Le roman de loka-blabla...
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Le roman de loka-blabla...
Bonjour à tous, j'aimerais vous proposer un petit jeu. Ayant constaté qu'il existait de belles plumes sur ce forum, je prends mon courage à deux mains et vous explique les règles:
-Il s'agit de raconter une petite histoire en ajoutant à tour de rôle un petit texte (quelques lignes au maximum);
-Le mot fin sera écrit par le 30e post et l'histoire ou le chapitre sera terminé (plus de 30 posts et on n'arrivera plus à suivre)
-Il n'est pas interdit d'utiliser d'autres langues (par exemple dans un dialogue)
-Essayez de tendre une perche pour le suivant (mais on peut aussi le surprendre);
Donc je poste les premières lignes:
"Je pensais que ça n'arrivait que dans les films. Qu'est-ce que je faisais dans cette garde-robe, en pyjama avec un oiseau coiffé d'un bonnet de Père Noël sur l'épaule?Et puis je l'entendais, elle, à quelques mètres de mon refuge, avec sa voix toujours haut perchée...Mais que disait-elle ? et à qui? "
A suivre...
-Il s'agit de raconter une petite histoire en ajoutant à tour de rôle un petit texte (quelques lignes au maximum);
-Le mot fin sera écrit par le 30e post et l'histoire ou le chapitre sera terminé (plus de 30 posts et on n'arrivera plus à suivre)
-Il n'est pas interdit d'utiliser d'autres langues (par exemple dans un dialogue)
-Essayez de tendre une perche pour le suivant (mais on peut aussi le surprendre);
Donc je poste les premières lignes:
"Je pensais que ça n'arrivait que dans les films. Qu'est-ce que je faisais dans cette garde-robe, en pyjama avec un oiseau coiffé d'un bonnet de Père Noël sur l'épaule?Et puis je l'entendais, elle, à quelques mètres de mon refuge, avec sa voix toujours haut perchée...Mais que disait-elle ? et à qui? "
A suivre...
- Maïwenn
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On avait déjà eu un jeu de cet acabit : viewtopic.php?t=5595. Mais c'est une bonne idée de le relancer ! 
Je déplace donc vers arts et litté

Je déplace donc vers arts et litté
Penn ar Bed
The end of the land
Le commencement d'un monde
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- Maïwenn
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Je pensais que ça n'arrivait que dans les films. Qu'est-ce que je faisais dans cette garde-robe, en pyjama avec un oiseau coiffé d'un bonnet de Père Noël sur l'épaule?Et puis je l'entendais, elle, à quelques mètres de mon refuge, avec sa voix toujours haut perchée...Mais que disait-elle ? et à qui? J'essayais de me concentrer pour identifier la voix de l'homme avec elle. Mais soudain le piaf s'est mis à brailler. Je n'imaginais pas la fin du monde comme un cri d'oiseau ! Evidemment elle l'a entendu et a ouvert la porte de l'armoire.
Penn ar Bed
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Je pensais que ça n'arrivait que dans les films. Qu'est-ce que je faisais dans cette garde-robe, en pyjama avec un oiseau coiffé d'un bonnet de Père Noël sur l'épaule?Et puis je l'entendais, elle, à quelques mètres de mon refuge, avec sa voix toujours haut perchée...Mais que disait-elle ? et à qui? J'essayais de me concentrer pour identifier la voix de l'homme avec elle. Mais soudain le piaf s'est mis à brailler. Je n'imaginais pas la fin du monde comme un cri d'oiseau ! Evidemment elle l'a entendu et a ouvert la porte de l'armoire.
Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris de ce qu'il voyait maintenant ? Je ne saurais le dire. En une fraction de seconde, mon esprit avait enregistré tous les détails de la scène. Et ce que je voyais me laissait pantois.
Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris de ce qu'il voyait maintenant ? Je ne saurais le dire. En une fraction de seconde, mon esprit avait enregistré tous les détails de la scène. Et ce que je voyais me laissait pantois.
