Hm, je pense pas que ça soit une légende. Mais "mélange" est peut-être un peu raccourci. Par exemple, on dit qu'il faut toujours monter en degrés. Bon si tu ne bois que deux verres, ça n'a aucune importance, mais si tu bois pas mal, c'est un principe parfaitement valable. Donc, bière puis vin puis alcool fort = ok. Les mêmes dans le désordre ou en allers-retours = pas ok. On a testé bière puis vodka puis bière sur un copain (bon, c'est lui qui a testé, hein, malgré nos avertissements !), on a été obligés de le déshabiller pour le garder à dormir sur le canapé. Et contrairement à ce qui a été dit plus haut, plus tu manges avec, mieux ça va. Bon pas n'importe quoi non plus, mais globalement, ça aide à tenir. Un verre de vin à jeûn, je suis pompette, 10 verres de vodka avec du miam approprié, ça va bien !Maïwenn wrote:Il paraîtrait que c'est une légende. Plus facile de blâmer les mélanges que de faire son mea culpa après avoir abusé !leo wrote: ce n'est pas la quantité, mais le mélange qui est dangeureux
Le club des noctambules...
Re: Le club des noctambules...
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Re: Le club des noctambules...
Sonka wrote:10 verres de vodka




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Re: Le club des noctambules...
10 verres ! Tu t'ennuies pas toi !svernoux wrote: plus tu manges avec, mieux ça va. Bon pas n'importe quoi non plus, mais globalement, ça aide à tenir. Un verre de vin à jeûn, je suis pompette, 10 verres de vodka avec du miam approprié, ça va bien !
Je confirme pour la nourriture. Ma première et seule cuite de ma vie fut ce jour où, n'ayant rien mangé depuis 7h du mat', à 13h on m'a servi un picon-vin blanc dans un verre à limonade (qu'il a remplit bien sûr)...
Je pense que la personne avait oublié que je n'avais ni la corpulence de mon père, ni son âge (15-16 ans). J'ai eu du mal à atteindre la table pour manger. Pas bu de vin ce jour-là.
Essayons d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple. (Prévert)
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Re: Le club des noctambules...
leo wrote:Sonka wrote:10 verres de vodka![]()
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j'ai toujours dit... méfiez vous des femmes

Je ne connais pas svernoux en personne. Mais si c'est une femme dans le genre grosse fermière russe (format percheron quoi), c'est possible. Mais si elle est plutôt dans le format Françoise Hardy j'ai des doutes. Et si elle est dans le format Twiggy, là je ne la crois plus du tout!
Je crois que c'est évident. Cependant il y a des nourritures qui catalysent (positivement) l'effet de l'alcool, comme certains gras et sucres. Par exemple, manger quelque petits gâteaux gras et glacés peut être pire avec quelques verres que manger rien du tout.Chrysopale wrote:Je confirme pour la nourriture.
Avis à ceux qui aiment l'ébriété... et les épingles dans le ventre.
I te rahiraa o te taime, mea pāpū aè te reo ia taì mai i te mafatu, e mea haavarevare roa atoā rä o ia.
La langue est souvent plus éloquente, mais aussi plus trompeuse que le coeur.
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Re: Le club des noctambules...
je viens de m'offrir un petit (grand) plaisir... j'ai (re)regardé "Topaze" excellent, avec ce cher Fernandel... avis à Mesdames et Messieurs les Instits




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Re: Le club des noctambules...
Anuanua, en parlant de mélanges, Leo parlait juste des mélanges d'alcool. Je ne sais plus où j'avais lu que c'était une légende, mais ça venait d'un médecin, je crois. Enfin, moi je ne bois jamais, je vais laisser parler les spécialistes !
D'ailleurs je ne savais même pas qu'il fallait toujours monter en degrés !

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Le commencement d'un monde
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Re: Le club des noctambules...
