr, en commençant par exemple la première années avec des comptines, mais en passant ensuite à autre chose. Enfin, ça c'est mon avis.Bergkamp wrote: Moi depuis le CP "j'étudie" l'anglais en fait du CP au CE2 (y'a pas si longtemps encore) j'ai du apprendre une chanson sur les parties du corps, une version anglaise du petit chaperon rouge (et le fameux once upon a time
) et les couleurs (en 5 ans quand même) avec quelques mots courants, (et encore pour que certains apprenent a dire yes et les couleurs ils fallaient leur donner un smarties quotidien en récompense
) enfin résultat de tout les gens qui était avec moi en primaire y'en a pas un qui se rapelle de comment on dit vert en anglais...
l'espéranto
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Sonka - Сонька
It's crazy how the time just seems to fly
But for a moment you and I, we caught it
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C'est vrai que pour enseigner une langue à des enfants, il faut s'adapter un minimum, les profs de 6ème seraient-ils capables de s'adapter??? Je ne sais pas, à voir...Bergkamp wrote:Je crois que le plus grand problème serait de trouver assez de prof(déjà que moi au lycée je me tape une i******
...)
Ya pas un prof de langues sur le forum pour nous donner son avis??
Flamencoman
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Svernoux a écrit :
La communication internationale, la vraie, ne se contente pas de demi-mesures. Vouloir la faire passer par les langues naturelles c'est la refuser au plus grand nombre, car la plupart des gens n'ont pas forcément les capacités intellectuelles, le temps, l'argent nécessaire à y consacrer.
L'espéranto pourrait entrer dans le bagage intellectuel du plus grand nombre, on pourrait savoir communiquer à l'international, chacun à son niveau, comme on sait lire, écrire, compter, conduire une voiture, nager.
C'est un investissement de 160 h de travail pour français ayant des capacités intellectuelles normales, cela n'a rien d'utopique.
Malheureusement l'élite privilégiée intellectuellement ou financièrement qui détient ce pouvoir de communiquer fait tout pour s'opposer à la divulgation de cette idée qui lui ferait perdre ses prérogatives. C'est la seule façon d'expliquer le silence des médias sur tout ce qui touche à l'espéranto, comme les campagnes de dénigrement systématique dont il est l'objet.
Mais quelle crédibilité peut-on m'accorder à moi qui ne suis même pas linguiste ?
Il est vrai qu'il existe des défenseurs de l'espéranto plus dignes de foi que moi. Je vous présente sur le lien suivant le site de M. Claude PIRON, ancien traducteur à l'ONU, docteur en psychologie comme sa biographie vous l'apprendra.
Pour ceux qui pourraient penser que je suis hors sujet, je préconise dans la rubrique Communication "Où sont les mythes, où sont les réalités", le reste ne manque pas d'intérêt et d'humour non plus.
http://www.claude-piron.ch/francaisindex.htm
Bernard(o)
Le Globish n'est pas de la communication, pas plus que les cabines de traduction, les traducteurs électroniques de poche (excuses moi Beaumont), les manuels de conversation courantes etc, etc.nul besoin d'avoir une connaissance parfaite et professionnelle d'une langue pour
communiquer à l'international. Ce n'est d'ailleurs pas le cas de la plupart des gens qui utilisent le globish au quotidien.
La communication internationale, la vraie, ne se contente pas de demi-mesures. Vouloir la faire passer par les langues naturelles c'est la refuser au plus grand nombre, car la plupart des gens n'ont pas forcément les capacités intellectuelles, le temps, l'argent nécessaire à y consacrer.
L'espéranto pourrait entrer dans le bagage intellectuel du plus grand nombre, on pourrait savoir communiquer à l'international, chacun à son niveau, comme on sait lire, écrire, compter, conduire une voiture, nager.
C'est un investissement de 160 h de travail pour français ayant des capacités intellectuelles normales, cela n'a rien d'utopique.