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Les fleurs poussent même dans les cimetières
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Je pensais que ça n'arrivait que dans les films. Qu'est-ce que je faisais dans cette garde-robe, en pyjama avec un oiseau coiffé d'un bonnet de Père Noël sur l'épaule?Et puis je l'entendais, elle, à quelques mètres de mon refuge, avec sa voix toujours haut perchée...Mais que disait-elle ? et à qui? J'essayais de me concentrer pour identifier la voix de l'homme avec elle. Mais soudain le piaf s'est mis à brailler. Je n'imaginais pas la fin du monde comme un cri d'oiseau ! Evidemment elle l'a entendu et a ouvert la porte de l'armoire.
Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris de ce qu'il voyait maintenant ? Je ne saurais le dire. En une fraction de seconde, mon esprit avait enregistré tous les détails de la scène. Et ce que je voyais me laissait pantois.
Lui d'abord.Un balèze sortit tout droit d'un roman de Dashiell Hammett.Le type boxeur, qui vous broie les os d'un seul regard...et là justement, il me regardait...
Et elle, elle...
Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris de ce qu'il voyait maintenant ? Je ne saurais le dire. En une fraction de seconde, mon esprit avait enregistré tous les détails de la scène. Et ce que je voyais me laissait pantois.
Lui d'abord.Un balèze sortit tout droit d'un roman de Dashiell Hammett.Le type boxeur, qui vous broie les os d'un seul regard...et là justement, il me regardait...
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- Maïwenn
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Je pensais que ça n'arrivait que dans les films. Qu'est-ce que je faisais dans cette garde-robe, en pyjama avec un oiseau coiffé d'un bonnet de Père Noël sur l'épaule?Et puis je l'entendais, elle, à quelques mètres de mon refuge, avec sa voix toujours haut perchée...Mais que disait-elle ? et à qui? J'essayais de me concentrer pour identifier la voix de l'homme avec elle. Mais soudain le piaf s'est mis à brailler. Je n'imaginais pas la fin du monde comme un cri d'oiseau ! Evidemment elle l'a entendu et a ouvert la porte de l'armoire.
Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris de ce qu'il voyait maintenant ? Je ne saurais le dire. En une fraction de seconde, mon esprit avait enregistré tous les détails de la scène. Et ce que je voyais me laissait pantois.
Lui d'abord.Un balèze sortit tout droit d'un roman de Dashiell Hammett.Le type boxeur, qui vous broie les os d'un seul regard...et là justement, il me regardait...
Et elle, elle... Elle était nue ! En soi c'était déjà un événement étant donné sa pudeur naturelle. Mais en plus elle arborait un immense tatouage au dessus du sein gauche. Il me fallut quelques instants pour comprendre ce qu'il représentait.
Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris de ce qu'il voyait maintenant ? Je ne saurais le dire. En une fraction de seconde, mon esprit avait enregistré tous les détails de la scène. Et ce que je voyais me laissait pantois.
Lui d'abord.Un balèze sortit tout droit d'un roman de Dashiell Hammett.Le type boxeur, qui vous broie les os d'un seul regard...et là justement, il me regardait...
Et elle, elle... Elle était nue ! En soi c'était déjà un événement étant donné sa pudeur naturelle. Mais en plus elle arborait un immense tatouage au dessus du sein gauche. Il me fallut quelques instants pour comprendre ce qu'il représentait.
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Je pensais que ça n'arrivait que dans les films. Qu'est-ce que je faisais dans cette garde-robe, en pyjama avec un oiseau coiffé d'un bonnet de Père Noël sur l'épaule?Et puis je l'entendais, elle, à quelques mètres de mon refuge, avec sa voix toujours haut perchée...Mais que disait-elle ? et à qui? J'essayais de me concentrer pour identifier la voix de l'homme avec elle. Mais soudain le piaf s'est mis à brailler. Je n'imaginais pas la fin du monde comme un cri d'oiseau ! Evidemment elle l'a entendu et a ouvert la porte de l'armoire.
Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris de ce qu'il voyait maintenant ? Je ne saurais le dire. En une fraction de seconde, mon esprit avait enregistré tous les détails de la scène. Et ce que je voyais me laissait pantois.
Lui d'abord.Un balèze sortit tout droit d'un roman de Dashiell Hammett.Le type boxeur, qui vous broie les os d'un seul regard...et là justement, il me regardait...
Et elle, elle... Elle était nue ! En soi c'était déjà un événement étant donné sa pudeur naturelle. Mais en plus elle arborait un immense tatouage au dessus du sein gauche. Il me fallut quelques instants pour comprendre ce qu'il représentait.
Ce dessin, c'était moi.Ou plutôt mon visage...près de son coeur.Ce coeur qui avait battu pour moi l'espace d'une année. Pourquoi avait-elle voulu prolonger dans sa chair une histoire si douloureuse ?
Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris de ce qu'il voyait maintenant ? Je ne saurais le dire. En une fraction de seconde, mon esprit avait enregistré tous les détails de la scène. Et ce que je voyais me laissait pantois.
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Et elle, elle... Elle était nue ! En soi c'était déjà un événement étant donné sa pudeur naturelle. Mais en plus elle arborait un immense tatouage au dessus du sein gauche. Il me fallut quelques instants pour comprendre ce qu'il représentait.
Ce dessin, c'était moi.Ou plutôt mon visage...près de son coeur.Ce coeur qui avait battu pour moi l'espace d'une année. Pourquoi avait-elle voulu prolonger dans sa chair une histoire si douloureuse ?
- Maïwenn
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Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris de ce qu'il voyait maintenant ? Je ne saurais le dire. En une fraction de seconde, mon esprit avait enregistré tous les détails de la scène. Et ce que je voyais me laissait pantois.
Lui d'abord.Un balèze sortit tout droit d'un roman de Dashiell Hammett.Le type boxeur, qui vous broie les os d'un seul regard...et là justement, il me regardait...
Et elle, elle... Elle était nue ! En soi c'était déjà un événement étant donné sa pudeur naturelle. Mais en plus elle arborait un immense tatouage au dessus du sein gauche. Il me fallut quelques instants pour comprendre ce qu'il représentait.
Ce dessin, c'était moi.Ou plutôt mon visage...près de son coeur.Ce coeur qui avait battu pour moi l'espace d'une année. Pourquoi avait-elle voulu prolonger dans sa chair une histoire si douloureuse ?
Tout avait pourtant si bien commencé. J'avais, par erreur, embarqué un de ses Tshirts à la laverie. Elle avait répondu à mon annonce affichée au dessus du sèche-linge. Pour me faire pardonner je lui avais offert un café, on était vite devenu inséparables.
Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris de ce qu'il voyait maintenant ? Je ne saurais le dire. En une fraction de seconde, mon esprit avait enregistré tous les détails de la scène. Et ce que je voyais me laissait pantois.
Lui d'abord.Un balèze sortit tout droit d'un roman de Dashiell Hammett.Le type boxeur, qui vous broie les os d'un seul regard...et là justement, il me regardait...
Et elle, elle... Elle était nue ! En soi c'était déjà un événement étant donné sa pudeur naturelle. Mais en plus elle arborait un immense tatouage au dessus du sein gauche. Il me fallut quelques instants pour comprendre ce qu'il représentait.
Ce dessin, c'était moi.Ou plutôt mon visage...près de son coeur.Ce coeur qui avait battu pour moi l'espace d'une année. Pourquoi avait-elle voulu prolonger dans sa chair une histoire si douloureuse ?
Tout avait pourtant si bien commencé. J'avais, par erreur, embarqué un de ses Tshirts à la laverie. Elle avait répondu à mon annonce affichée au dessus du sèche-linge. Pour me faire pardonner je lui avais offert un café, on était vite devenu inséparables.
