ch'tite blague
ça se passe en URSS
Staline tiens un meeting devans un foule de plus de 10 000 personnes.Il y a un moment de silence et quelqu'un eternue,Staline dit"qui a eternué!".Personne ne réponds alors Staline dit "QU'N FUSILLE LE PREMIER RANG".Le 1er rang fusillé,il répete sa question.Personne ne réponds, alors stalie dit"QU'ON FUSILLE LE DEUXIEME RANG!!!"
Le mec qui a éternué commence à se sentir mal.Quand Staline répète sa question, il lève le bras et dit"c'est moi,camarade!"
alors Staline dit"A TES SOUHAITS CAMARADE!!!!!"
Staline tiens un meeting devans un foule de plus de 10 000 personnes.Il y a un moment de silence et quelqu'un eternue,Staline dit"qui a eternué!".Personne ne réponds alors Staline dit "QU'N FUSILLE LE PREMIER RANG".Le 1er rang fusillé,il répete sa question.Personne ne réponds, alors stalie dit"QU'ON FUSILLE LE DEUXIEME RANG!!!"
Le mec qui a éternué commence à se sentir mal.Quand Staline répète sa question, il lève le bras et dit"c'est moi,camarade!"
alors Staline dit"A TES SOUHAITS CAMARADE!!!!!"
A+ les cactus !
A izza i ana sacranou
Askaratni kaasoun kaasoun khalidah
Ana mal' anou bihoubbinn raasikhinn
Lan yatroukani abada...
A izza i ana sacranou
Askaratni kaasoun kaasoun khalidah
Ana mal' anou bihoubbinn raasikhinn
Lan yatroukani abada...
Un jeune homme voulait acheter un cadeau à sa fiancée pour son anniversaire.
Après réflexion, il décida de lui acheter une paire de gants.
En compagnie de sa future belle-sœur, il se rendit dans un magasin à rayons.
La belle-sœur acheta pour elle-même deux paires de petites culottes et il acheta une jolie paire de gants doublée de fourrure. Durant l’emballage, la vendeuse mélangea les articles et remit les culottes au fiancé. De retour chez lui, sans vérifier, il envoya les petites culottes à sa fiancée avec la note suivante :
« Douce chérie,
Voici un petit cadeau pour te prouver que je n’ai pas oublié ton anniversaire.
Mon choix est dû au fait que je me suis aperçu que tu avais l’habitude de ne pas en porter lorsque tu sortais le soir. N’eut été de ta sœur, j’aurais choisi une paire plus longue avec des boutons mais elle porte elle-même des paires plus courtes, faciles à enlever. La couleur est plutôt pâle mais la vendeuse m’a montré une paire qu’elle avait portée pendant trois semaines et elle était à peine sale. La vendeuse en a fait l’essai devant moi et ça lui faisait très bien.
J’aurais aimé pouvoir te les mettre moi-même la première fois. Sans doute que beaucoup d’autres hommes les serreront dans leurs mains avant que je ne puisse te revoir.
Lorsque tu les enlèveras, souffle dedans avant de les mettre de côté afin de chasser l’humidité qui reste toujours après usage. Sois certaine de les porter quand tu les laveras pour empêcher leur rétrécissement. J’espère que tu vas les aimer et que tu vas les porter pour moi vendredi soir prochain.
Avec tout mon amour,
Ton fiancé
P.S. Pense au nombre de fois que j’aurai le plaisir de les embrasser au cours des prochaines années. Enfin, la dernière mode
, c’est de les porter avec les rebords pliés montrant la fourrure ».
Après réflexion, il décida de lui acheter une paire de gants.
En compagnie de sa future belle-sœur, il se rendit dans un magasin à rayons.
La belle-sœur acheta pour elle-même deux paires de petites culottes et il acheta une jolie paire de gants doublée de fourrure. Durant l’emballage, la vendeuse mélangea les articles et remit les culottes au fiancé. De retour chez lui, sans vérifier, il envoya les petites culottes à sa fiancée avec la note suivante :
« Douce chérie,
Voici un petit cadeau pour te prouver que je n’ai pas oublié ton anniversaire.
