"au milieu de la chose", si je comprends bien. Je suppose que ça veut dire que tu commences par ton 20ème Noël au lieu de ta naissance. Mais Enora va nous en dire plus.
ouaip c'est ça !
En fait tu commences par de l'action, tu ne dois pas rester trainer sur les "je suis née le", "j'étais un beau bébé"...
"Qui trop sauce ses plats jamais ventre plat n'aura"
je vais participer aussi ! en fait moi c'est deja ecrit! mais je vais relire , refaire et rallonger un peu !
c'est ti quand qu'on peut poster?
Quand tu te lèves le matin, remercie pour la lumière du jour, la nourriture et le bonheur de vivre. Si tu ne vois pas de raison de remercier, la faute repose en toi-même.
Tecumseh, chef shawni
Miguel wrote:J'ai commencé à me pencher sur la question, et j'ai fait une découverte qui va bouleverser l'univers. Nous demander d'écrire ce qui serait la 1ère page d'une autobiographie, c'est un exercice finalement différent de l'écriture d'une vraie première page quand on sait que le lecteur va lire le reste aussi.
Dans notre cas, la première page est censée aller beaucoup plus vite dans le vif du sujet si on veut éviter d'être simplement en train de décrire le pied d'une commode, ce qui arrive parfois.
On est, à la limite, dans une synthèse début de roman autobio/nouvelle.
À ce sujet, je me suis dit en plus que je vais écrire une page qui sera autonome, donc qui aura une sorte de fin. C'est aussi ce que tu voyais comme implication à ta découverte?
Est-ce ce que vous aviez tous en tête aussi? Ou bien pensez-vous écrire une vraie première page d'autobio où le bas de la page ne termine rien ou ne conclut rien?
Est-ce ce que vous aviez tous en tête aussi? Ou bien pensez-vous écrire une vraie première page d'autobio où le bas de la page ne termine rien ou ne conclut rien?
En fait je me voyais bien m'arrêter au beau milieu d'une phrase, comme dans un vrai livre. Enfin, j'y avais pas vraiment réfléchi, mais ça ne me dérangeait pas d'écrire un truc sans fin réelle. D'ailleurs une autobiographie a-t-elle vraiment une fin ? Celui qui l'écrit n'est pas mort, on peut donc en douter...
Penn ar Bed
The end of the land
Le commencement d'un monde
Est-ce ce que vous aviez tous en tête aussi? Ou bien pensez-vous écrire une vraie première page d'autobio où le bas de la page ne termine rien ou ne conclut rien?
En fait je me voyais bien m'arrêter au beau milieu d'une phrase, comme dans un vrai livre. Enfin, j'y avais pas vraiment réfléchi, mais ça ne me dérangeait pas d'écrire un truc sans fin réelle. D'ailleurs une autobiographie a-t-elle vraiment une fin ? Celui qui l'écrit n'est pas mort, on peut donc en douter...
Intéressant! En fait, je ne considère pas qu'une autobiographie fasse état de la vie de quelqu'un. C'est pour moi simplement une histoire (avec un début et une fin) faite à partir de sa vie. Donc, elle peut s'écrire quand on a huit ans et avoir une fin, même s'il s'avère qu'on vive cent ans de plus (on pourra au pire en publier quelques autres!).
Une autobiographie, peut être beaucoup de choses très différentes les unes des autres.
La plus belle que j'ai lu s'appelle "Mon frère des limbes" de François Tézénas. Très tardivement, il apprend qu'il aurait dû avoir un frère aîné, hélas décédé à sa naissance.
Et François Tézénas a écrit sa propre biographie en y intégrant ce frère qu'il n'a pas connu, à la manière de la chanson de Le Forestier.
Vous précipitez pas en librairie, vous aurez du mal à le trouver.
Est-ce ce que vous aviez tous en tête aussi? Ou bien pensez-vous écrire une vraie première page d'autobio où le bas de la page ne termine rien ou ne conclut rien?
En fait je me voyais bien m'arrêter au beau milieu d'une phrase, comme dans un vrai livre. Enfin, j'y avais pas vraiment réfléchi, mais ça ne me dérangeait pas d'écrire un truc sans fin réelle. D'ailleurs une autobiographie a-t-elle vraiment une fin ? Celui qui l'écrit n'est pas mort, on peut donc en douter...
Je pensais faire comme Maï, un truc où rien ne se termine en bas de la page.
Pr ma part, je sais déjà comment je vais aborder la chose, mais j'ai pas encore décidé de la fin de la page. Peut-être que je serai amené à écrire en verdana 4 sans marge pour faire tenir tout le bouquin
Pour répondre à Eveline, c'était un peu à ça que je pensais, ou alors plus simplement le fait qu'aucune longueur ne peut figurer dans une oeuvre qui fait une page. C'est d'ailleurs l'autre différence entre les nouvelles et les romans, les nouvelles ne sont pas seulement plus courtes, elles sont aussi plus denses, contiennent moins de superflu (le terme est mal choisi) et doivent aboutir à une fin qui tranche net.
Je m'adresse ici à ceux qui ont commencé à rédiger leur texte ou qui y ont déjà pas mal réfléchi. Ca vous fait quoi, tout ça? Pas grand chose ou ça vous retourne un peu?
didine wrote:Je m'adresse ici à ceux qui ont commencé à rédiger leur texte ou qui y ont déjà pas mal réfléchi. Ca vous fait quoi, tout ça? Pas grand chose ou ça vous retourne un peu?
tu peux préciser la question ? nous retourner, comment ça ? ca te fait qqch toi ?
Ben oui, en plus je m'y attendais pas du tout! J'ai bien réfléchi à ce que j'allais faire quand j'étais dans le RER tout à l'heure et tout d'un coup ça m'a fait des noeuds dans le ventre et tout ça.