Malheureusement l'élite privilégiée intellectuellement ou financièrement qui détient ce pouvoir de communiquer fait tout pour s'opposer à la divulgation de cette idée qui lui ferait perdre ses prérogatives. C'est la seule façon d'expliquer le silence des médias sur tout ce qui touche à l'espéranto, comme les campagnes de dénigrement systématique dont il est l'objet.
Mais quelle crédibilité peut-on m'accorder à moi qui ne suis même pas linguiste ?
Il est vrai qu'il existe des défenseurs de l'espéranto plus dignes de foi que moi. Je vous présente sur le lien suivant le site de M. Claude PIRON, ancien traducteur à l'ONU, docteur en psychologie comme sa biographie vous l'apprendra.
Pour ceux qui pourraient penser que je suis hors sujet, je préconise dans la rubrique Communication "Où sont les mythes, où sont les réalités", le reste ne manque pas d'intérêt et d'humour non plus.
http://www.claude-piron.ch/francaisindex.htm
Bernard(o)
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Svernoux a écrit
Il ne faut pas prendre ça au premier degré, il s'agit d'un exemple pour illustrer l'intérêt de la dérivation. Les dérivation à propos animaux sont habituellement toujours un bon exemple. Je ne te ferai pas l'affront de remettre ça avec plombier, chaudronnier…
Cela prouve également que la dérivation de l'espéranto donne accès à un vocabulaire technique même pour quelqu'un qui n'en a pas un usage courant.
De plus, ce que je n'avais pas encore démontré, elle permet de comprendre un concept que l'on ne peut évoquer faute de connaître le mot approprié. Attention c'est un exemple : si je sais que patro = père et que patra = paternel, et que de même filo=fils et fila=filial sachant ce que signifie onklo je peux comprendre ce que signifie onkla même
si je ne connais pas le mot avunculaire (mot sans intérêt pour qui ne fait pas de généalogie selon ton résonnement, mais je suis un peu fatigué et je n'en trouve pas d'autre).
Il faut savoir aussi ce que l'on veut : sur un topic on me demande de prouver que l'on peut être précis en espéranto et quand je donne des mots comme palfrenier ou jument on dit que cela n'a aucun intérêt de savoir les dire.
Bernard(o)
Mais dans la pratique, je ne vois pas à quoi ça peut te servir de savoir dire palfrenier si tu ne t'en sers jamais. Combien de gens sont capables de dire jument en anglais ? Tout simplement ceux qui ont besoin (professionnellement ou personnellement) de dire jument. Pour les autres, aucun intérêt de savoir le dire.
Il ne faut pas prendre ça au premier degré, il s'agit d'un exemple pour illustrer l'intérêt de la dérivation. Les dérivation à propos animaux sont habituellement toujours un bon exemple. Je ne te ferai pas l'affront de remettre ça avec plombier, chaudronnier…
Cela prouve également que la dérivation de l'espéranto donne accès à un vocabulaire technique même pour quelqu'un qui n'en a pas un usage courant.
De plus, ce que je n'avais pas encore démontré, elle permet de comprendre un concept que l'on ne peut évoquer faute de connaître le mot approprié. Attention c'est un exemple : si je sais que patro = père et que patra = paternel, et que de même filo=fils et fila=filial sachant ce que signifie onklo je peux comprendre ce que signifie onkla même
si je ne connais pas le mot avunculaire (mot sans intérêt pour qui ne fait pas de généalogie selon ton résonnement, mais je suis un peu fatigué et je n'en trouve pas d'autre).
Il faut savoir aussi ce que l'on veut : sur un topic on me demande de prouver que l'on peut être précis en espéranto et quand je donne des mots comme palfrenier ou jument on dit que cela n'a aucun intérêt de savoir les dire.