Ah là, si on parle de mélanges d'alcool, je ne peux qu'être d'accord avec toi Maïwenn. Si on parle de mélanges d'alcools, il n'y en a qu'un de possible : mélanger de l'alcool éthylique avec l'alcool méthylique. L'alcool éthylique est celui qui est produit lors de fermentations naturelles comme celle du vin. L'alcool méthylique (aussi parfois appelée "robine", mot venant de "rubbing alcohol" ou "alcool à friction") est toxique et illégal pour la consommation orale humaine. Il résulte de certaines distillations, comme celle du bois. Certains vins foncés contiennent de l'alcool méthylique en faible quantité ; certains breuvages clairs produits par distillation (genre whisky, vodka etc.) peuvent en contenir suffisamment pour rendre malade. C'est l'alcool méthylique qui cause la "gueule de bois" ou le "mal de bloc" le lendemain : l'alcool éthylique ne fait pas ça. Il n'y a pas d'autres "mélanges" qui augmentent ou diminuent l'ébriété.
Quant au "gradient", commencer par du 2%, puis du 5% pour aboutir à du 60%, je n'y crois pas. Je crois plutôt que les premiers verres à 2% ou 5% (bières) ou 12.5% (vins) nous aident à ne pas sentir l'effet de ceux qui suivent... L'intensité de l'ébriété dépend seulement de deux facteurs :
1° le pourcentage d'alcool dans le sang ; et
2° présence ou non d'alcool méthylique ;
1° étant beaucoup plus influent que 2°.
Je répète par contre que l'interférence de sucres légers peut catalyser l'effet de l'alcool.
Par contre, mélanger certains breuvages alcoolisés peut avoir un effet sur comment on se sent après. Par exemple mélanger des crèmes et des bières peut faire un drôle de résultat dans l'estomac... C'est ce genre de mélanges qui donnent le goût de vomir, des douleurs corporelles (comme celles que j'ai eues), et autres malaises physiques autres que l'ébriété.
________________________________________________________
Puisqu'on parle d'alcool, j'aimerais souligner que plusieurs personnes parlent des ravages que font les drogues dures (cocaïne, héroïne, "speeds", etc.) dans le monde. Cela justifie la lutte que les gouvernements mènent contre les "pushers" à petite ou, surtout, à grande échelle. Cependant ces personnes oublient un petit détail...
Mes études sur l'abus et l'oppression m'indiquent que l'alcool fait à lui seul au moins 2000 fois plus de ravages sociaux et personnels que toutes les autres drogues réunies!!!
Et j'ai dit "au moins". Car je base ce chiffre sur les études les plus conservatrices (comme celle de P. Carle et al de l'Université du Québec).
Comprenez que les ravages de l'alcool ne sont pas faits que par des personnes en état d'ébriété. L'alcool cause des ravages spécifiques dans le cerveau et le système nerveux tels qu'il est possible de reconnaître un ex-alcoolique, à ses agirs et à son parler, même après 20 ans de sobriété totale!!!
La capacité de poursuivre une idée est amoindrie : les alcooliques, en ébriété ou non, on plus de difficulté à parler longtemps d'un même sujet, et ont tendance à passer d'un sujet à l'autre par analogie, et non par logique. Les arguments qu'ils amènent dans une discussion sont également typiques : ce sont souvent des arguments en contrainte aveugle. Ce qui signifie qu'ils essaient de faire valoir leur point en apportant des argument plus "forts" plutôt que plus "pertinents". Par exemple cette conversation que j'ai entendue dans un resto-bar où un des deux interlocuteurs prétendait que du pain grillé (des toasts) est cancérigène. L'autre lui demanda s'il était sûr de ce qu'il avançait. Le premier répondit "Heille! Je sais de quoi je parle! Le beau-frère de ma femme est médecin!".