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Je pensais que ça n'arrivait que dans les films. Qu'est-ce que je faisais dans cette garde-robe, en pyjama avec un oiseau coiffé d'un bonnet de Père Noël sur l'épaule?Et puis je l'entendais, elle, à quelques mètres de mon refuge, avec sa voix toujours haut perchée...Mais que disait-elle ? et à qui? J'essayais de me concentrer pour identifier la voix de l'homme avec elle. Mais soudain le piaf s'est mis à brailler. Je n'imaginais pas la fin du monde comme un cri d'oiseau ! Evidemment elle l'a entendu et a ouvert la porte de l'armoire.
Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris de ce qu'il voyait maintenant ? Je ne saurais le dire. En une fraction de seconde, mon esprit avait enregistré tous les détails de la scène. Et ce que je voyais me laissait pantois.
Lui d'abord.Un balèze sortit tout droit d'un roman de Dashiell Hammett.Le type boxeur, qui vous broie les os d'un seul regard...et là justement, il me regardait...
Et elle, elle... Elle était nue ! En soi c'était déjà un événement étant donné sa pudeur naturelle. Mais en plus elle arborait un immense tatouage au dessus du sein gauche. Il me fallut quelques instants pour comprendre ce qu'il représentait.
Ce dessin, c'était moi.Ou plutôt mon visage...près de son coeur.Ce coeur qui avait battu pour moi l'espace d'une année. Pourquoi avait-elle voulu prolonger dans sa chair une histoire si douloureuse ?
Tout avait pourtant si bien commencé. J'avais, par erreur, embarqué un de ses Tshirts à la laverie. Elle avait répondu à mon annonce affichée au dessus du sèche-linge. Pour me faire pardonner je lui avais offert un café, on était vite devenu inséparables.
Pendant toute une année, j'appris à la découvrir, à graver dans mon esprit chacune de ses mimiques, chacun de ses traits de caractères. Et... oui, je suis tombée amoureuse d'elle. Au bout de cette année, enfin, je parvins à lui avouer mes sentiments pour elle.
Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris de ce qu'il voyait maintenant ? Je ne saurais le dire. En une fraction de seconde, mon esprit avait enregistré tous les détails de la scène. Et ce que je voyais me laissait pantois.
Lui d'abord.Un balèze sortit tout droit d'un roman de Dashiell Hammett.Le type boxeur, qui vous broie les os d'un seul regard...et là justement, il me regardait...
Et elle, elle... Elle était nue ! En soi c'était déjà un événement étant donné sa pudeur naturelle. Mais en plus elle arborait un immense tatouage au dessus du sein gauche. Il me fallut quelques instants pour comprendre ce qu'il représentait.
Ce dessin, c'était moi.Ou plutôt mon visage...près de son coeur.Ce coeur qui avait battu pour moi l'espace d'une année. Pourquoi avait-elle voulu prolonger dans sa chair une histoire si douloureuse ?
Tout avait pourtant si bien commencé. J'avais, par erreur, embarqué un de ses Tshirts à la laverie. Elle avait répondu à mon annonce affichée au dessus du sèche-linge. Pour me faire pardonner je lui avais offert un café, on était vite devenu inséparables.
Pendant toute une année, j'appris à la découvrir, à graver dans mon esprit chacune de ses mimiques, chacun de ses traits de caractères. Et... oui, je suis tombée amoureuse d'elle. Au bout de cette année, enfin, je parvins à lui avouer mes sentiments pour elle.
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Les fleurs poussent même dans les cimetières
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Oui, parce que là ça devient le roman de Geache, gfa et Maï...gfa wrote:Mais non, mais non !Geache wrote:Et là, j'espère que je ne vous mets presque pas dans la m... pour la suitemais ce qui serait chouette, c'est que d'autres plumes (souvent brillantes sur ce forum) ajoutent une phrase ou deux
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Si, si, Geache... Tu vois ? Maï et Gfa recherchent désespérément quelqu'un qui continue à leur place...Maïwenn wrote:Oui, parce que là ça devient le roman de Geache, gfa et Maï...gfa wrote:Mais non, mais non !Geache wrote:Et là, j'espère que je ne vous mets presque pas dans la m... pour la suitemais ce qui serait chouette, c'est que d'autres plumes (souvent brillantes sur ce forum) ajoutent une phrase ou deux

C'est pas si facile, ce que vous faites là. Vous avez tous des styles différents, mais ils vont très bien ensemble. Je promets rien, personnellement j'aimerais y mettre du mien, mais il faut d'abord que je me cale un peu sur le reste du texte. C'est souvent la difficulté de ces jeux.