Bernard(o)
Bernard(o) wrote:Svernoux a écrit :
Le Globish n'est pas de la communication, pas plus que les cabines de traduction, les traducteurs électroniques de poche (excuses moi Beaumont), les manuels de conversation courantes etc, etc.nul besoin d'avoir une connaissance parfaite et professionnelle d'une langue pour
communiquer à l'international. Ce n'est d'ailleurs pas le cas de la plupart des gens qui utilisent le globish au quotidien.
La communication internationale, la vraie, ne se contente pas de demi-mesures. Vouloir la faire passer par les langues naturelles c'est la refuser au plus grand nombre, car la plupart des gens n'ont pas forcément les capacités intellectuelles, le temps, l'argent nécessaire à y consacrer.
L'espéranto pourrait entrer dans le bagage intellectuel du plus grand nombre, on pourrait savoir communiquer à l'international, chacun à son niveau, comme on sait lire, écrire, compter, conduire une voiture, nager.
C'est un investissement de 160 h de travail pour français ayant des capacités intellectuelles normales, cela n'a rien d'utopique.
Malheureusement l'élite privilégiée intellectuellement ou financièrement qui détient ce pouvoir de communiquer fait tout pour s'opposer à la divulgation de cette idée qui lui ferait perdre ses prérogatives. C'est la seule façon d'expliquer le silence des médias sur tout ce qui touche à l'espéranto, comme les campagnes de dénigrement systématique dont il est l'objet.
Mais quelle crédibilité peut-on m'accorder à moi qui ne suis même pas linguiste ?
Il est vrai qu'il existe des défenseurs de l'espéranto plus dignes de foi que moi. Je vous présente sur le lien suivant le site de M. Claude PIRON, ancien traducteur à l'ONU, docteur en psychologie comme sa biographie vous l'apprendra.
Pour ceux qui pourraient penser que je suis hors sujet, je préconise dans la rubrique Communication "Où sont les mythes, où sont les réalités", le reste ne manque pas d'intérêt et d'humour non plus.
http://www.claude-piron.ch/francaisindex.htm
Bernard(o)
L'espéranto a sans doute de grands avantages mais tu parles de qqch qui a des retombées plus importantes encore que la communication entre les peuple!
Pourquoi le monde n'adopte pas l'espéranto pour communiquer? Tu peux trouver des réponses facilement
1- 99% de la population mondiale de parle pas espéranto
2- au niveau commercial, c'est bien mieux pour le business de parler la langue de son interlocuteur, tu imagines l'homme d'affaire qui arrive au Japon et qui dit qu'il veut traiter son affaire en espéranto???? Par contre s'il parle japonais, il va faire fureur!
3- OK dans la tête, ya aussi du chemin à faire!
Bonne nuit!

Flamencoman
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Didine a écrit :
se faire que dans des lieux appropriés, elle crée un "filtre" qui dépersonnalise le locuteur, le port d'écouteurs devient à la longue plutôt pénible.
Par contre j'ai le plus grand respect et la plus grande admiration pour les interprètes et les traducteurs.
Bernard(o)
Rassures- toi, je n'ai rien contre les interprètes eux-mêmes mais je considère que la traduction simultanée en cabines, aussi bonne soit-elle, n'est pas de la véritable communication car trop artificielle. Elle ne peutQu'est-ce que tu reproches aux interprètes?
se faire que dans des lieux appropriés, elle crée un "filtre" qui dépersonnalise le locuteur, le port d'écouteurs devient à la longue plutôt pénible.
Par contre j'ai le plus grand respect et la plus grande admiration pour les interprètes et les traducteurs.

Bernard(o)
Merci pour ton post Bernard(o)! En tant que future interprète de conférence, je suis très susceptible sur certains points, ce qui explique mon démarrage (injustifiéBernard(o) wrote:Rassures- toi, je n'ai rien contre les interprètes eux-mêmes mais je considère que la traduction simultanée en cabines, aussi bonne soit-elle, n'est pas de la véritable communication car trop artificielle. Elle ne peut
se faire que dans des lieux appropriés, elle crée un "filtre" qui dépersonnalise le locuteur, le port d'écouteurs devient à la longue plutôt pénible.