Il est certain que ces handicaps jouent un rôle majeur dans notre société. En effet, les meneurs sont souvent des buveurs, alcooliques ou non. Si vous ne me croyez pas, écoutez les périodes de questions-réponses ou de discussion dans les chambres de parlement à la télévision. En vous rappelant qu'alors, les députés sont conscients d'être observés par le peuple et se surveillent...
Oui, il y a des mélanges qu'il ne faut pas faire avec l'alcool : alcool et automobile, alcool et politique, alcool et direction industrielle...
Alcool et famille...



P.S. : En postant ces images, j'ai la larme à l'oeil. C'est parfois dans ces milieux, et c'est pour ces enfants et victimes que je travaille à ces recherches sur l'abus et l'oppression. Phénomènes indissociables de l'alcool.
Quant au "gradient", commencer par du 2%, puis du 5% pour aboutir à du 60%, je n'y crois pas. Je crois plutôt que les premiers verres à 2% ou 5% (bières) ou 12.5% (vins) nous aident à ne pas sentir l'effet de ceux qui suivent... L'intensité de l'ébriété dépend seulement de deux facteurs :
1° le pourcentage d'alcool dans le sang ; et
2° présence ou non d'alcool méthylique ;
1° étant beaucoup plus influent que 2°.
Je répète par contre que l'interférence de sucres légers peut catalyser l'effet de l'alcool.
Par contre, mélanger certains breuvages alcoolisés peut avoir un effet sur comment on se sent après. Par exemple mélanger des crèmes et des bières peut faire un drôle de résultat dans l'estomac... C'est ce genre de mélanges qui donnent le goût de vomir, des douleurs corporelles (comme celles que j'ai eues), et autres malaises physiques autres que l'ébriété.
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Puisqu'on parle d'alcool, j'aimerais souligner que plusieurs personnes parlent des ravages que font les drogues dures (cocaïne, héroïne, "speeds", etc.) dans le monde. Cela justifie la lutte que les gouvernements mènent contre les "pushers" à petite ou, surtout, à grande échelle. Cependant ces personnes oublient un petit détail...
Mes études sur l'abus et l'oppression m'indiquent que l'alcool fait à lui seul au moins 2000 fois plus de ravages sociaux et personnels que toutes les autres drogues réunies!!!
Et j'ai dit "au moins". Car je base ce chiffre sur les études les plus conservatrices (comme celle de P. Carle et al de l'Université du Québec).
Comprenez que les ravages de l'alcool ne sont pas faits que par des personnes en état d'ébriété. L'alcool cause des ravages spécifiques dans le cerveau et le système nerveux tels qu'il est possible de reconnaître un ex-alcoolique, à ses agirs et à son parler, même après 20 ans de sobriété totale!!!
La capacité de poursuivre une idée est amoindrie : les alcooliques, en ébriété ou non, on plus de difficulté à parler longtemps d'un même sujet, et ont tendance à passer d'un sujet à l'autre par analogie, et non par logique. Les arguments qu'ils amènent dans une discussion sont également typiques : ce sont souvent des arguments en contrainte aveugle. Ce qui signifie qu'ils essaient de faire valoir leur point en apportant des argument plus "forts" plutôt que plus "pertinents". Par exemple cette conversation que j'ai entendue dans un resto-bar où un des deux interlocuteurs prétendait que du pain grillé (des toasts) est cancérigène. L'autre lui demanda s'il était sûr de ce qu'il avançait. Le premier répondit "Heille! Je sais de quoi je parle! Le beau-frère de ma femme est médecin!".
Il est certain que ces handicaps jouent un rôle majeur dans notre société. En effet, les meneurs sont souvent des buveurs, alcooliques ou non. Si vous ne me croyez pas, écoutez les périodes de questions-réponses ou de discussion dans les chambres de parlement à la télévision. En vous rappelant qu'alors, les députés sont conscients d'être observés par le peuple et se surveillent...
Oui, il y a des mélanges qu'il ne faut pas faire avec l'alcool : alcool et automobile, alcool et politique, alcool et direction industrielle...