Mon choix est dû au fait que je me suis aperçu que tu avais l’habitude de ne pas en porter lorsque tu sortais le soir. N’eut été de ta sœur, j’aurais choisi une paire plus longue avec des boutons mais elle porte elle-même des paires plus courtes, faciles à enlever. La couleur est plutôt pâle mais la vendeuse m’a montré une paire qu’elle avait portée pendant trois semaines et elle était à peine sale. La vendeuse en a fait l’essai devant moi et ça lui faisait très bien.
J’aurais aimé pouvoir te les mettre moi-même la première fois. Sans doute que beaucoup d’autres hommes les serreront dans leurs mains avant que je ne puisse te revoir.
Lorsque tu les enlèveras, souffle dedans avant de les mettre de côté afin de chasser l’humidité qui reste toujours après usage. Sois certaine de les porter quand tu les laveras pour empêcher leur rétrécissement. J’espère que tu vas les aimer et que tu vas les porter pour moi vendredi soir prochain.
Avec tout mon amour,
Ton fiancé
P.S. Pense au nombre de fois que j’aurai le plaisir de les embrasser au cours des prochaines années. Enfin, la dernière mode
, c’est de les porter avec les rebords pliés montrant la fourrure ».
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
Histoire sentimentale
C'était il y a quelque temps, au bal de la Nuits Saint Georges que j'ai
rencontré la petite Juliénas, une fille drôlement Gigondas, un sacré
beau Meursault, bien charpentée, et sous sa robe vermillon un grand cru
classé, avec des arômes de cassis et de fraises des bois.
On a dansé Anjou contre Anjou sur un Sylvaner à la mode et plus
tard lorsque je lui ai proposé de l'emmener dans mon
Châteauneuf-du-Pape, elle est devenue toute Croze-Hermitage.
Le temps d'aller chercher un Chablis au vestiaire, de mettre un petit
Corton dans ses cheveux, on est montés dans ma banyuls et on a roulé
jusqu'au matin.
Ah, quelle belle journée! On s'est baladé Entre-deux-mers, il faisait
beau, on a Vacqueyras sur la plage, les pieds dans l'eau Clairette, on
s'est Pouilly-Fuissé dans les dunes et puis comme le Mercurey montait
sérieusement et qu'on commençait à avoir les Côtes-Rôties on a décidé de
rentrer.
Mais voilà, en partant nous nous sommes retrouvé coincés dans les
embouteillages, enfin les bouchons, quoi ! Je commençais à Minervois
sérieusement et là Julienas et moi, nous avons commencé à nous crêper le Chinon.
D'un seul coup elle a claqué la Corbière de la Banyuls et elle est
partie. Je me suis retrouvé comme Macon. Quoi, me suis-je dit, elle
s'est déjà Sauvignon avant même que j'ai le temps de la Sauternes !
Mais je vous Jurançon, je l'avais dans la Pouillac, en effet, j'étais
tellement Tokay que j'ai couru après elle dans Lalande et les Chardonnay
pour la rattraper.
Quand on s'est retrouvés, et que je l'ai vue devant moi en Gros-plant,
je lui ai dit : « ne fais pas ta Pomerol, et ne t'en va plus Gamay !»
en pleurant, elle est tombée dans mes bras en Madiran : «ne m'en veut
pas, je voulais juste être sure que ton Saint-Amour était vraiment
Sancerre ».
Depuis on ne s'est plus cuités...
C'était il y a quelque temps, au bal de la Nuits Saint Georges que j'ai
rencontré la petite Juliénas, une fille drôlement Gigondas, un sacré
beau Meursault, bien charpentée, et sous sa robe vermillon un grand cru
classé, avec des arômes de cassis et de fraises des bois.
On a dansé Anjou contre Anjou sur un Sylvaner à la mode et plus
tard lorsque je lui ai proposé de l'emmener dans mon
Châteauneuf-du-Pape, elle est devenue toute Croze-Hermitage.