Par contre j'ai le plus grand respect et la plus grande admiration pour les interprètes et les traducteurs.
![]()
Bernard(o)


Ben, alors à nouveau on n'a pas la même définition de la communication ! Ok c'est pas de la communication parfaite, mais c'est quand même de la communication ! Les gens échangent des biens, des idées, même avec un traducteur de poche et encore bien plus avec un interprète en cabine ! Je pense que didine sera d'accord pour dire qu'un interprète, il ne communique pas rien du tout ! Sans eux, il n'y aurait pas de communication internationale (que ce soit en epéranto ou non) !Bernard(o) wrote:Svernoux a écrit :
Le Globish n'est pas de la communication, pas plus que les cabines de traduction, les traducteurs électroniques de poche (excuses moi Beaumont), les manuels de conversation courantes etc, etc.nul besoin d'avoir une connaissance parfaite et professionnelle d'une langue pour
communiquer à l'international. Ce n'est d'ailleurs pas le cas de la plupart des gens qui utilisent le globish au quotidien.
La communication internationale, la vraie, ne se contente pas de demi-mesures. Vouloir la faire passer par les langues naturelles c'est la refuser au plus grand nombre, car la plupart des gens n'ont pas forcément les capacités intellectuelles, le temps, l'argent nécessaire à y consacrer.
L'espéranto pourrait entrer dans le bagage intellectuel du plus grand nombre, on pourrait savoir communiquer à l'international, chacun à son niveau, comme on sait lire, écrire, compter, conduire une voiture, nager.
C'est un investissement de 160 h de travail pour français ayant des capacités intellectuelles normales, cela n'a rien d'utopique.
De quelle demi-mesure parles-tu ? Je ne pense pas à nouveau que ça fasse bien plaisir à Didine et à ses confrères ! Leur travail n'est pas de la demi-mesure.
Enfin, il me semble que tu te contredis toi-même : tu dis "communiquer à l'international, chacun à son niveau" alors que tu ne veux pas de demi-mesures... Moi, c'est bien ce que je proposais avec des langues ethniques : chacun à son niveau. J'ai la chance d'avoir un bon niveau, mais ceux qui en ont un moins bon peuvent tout aussi bien communiquer, "chacun à son niveau", je ne vois pas le problème... tu dénonces l'élitisme, mais le prônes en exigeant "pas de demi-mesure"... Franchement, je comprends plus rien.
Sonka - Сонька
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Pas plus artificielle que ne l'est l'espéranto...Bernard(o) wrote:je considère que la traduction simultanée en cabines, aussi bonne soit-elle, n'est pas de la véritable communication car trop artificielle.
Pas un filtre plus gênant que celui créé par le recours à une langue tierce et artificielle.Bernard(o) wrote:Elle ne peut
se faire que dans des lieux appropriés, elle crée un "filtre" qui dépersonnalise le locuteur
Sonka - Сонька
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100% d'accord!svernoux wrote:Pas plus artificielle que ne l'est l'espéranto...Bernard(o) wrote:je considère que la traduction simultanée en cabines, aussi bonne soit-elle, n'est pas de la véritable communication car trop artificielle.
Pas un filtre plus gênant que celui créé par le recours à une langue tierce et artificielle.Bernard(o) wrote:Elle ne peut
se faire que dans des lieux appropriés, elle crée un "filtre" qui dépersonnalise le locuteur
Flamencoman
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Svernoux a écrit :
Svernoux a écrit :
Tu serais aimable de ne pas dénaturer mes propos.
Svernoux a écrit :
Bernard(o)
Si tu exiges de la communication parfaite de la part de l'espéranto tu dois aussi l'exiger des autres moyens proposés, sinon il y a deux poids deux mesures.Ben, alors à nouveau on n'a pas la même définition de la communication ! Ok c'est pas de la communication parfaite, mais c'est quand même de la communication !
