Posted: 21 Apr 2004 10:00
Ben alors Pwyll, tu les as trouvés où tes méchants profs ?...
Maï - perplexe
Maï - perplexe
Si tu en trouves 10, ils pourront faire un match de basket !Maïwenn wrote:Moi j'en compte plus que 5... faudra que je pense à me faire greffer des doigts
ha, l’amateurisme ....en voilà un bon sujetPwyll wrote:Les gens sérieux et scientifiques qui s'occupent du breton ne sont pas légion, de ttes façons.
(mais quand marinala_b aura perfectionné son breton en suivant tes conseils avisés, cette lacune sera comblée)Pwyll wrote:la page internet indiquée ci-dessus est pas sérieuse, ne serait-ce que parce que les mots servant d'exemple pour montrer des différences entre les 3 orthographes contiennent des fautes (dans l'interdialectale).
Mais non. Peut-être devra-t-on simplement inventer un équivalent à Franco-PinailleurPwyll wrote:Au risque de me conforter dans mon rôle de chieur de service
En relisant le premier post de ce thème, je remarque que cela a un peu dévié, et que j'en suis en partie reponsable. C'est souvent comme cela, on passe plus de temps à parler DU breton (en français) qu'à parler EN breton. En partie parce que, par la force des choses, le français est la langue dans laquelle nous sommes le plus à l'aise pour parler de ce sujet qui nous tient à coeur, en partie aussi pour permettre d'être compris par les non brittophones (ce mot est un peu la dernière mode pour désigner ceux que l'on nommait précédemment les bretonnants).kokoyaya wrote:J'ai pensé que ce serait sympa que les bretonnisants discutent ici en breton, répondent aux questions des débutants (aux miennes par exemple), etc.
Trugarez ha a wir galon
Dans mon cas, le découragement était bien présent, et c'est la fréquentation de ce forum qui m'a redonné un coup de startijenn (Un verre de cidre à celui qui pourra expliquer ce terme). Ces jours-ci, j'ai recommencé à lire des livres en breton à mes enfants (en partie pour équilibrer le temps que je passe devant mon ordinateur).kokoyaya wrote:Pas de découragement en vue, faut pas s'en faire pour moi en tout cas
A défaut d'une vieille, il suffit de trouver quelqu'un de motivant pour nous secouer les puces en cas de baisse de régime et hop !
Content de se sentir soutenu.Je pense que, pour comprendre l'attitude défaitiste ou énervée ou critique de certains, il faut avoir entendu certains jeunes brittophones parler. On qualifie parfois leur langage de roazonègue, par ironie envers les étudiants de la fac de Rennes. Il s'agit d'un prononciation sans relief ou calquée sur celui des djeuns' en français.
Non, car il existe un petit nombre de profs qui connaissent bien le breton et qui l'enseignent (certains le connaissent et ne l'enseignent pas), et y a aussi qq centaines de jeunes qui ont appris le breton avec leur parents et qui le parlent parfaitement. Mais c pas assez.Mais doit-on pour autant tout jetter à la poubelle ? Bien sur que non.