Le temps d'aller chercher un Chablis au vestiaire, de mettre un petit
Corton dans ses cheveux, on est montés dans ma banyuls et on a roulé
jusqu'au matin.
Ah, quelle belle journée! On s'est baladé Entre-deux-mers, il faisait
beau, on a Vacqueyras sur la plage, les pieds dans l'eau Clairette, on
s'est Pouilly-Fuissé dans les dunes et puis comme le Mercurey montait
sérieusement et qu'on commençait à avoir les Côtes-Rôties on a décidé de
rentrer.
Mais voilà, en partant nous nous sommes retrouvé coincés dans les
embouteillages, enfin les bouchons, quoi ! Je commençais à Minervois
sérieusement et là Julienas et moi, nous avons commencé à nous crêper le Chinon.
D'un seul coup elle a claqué la Corbière de la Banyuls et elle est
partie. Je me suis retrouvé comme Macon. Quoi, me suis-je dit, elle
s'est déjà Sauvignon avant même que j'ai le temps de la Sauternes !
Mais je vous Jurançon, je l'avais dans la Pouillac, en effet, j'étais
tellement Tokay que j'ai couru après elle dans Lalande et les Chardonnay
pour la rattraper.
Quand on s'est retrouvés, et que je l'ai vue devant moi en Gros-plant,
je lui ai dit : « ne fais pas ta Pomerol, et ne t'en va plus Gamay !»
en pleurant, elle est tombée dans mes bras en Madiran : «ne m'en veut
pas, je voulais juste être sure que ton Saint-Amour était vraiment
Sancerre ».
Depuis on ne s'est plus cuités...
A+ les cactus !
A izza i ana sacranou
Askaratni kaasoun kaasoun khalidah
Ana mal' anou bihoubbinn raasikhinn
Lan yatroukani abada...
A izza i ana sacranou
Askaratni kaasoun kaasoun khalidah
Ana mal' anou bihoubbinn raasikhinn
Lan yatroukani abada...
J'étais en train de faire des recherches pour une trad sur un sujet médical et je suis tombée sur un forum de médecins avec des blagues démentielles... Il y avait ça, dans "Perles de la Presse"
* Le rapport de la gendarmerie révèle que Alain P... se serait suicidé
lui-même. (Nord Éclair)
* Le mystère de la femme coupée en morceaux reste entier. (Est-Éclair)
* Quand Honoré Gall s'est-il suicidé ? S'est-il donné la mort avant de
se jeter à l'eau ? (Le Progrès)
* Il lui bottait le derrière à tour de bras.
* Il abusait de la puissance de son sexe pour frapper son ex-épouse.
* Des trous dans sa culotte laissaient entrevoir une famille pauvre.
(Le Parisien).
* En raison de la chaleur, les musiciens ne porteront que la casquette
de l'uniforme.(Ouest France).
* L'individu n'était pas à prendre avec du pain sec.
* M. Jean C. remercie chaleureusement les personnes qui ont pris part
au décès de son épouse.
* Elle est décédée mortellement.(La Creuse).
* Ses dernières paroles furent un silence farouche.
* L'église étant en travaux, ses obsèques ont été célébrées à la salle
des fêtes.
* Tous portaient une crêpe à la boutonnière.
* Comme il s'agissait d'un sourd, la police dut pour l'interroger avoir
recours à l'alphabet braille.
* Ayant débuté comme simple fossoyeur, il a, depuis, fait son trou.
* Plus solide et moins infalsifiable, le nouveau permis de conduire est
arrivé. (l'Yonne républicaine)
* Détail navrant, cette personne avait déjà été victime l'an dernier
d'un accident mortel.
* Il a été superficiellement égorgé au bras.
* Quand vous doublez un cycliste, laissez lui toujours la place de
tomber.(Le Républicain Lorrain)
* Le climat et les eaux sont très humides.
* Les mosquées sont très nombreuses car les musulmans sont très
chrétiens.
* La conférence sur la constipation sera suivie d'un pot amical.
(Ouest-France).