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P.S. : En postant ces images, j'ai la larme à l'oeil. C'est parfois dans ces milieux, et c'est pour ces enfants et victimes que je travaille à ces recherches sur l'abus et l'oppression. Phénomènes indissociables de l'alcool.
Last edited by Anuanua on 24 May 2010 18:28, edited 3 times in total.
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Re: Le club des noctambules...
Je ne suis ni l'un ni l'autre. Mais ça n'est pas vraiment une question de croyance, c'est juste que tu ne fréquentes pas assez de Russes ! 10 verres, ça commence à être beaucoup pour moi, mais c'est pas grand chose pour le Russe moyen.Anuanua wrote:leo wrote:Sonka wrote:10 verres de vodka![]()
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Je ne connais pas svernoux en personne. Mais si c'est une femme dans le genre grosse fermière russe (format percheron quoi), c'est possible. Mais si elle est plutôt dans le format Françoise Hardy j'ai des doutes. Et si elle est dans le format Twiggy, là je ne la crois plus du tout!
PS : je précise au cas où ça ne serait pas clair que je ne fais nullement l'apologie de l'alcool. Je n'aime ni la bière, ni le vin, ni le champagne, je n'aime que les alcools sucrés et éventuellement la vodka dans certains contextes, et je ne bois jamais au quotidien, uniquement les jours de fête, et les 10 verres sont une exception...
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Re: Le club des noctambules...
Effectivement, c'est une question de chimiesvernoux wrote:ça n'est pas vraiment une question de croyance
WOW!!! Ils doivent être dans un drôle d'état, les russes moyens... Sans parler de leurs épouses, leurs enfants, leurs employés... Svernoux ne parle probablement pas de leur consommation régulière, sinon l'intelligence et le bon sens seraient des denrées très rares en Russie!svernoux wrote:10 verres, ça commence à être beaucoup pour moi, mais c'est pas grand chose pour le Russe moyen.
Je ne l'avais effectivement pas compris dans ce sens là.svernoux wrote:PS : je précise au cas où ça ne serait pas clair que je ne fais nullement l'apologie de l'alcool.
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Re: Le club des noctambules...
Tu te mélange les pinceaux entre alcool méthylique (toxique) et éthylique (celui du vin (encore qu'il existe un ou 2 cépages qui produisent un peu du premier lors de la fermentation, cépage aujourd'hui interdit de plantation)). 

Re: Le club des noctambules...
Patmos a raison : j'avais interverti "méthylique" et "éthylique". Si vous lisez ce post-ci, l'autre ci-dessus est déjà édité et corrigé.
Merci Patmos!
Le reste du post demeure vrai.
De toute façon, même si ce détail est important pour éviter de la confusion, l'essentiel demeure...
Et l'essentiel serait plutôt
Merci Patmos!
Le reste du post demeure vrai.
De toute façon, même si ce détail est important pour éviter de la confusion, l'essentiel demeure...
Et l'essentiel serait plutôt
Anuanua wrote:Mes études sur l'abus et l'oppression m'indiquent que l'alcool fait à lui seul au moins 2000 fois plus de ravages sociaux et personnels que toutes les autres drogues réunies!!!
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Re: Le club des noctambules...
Non, les russes ont l'habitude, tout simplement. J'en ai vu encore en état de travailler après une bouteille entière.Anuanua wrote:WOW!!! Ils doivent être dans un drôle d'état, les russes moyens... Sans parler de leurs épouses, leurs enfants, leurs employés... Svernoux ne parle probablement pas de leur consommation régulière, sinon l'intelligence et le bon sens seraient des denrées très rares en Russie!svernoux wrote:10 verres, ça commence à être beaucoup pour moi, mais c'est pas grand chose pour le Russe moyen.
C'est dans les moeurs en quelque sorte.