Wir brauchen keinen Appetit, wir haben den Hunger. (Bertolt Brecht)
Geache wrote: Et... oui, je suis tombée amoureuse d'elle.
Heu... ce n'est pas possible que ce soit une fille:
*"Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris..." ("...la plus surprise, non?)
*"Et ce que je voyais me laissait pantois." (je crois que pantois s'accorderait, non??)
Je tente ma chance, en laissant cette idée en suspens (le personnage principal est-il une femme??):
Je pensais que ça n'arrivait que dans les films. Qu'est-ce que je faisais dans cette garde-robe, en pyjama avec un oiseau coiffé d'un bonnet de Père Noël sur l'épaule?Et puis je l'entendais, elle, à quelques mètres de mon refuge, avec sa voix toujours haut perchée...Mais que disait-elle ? et à qui? J'essayais de me concentrer pour identifier la voix de l'homme avec elle. Mais soudain le piaf s'est mis à brailler. Je n'imaginais pas la fin du monde comme un cri d'oiseau ! Evidemment elle l'a entendu et a ouvert la porte de l'armoire.
Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris de ce qu'il voyait maintenant ? Je ne saurais le dire. En une fraction de seconde, mon esprit avait enregistré tous les détails de la scène. Et ce que je voyais me laissait pantois.
Lui d'abord.Un balèze sortit tout droit d'un roman de Dashiell Hammett.Le type boxeur, qui vous broie les os d'un seul regard...et là justement, il me regardait...
Et elle, elle... Elle était nue ! En soi c'était déjà un événement étant donné sa pudeur naturelle. Mais en plus elle arborait un immense tatouage au dessus du sein gauche. Il me fallut quelques instants pour comprendre ce qu'il représentait.
Ce dessin, c'était moi.Ou plutôt mon visage...près de son coeur.Ce coeur qui avait battu pour moi l'espace d'une année. Pourquoi avait-elle voulu prolonger dans sa chair une histoire si douloureuse ?
Tout avait pourtant si bien commencé. J'avais, par erreur, embarqué un de ses Tshirts à la laverie. Elle avait répondu à mon annonce affichée au dessus du sèche-linge. Pour me faire pardonner je lui avais offert un café, on était vite devenu inséparables.
Pendant toute une année, j'appris à la découvrir, à graver dans mon esprit chacune de ses mimiques, chacun de ses traits de caractères. Et... oui, je suis tombée amoureuse d'elle. Au bout de cette année, enfin, je parvins à lui avouer mes sentiments pour elle. J'avais tout préparé, la journée, le lieux, l'heure; il ne me restait plus qu'à prendre mon courage à deux mains, ce que je fit:
Elle ne parlait plus depuis longtemps, perdue dans ses pensées.
Je lui sourit.... silence.... puis, en regardant vers le ciel, je lui dit
新年快樂
Hum... oui, tu as raison... j'ai sauté trop vite sur l'embrouille qui est née dans mon esprit et j'ai oublié de vérifier si le début du texte permettait cette "hypothèse".BABU wrote:Geache wrote: Et... oui, je suis tombée amoureuse d'elle.
Heu... ce n'est pas possible que ce soit une fille:
*"Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris..." ("...la plus surprise, non?)
*"Et ce que je voyais me laissait pantois." (je crois que pantois s'accorderait, non??)
Je tente ma chance, en laissant cette idée en suspens (le personnage principal est-il une femme??):
Mais bah... ce n'est que trois lettres à changer dans le début du texte.

Oui, je sais... je suis de mauvaise foi, parfois

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