Posted: 14 Aug 2008 18:19
Nan, tu confonds avec le polonais 

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array('aa','bb','cc','dd','ee','ff','gg','hh','jj','kk','ll','mm','nn','oo','pp','qq',
'rr','ss','tt','uu','vv','ww','xx','yy','zz','şş','ţţ',
'ââ','îî','ăă','âî',
'âo','oâ','îo','oî','ăo','oă',
'âe','eâ','îe','eî','ăe','eă',
'ây','yâ','îy','yî','ăy','yă',
'sx','kx','kh','hk',
'îy','iy','yi','yî');
Le n tilde existe également en espagnolLSF wrote:Pour le breton, il y a effectivement le c'h qui est caractéristique, mais aussi le ñ (il ne se prononce pas mais signale la nasalisation de la voyelle qui précède) et l'absence des lettres c (isolée : le ch est une lettre à part entière), du q et du x.
Effectivement ! Mais comme dans mon message, j'évoquais seulement le breton, je n'ai pas mentionné l'espagnol, qui possède également le ñ, comme le galicien ainsi que cela a été mentionné plus haut.kokoyaya wrote:Le n tilde existe également en espagnol
Pas fauxflamenco wrote:En même temps pour confondre le breton et l'espagnol, faut le faire!
Merci pour les combinaisons.iubito wrote:
si on lui demande "salut, ça va?" il répond albanais ou turc
il a éliminé facilement les alphabets cyrilliques
après, pour déterminer la langue, il faudrait :
- les combinaisons uniques de la langue, donc les trucs très caractéristiques qu'on ne trouve nulle part ailleurs
- de l'intelligence artificielle pour apprendre des mots et donc repérer rapidement, avec quelques mots fréquents... mais là ça dépasse mes capacités.
La différence se voit au premier coup d'oeil : si l'alphabet est le même, les accents ne le sont pas : en grec ancien, il y a trois sortes d'accents (aigu, grave et circonflexe, ce dernier ayant le plus souvent l'aspect d'un tilde), et en grec moderne, depuis la réforme de 1982, il n'y a plus que l'accent aigu.hectormayor wrote:Au passage, je suis toujours incapable de différencier le grec ancien du grec moderne
Attention : l'absence d'accent est significative mais la présence ne l'est donc pas. Si l'on parle de texte imprimé, il y a virtuellement autant de chance de trouver un texte polytonique que monotonique (tout ce qui a été édité avant 82).LSF wrote:La différence se voit au premier coup d'oeil : si l'alphabet est le même, les accents ne le sont pas : en grec ancien, il y a trois sortes d'accents (aigu, grave et circonflexe, ce dernier ayant le plus souvent l'aspect d'un tilde), et en grec moderne, depuis la réforme de 1982, il n'y a plus que l'accent aigu.hectormayor wrote:Au passage, je suis toujours incapable de différencier le grec ancien du grec moderne
En outre, en grec ancien, lorsque le mot commence par une voyelle, cette dernière est surmontée d'un esprit (doux ou rude selon que la voyelle est aspirée ou non).
De plus il existe des combinaisons : γκ, μπ, ντ que l'on peut retrouver à l'initiale en grec moderne.
Mais c'est plus compliqué lorsqu'il s'agit du grec officiel "puriste", à l'orthographe et au vocabulaire archaïsants, d'avant 1982 : il faut avoir des notions de grec (ancien ou moderne) pour faire la différence à coup sûr... On peut se répérer grâce aux conjugaisons et déclinaisons, par exemple.
Je complète, pour mettre tout le monde d'accord : en breton on a des ñ en finale.kokoyaya wrote:Le n tilde existe également en espagnolLSF wrote:Pour le breton, il y a effectivement le c'h qui est caractéristique, mais aussi le ñ (il ne se prononce pas mais signale la nasalisation de la voyelle qui précède) et l'absence des lettres c (isolée : le ch est une lettre à part entière), du q et du x.