* Ses hémorroïdes l'empêchait de fermer l'oeil.
* Il y aura un appareil de réanimation dernier cri.
* Chasse : Moins de cerfs, mais plus nombreux. (Dernières nouvelles
d'Alsace).
* Il remue la queue en cadence comme un soldat à la parade.
* Tombola de la Société Bayonnaise des Amis des Oiseaux : le numéro
5963 gagne un fusil de chasse.
* A aucun moment le Christ n'a baissé les bras.(Le Paroissien de
Lamballe).
* Le syndicat des inséminateurs fait appel à la vigueur de ses membres.
* Les kinés se sont massés contre les grilles de la préfecture.(Presse
Océan).
* Visiblement, la victime a été étranglée à coups de couteau.(Journal
du Dimanche).
* A Montaigu, la fête du 1er mai aura lieu le 1er mai.(Le Rouge
Choletais).
* C'est la foire des veaux et des porcs : venez nombreux ! (La Vie
Corrézienne).
* Journée du sang : s'inscrire à la boucherie.(Presse Océan).
* Véritable Pub anglais : spécialité couscous.(Le Télégramme)
* Très gravement brûlée, elle s'est éteinte pendant son transport à l'hôpital. (Dauphiné Actualité)
*Cette attaque frappe les hommes politiques mais aussi les honnêtes gens.
*Suite a ce succès, les acteurs se reproduiront devant vous.
*Une bicyclette ne peut avancer que mise en mouvement. (L'Intransigeant, 14/12/1906)
Les meilleur : le pot amical et les acteurs se reproduiront
* Le rapport de la gendarmerie révèle que Alain P... se serait suicidé
lui-même. (Nord Éclair)
* Le mystère de la femme coupée en morceaux reste entier. (Est-Éclair)
* Quand Honoré Gall s'est-il suicidé ? S'est-il donné la mort avant de
se jeter à l'eau ? (Le Progrès)
* Il lui bottait le derrière à tour de bras.
* Il abusait de la puissance de son sexe pour frapper son ex-épouse.
* Des trous dans sa culotte laissaient entrevoir une famille pauvre.
(Le Parisien).
* En raison de la chaleur, les musiciens ne porteront que la casquette
de l'uniforme.(Ouest France).
* L'individu n'était pas à prendre avec du pain sec.
* M. Jean C. remercie chaleureusement les personnes qui ont pris part
au décès de son épouse.
* Elle est décédée mortellement.(La Creuse).
* Ses dernières paroles furent un silence farouche.
* L'église étant en travaux, ses obsèques ont été célébrées à la salle
des fêtes.
* Tous portaient une crêpe à la boutonnière.
* Comme il s'agissait d'un sourd, la police dut pour l'interroger avoir
recours à l'alphabet braille.
* Ayant débuté comme simple fossoyeur, il a, depuis, fait son trou.
* Plus solide et moins infalsifiable, le nouveau permis de conduire est
arrivé. (l'Yonne républicaine)
* Détail navrant, cette personne avait déjà été victime l'an dernier
d'un accident mortel.
* Il a été superficiellement égorgé au bras.
* Quand vous doublez un cycliste, laissez lui toujours la place de
tomber.(Le Républicain Lorrain)
* Le climat et les eaux sont très humides.
* Les mosquées sont très nombreuses car les musulmans sont très
chrétiens.
* La conférence sur la constipation sera suivie d'un pot amical.
(Ouest-France).
* Ses hémorroïdes l'empêchait de fermer l'oeil.
* Il y aura un appareil de réanimation dernier cri.
* Chasse : Moins de cerfs, mais plus nombreux. (Dernières nouvelles
d'Alsace).
* Il remue la queue en cadence comme un soldat à la parade.
* Tombola de la Société Bayonnaise des Amis des Oiseaux : le numéro
5963 gagne un fusil de chasse.
* A aucun moment le Christ n'a baissé les bras.(Le Paroissien de
Lamballe).
* Le syndicat des inséminateurs fait appel à la vigueur de ses membres.