Svernoux a écrit :
Je n'ai jamais dit que le travail des interprètes était de la demi-mesure. J'ai utilisé ce terme dans le paragraphe suivant où il est question de communication internationale et de langues naturelles.Je pense que didine sera d'accord pour dire qu'un interprète, il ne communique pas rien du tout ! Sans eux, il n'y aurait pas de communication internationale (que ce soit en epéranto ou non) !
De quelle demi-mesure parles-tu ? Je ne pense pas à nouveau que ça fasse bien plaisir à Didine et à ses confrères ! Leur travail n'est pas de la demi-mesure.
Tu serais aimable de ne pas dénaturer mes propos.
Svernoux a écrit :
Je veux dire chacun au même niveau que celui qui est le sien dans sa langue maternelle. Ce qui n'est pas de la demi-mesure.Enfin, il me semble que tu te contredis toi-même : tu dis "communiquer à l'international, chacun à son niveau" alors que tu ne veux pas de demi-mesures...
Bernard(o)
Merci à toi aussi de ne pas dénaturer mes propos : je n'ai jamais exigé de communication parfaite, au contraire, je ne dis qu'une chose depuis que j'interviens sur ce poste : qu'il n'y a pas de communication parfaite, y compris en espéranto contrairement à ce que certains voudraient faire croire.Bernard(o) wrote:Svernoux a écrit :
Si tu exiges de la communication parfaite de la part de l'espéranto tu dois aussi l'exiger des autres moyens proposés, sinon il y a deux poids deux mesures.Ben, alors à nouveau on n'a pas la même définition de la communication ! Ok c'est pas de la communication parfaite, mais c'est quand même de la communication !
Alors, je te re-cite :Bernard(o) wrote:Svernoux a écrit :
Je n'ai jamais dit que le travail des interprètes était de la demi-mesure. J'ai utilisé ce terme dans le paragraphe suivant où il est question de communication internationale et de langues naturelles.Je pense que didine sera d'accord pour dire qu'un interprète, il ne communique pas rien du tout ! Sans eux, il n'y aurait pas de communication internationale (que ce soit en epéranto ou non) !
De quelle demi-mesure parles-tu ? Je ne pense pas à nouveau que ça fasse bien plaisir à Didine et à ses confrères ! Leur travail n'est pas de la demi-mesure.
Tu serais aimable de ne pas dénaturer mes propos.
Toujours pas compris de quelle demi-mesure tu parles ! Ceux qui ont besoin de communiquer ont à leur disposition tous les "outils" nécessaires : interprètes, traducteurs, traducteurs de poche, etc. Et lorsque tu dis qu'on refuse la "communication internationale" au plus grand nombre, tu oublies de dire que le plus grand nombre la refuse de toute façon ! La plupart des gens que je connais ne pratiquent aucune langue étrangère ni à cause de la difficulté, ni par manque de temps, ni par manque d'argent, mais simplement parce que ça ne les intéresse pas ! Et parmi ceux que je connais qui pratiquent des langues, c'est presque tous dans un but pratique : faire du business, partir en vacances en Espagne, comprendre les sources bibliographiques nécessaires à leur travail... Et dans ce cas-là, ils apprennent uniquement le minimum syndical nécessaire à l'obtention de leur but. Or, comme d'après toi, cette approche des langues n'est pas de la "communication internationale" mais du n'importe quoi (si je t'ai bien compris...), on peut donc considérer que la communication internationale n'intéresse réellement en soi qu'une partie infime de la population...Bernard(o) wrote:La communication internationale, la vraie, ne se contente pas de demi-mesures. Vouloir la faire passer par les langues naturelles c'est la refuser au plus grand nombre, car la plupart des gens n'ont pas forcément les capacités intellectuelles, le temps, l'argent nécessaire à y consacrer.
Sonka - Сонька
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