Essayons d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple. (Prévert)
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Re: Le club des noctambules...
Habitude ou pas je m'excuse, mais ce n'est pas l'habitude qui répare les organes endommagés (brûlés ou dissous). Une personne dont l'ouïe s'affaiblit peut adopter des habitudes qui lui permettront de compenser (retenir sa respiration pour mieux entendre, tourner la tête pour entendre avec l'oreille qui a le moins d'acouphènes etc.) mais ce n'est pas ça qui réparera ses oreilles. L'alcool endommage des organes : je ne suis pas le premier (ni le dernier j'espère) à le dire. Les dommages au foie sont bien connus. Or une cirrhose ne se développe pas en un jour : après une bouteille par jour pendant un mois, l'habitué pourra certes retourner au travail. Mais dans 10 ans??? L'alcool n'endommage pas que le foie : le système nerveux aussi est détraqué. L'habitude peut faire que le russe ivrogne pourra mieux dissimuler les dysfonctions que j'ai mentionnées ci-dessus (et il y en a d'autres) mais même dissimulées, elles "dysfonctionnent" encore! Il doit y avoir de drôles de discussions dans les familles de ces buveurs. De sévères punitions (même abusives) ou, au contraire un laxisme excessif envers les enfants. Même un russe qui vient de descendre une bouteille cul sec peut retourner au travail, dis-tu. Je n'en doute pas (quoique si ce travail comporte des risques comme manipulation d'équipement lourd ça doit faire monter les primes d'assurance, non?), mais croirais-tu qu'une personne qui a 20 ans d'abstinence peut aussi retourner au travail? Oui n'est-ce pas? Et pourtant, je me répète, même après 20 ans d'abstinence, plusieurs symptômes des dommages causés sont encore très visibles à qui les connaît
Je maintiens : ils doivent être dans un drôle d'état ces russes moyens, ainsi que leurs femmes et enfants. Et par "drôle d'état", je ne parle pas d'ébriété, mais d'étroitesse de l'intelligence, de capacité réduite à maintenir leur attention sur un sujet donné etc. Bref, les formes plus ou moins prononcées de stupidité qu'induit l'alcool dans le fonctionnement du système nerveux, incluant le cerveau.
Si vous ne me croyez pas, regardez les agirs des politiciens et autres qui utilisent souvent de l'alcool dans leur profession, même s'ils ne se soûlent jamais. Ce russe n'était pas en état d'ébriété et devait, dans son travail, avoir toute sa tête à lui. Selon le rapport, après avoir fait des pieds (c'est le cas de le dire) et des mains, il est reparti les mains vides... Et, je répète, il N'ÉTAIT PAS en état d'ébriété.
Je maintiens : ils doivent être dans un drôle d'état ces russes moyens, ainsi que leurs femmes et enfants. Et par "drôle d'état", je ne parle pas d'ébriété, mais d'étroitesse de l'intelligence, de capacité réduite à maintenir leur attention sur un sujet donné etc. Bref, les formes plus ou moins prononcées de stupidité qu'induit l'alcool dans le fonctionnement du système nerveux, incluant le cerveau.
Si vous ne me croyez pas, regardez les agirs des politiciens et autres qui utilisent souvent de l'alcool dans leur profession, même s'ils ne se soûlent jamais. Ce russe n'était pas en état d'ébriété et devait, dans son travail, avoir toute sa tête à lui. Selon le rapport, après avoir fait des pieds (c'est le cas de le dire) et des mains, il est reparti les mains vides... Et, je répète, il N'ÉTAIT PAS en état d'ébriété.
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Re: Le club des noctambules...
j'ai souvenir d'un certain Boris Eltsine...




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Re: Le club des noctambules...
@ Anuanua
j'ai fait quelques recherches concernant "l'abus et l'oppression", suis tombé sur les Talibans (je ne sais pas s'ils méritent une majuscule au "t") et les executions publiques de femmes...

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