* Les kinés se sont massés contre les grilles de la préfecture.(Presse
Océan).
* Visiblement, la victime a été étranglée à coups de couteau.(Journal
du Dimanche).
* A Montaigu, la fête du 1er mai aura lieu le 1er mai.(Le Rouge
Choletais).
* C'est la foire des veaux et des porcs : venez nombreux ! (La Vie
Corrézienne).
* Journée du sang : s'inscrire à la boucherie.(Presse Océan).
* Véritable Pub anglais : spécialité couscous.(Le Télégramme)
* Très gravement brûlée, elle s'est éteinte pendant son transport à l'hôpital. (Dauphiné Actualité)
*Cette attaque frappe les hommes politiques mais aussi les honnêtes gens.
*Suite a ce succès, les acteurs se reproduiront devant vous.
*Une bicyclette ne peut avancer que mise en mouvement. (L'Intransigeant, 14/12/1906)
Les meilleur : le pot amical et les acteurs se reproduiront

Guten Tarte! Sorry for the time...



J'ai apprécié celle-là, qui est d'ailleurs un classique :
* Comme il s'agissait d'un sourd, la police dut pour l'interroger avoir
recours à l'alphabet braille.
Et cette autre perle, qui ne figure dans aucun bêtisier : c'est un copain qui en est l'auteur, alors qu'il racontait un accident...
"Il y a eu des blessés, et aussi des morts graves".
Vengeance d'une femme digne de Machiavel
redoutable et efficace!
Le premier jour, elle a emballé ses effets personnels dans des boîtes, des malles et des valises...
Le deuxième jour, les déménageurs sont venus pour les emporter...
Le troisième jour, elle s'est assise pour la dernière fois dans leur salle à manger, et à la lueur des chandeliers, bercée par une douce musique de fond, elle s'est fait un festin de crevettes, de caviar et de Champagne.
Lorsqu'elle a terminé son repas, elle est allée dans chacune des pièces de la maison et a déposé dans le creux des tringles à rideaux, quelques crevettes qu'elle n'avait pas mangées.
Elle a ensuite bien nettoyé la cuisine, et quitté la maison.
Lorsque son mari et sa nouvelle petite amie sont revenus s'installer à la maison, ils ont filé le parfait amour durant les premiers jours.
Puis, lentement, la maison a commencé à sentir mauvais. Ils ont tout essayé : nettoyer, récurer, frotter, cirer, aérer... En vain.
Ils ont alors fait vérifier les conduits d'aération, afin de s'assurer qu'il ne s'y trouvait pas de cadavres de rongeurs en putréfaction.
Tous les tapis, moquettes et tissus muraux ont été nettoyés à la vapeur, et des purificateurs d'air installés aux quatre coins de la maison.
Comme l'odeur persistait, le mari et sa petite amie sont partis quelques jours à l'hôtel, le temps qu'une entreprise d'extermination vaporise des produits anti-bestioles dans toute la maison.
Lorsqu'ils sont revenus l'odeur était toujours là.
Ils ont alors décidé de faire remplacer les tapis et moquettes, pour une somme faramineuse.
Et l'odeur a persisté.Leurs amis ont cessé de venir leur rendre visite, le facteur faisait un détour et oubliait de leur distribuer le courrier,
la femme de ménage a donné sa démission...
Finalement, incapables d'endurer la pestilence, ils ont décidé de déménager dès que la maison serait vendue.
Un mois plus tard, et bien qu'ils aient réduit leur prix de vente de moitié, ils ne trouvaient toujours pas d'acheteur pour leur maison puante.
Le mot était passé, et même les agents immobiliers ne répondaient plus à leurs appels.
En dernier recours, ils ont emprunté une importante somme d'argent pour pouvoir acheter une autre maison.
L'ex-épouse de l'homme lui a téléphoné, histoire de prendre de ses nouvelles.
Il lui a raconté la saga de la maison puante.
Elle l'a écouté poliment, puis lui a dit qu'elle s'ennuyait terriblement de cette maison, et qu'elle serait prête à accepter de réduire ses demandes dans leurs négociations de divorce si elle pouvait récupérer la maison...
Sachant que son ex-épouse ne pouvait s'imaginer à quel point les odeurs de la maison étaient pestilentielles et insupportables, le mari voulut bien lui céder la maison pour le dixième de sa valeur réelle, à la condition qu'elle signe les papiers le jour même.
Elle accepta et, dans l'heure, les avocats de l'ex-mari lui envoyèrent les papiers.
Une semaine plus tard, l'homme et sa nouvelle petite amie affichaient un sourire narquois en regardant les déménageurs emballer toutes leurs affaires et les déménager dans leur nouvelle maison.
Tout, absolument tout.
Y compris les tringles à rideaux...
redoutable et efficace!
Le premier jour, elle a emballé ses effets personnels dans des boîtes, des malles et des valises...
Le deuxième jour, les déménageurs sont venus pour les emporter...
Le troisième jour, elle s'est assise pour la dernière fois dans leur salle à manger, et à la lueur des chandeliers, bercée par une douce musique de fond, elle s'est fait un festin de crevettes, de caviar et de Champagne.
Lorsqu'elle a terminé son repas, elle est allée dans chacune des pièces de la maison et a déposé dans le creux des tringles à rideaux, quelques crevettes qu'elle n'avait pas mangées.
Elle a ensuite bien nettoyé la cuisine, et quitté la maison.
Lorsque son mari et sa nouvelle petite amie sont revenus s'installer à la maison, ils ont filé le parfait amour durant les premiers jours.
Puis, lentement, la maison a commencé à sentir mauvais. Ils ont tout essayé : nettoyer, récurer, frotter, cirer, aérer... En vain.
Ils ont alors fait vérifier les conduits d'aération, afin de s'assurer qu'il ne s'y trouvait pas de cadavres de rongeurs en putréfaction.
Tous les tapis, moquettes et tissus muraux ont été nettoyés à la vapeur, et des purificateurs d'air installés aux quatre coins de la maison.
Comme l'odeur persistait, le mari et sa petite amie sont partis quelques jours à l'hôtel, le temps qu'une entreprise d'extermination vaporise des produits anti-bestioles dans toute la maison.
Lorsqu'ils sont revenus l'odeur était toujours là.
Ils ont alors décidé de faire remplacer les tapis et moquettes, pour une somme faramineuse.
Et l'odeur a persisté.Leurs amis ont cessé de venir leur rendre visite, le facteur faisait un détour et oubliait de leur distribuer le courrier,
la femme de ménage a donné sa démission...
Finalement, incapables d'endurer la pestilence, ils ont décidé de déménager dès que la maison serait vendue.
Un mois plus tard, et bien qu'ils aient réduit leur prix de vente de moitié, ils ne trouvaient toujours pas d'acheteur pour leur maison puante.
Le mot était passé, et même les agents immobiliers ne répondaient plus à leurs appels.
En dernier recours, ils ont emprunté une importante somme d'argent pour pouvoir acheter une autre maison.
L'ex-épouse de l'homme lui a téléphoné, histoire de prendre de ses nouvelles.
Il lui a raconté la saga de la maison puante.
Elle l'a écouté poliment, puis lui a dit qu'elle s'ennuyait terriblement de cette maison, et qu'elle serait prête à accepter de réduire ses demandes dans leurs négociations de divorce si elle pouvait récupérer la maison...
Sachant que son ex-épouse ne pouvait s'imaginer à quel point les odeurs de la maison étaient pestilentielles et insupportables, le mari voulut bien lui céder la maison pour le dixième de sa valeur réelle, à la condition qu'elle signe les papiers le jour même.
Elle accepta et, dans l'heure, les avocats de l'ex-mari lui envoyèrent les papiers.
Une semaine plus tard, l'homme et sa nouvelle petite amie affichaient un sourire narquois en regardant les déménageurs emballer toutes leurs affaires et les déménager dans leur nouvelle maison.
Tout, absolument tout.
Y compris les tringles à rideaux...
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.