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*Translation* Help to correct (examination purpose)

Posted: 02 Mar 2006 18:20
by Guest
Hi everybody,

I'm here again to ask you for your help, you, the Gods of translation (and interpretation) :god:

For the final oral exam of English, we have been asked to look make a 15-pages file using the official english-written press (i.e. Time, Times and all other magazines or daily papers).

I decided not to talk about politic (or if I do, only a page) because it would make my exam more borring and difficult (and I might be obliged to hide my real opinion not to be displeasant with the teacher).

So, I selected pleasant articles about sciences, everyday-life and so on...

Now, I go to the point ;) : we are supposed to be able to translate in a plainly understandable French any extract of any of the article we have selected and also to be able to summarize and read the properly. The last two demands are not a big problem for me. Howerer, the first one might be a little bit more difficult as it's the first time I've offically been asked to do a translation...

To avoid any problem, I so decided to translate all the articles in French (and in proper French).

Would somebody (-ies) agree to have a look at my translations and to suggest me better ways if needed (for you who are translators are much more experienced that a green as I am)...

My deadline is May 20, 2006

Many thanks to you all.

Here is the first paragraph I've done:

Fallout from Nuclear Weapons Tests and Cancer Risks

Exposures 50 years ago still have health implications today that will continue into the future

By Steven L. Simon, André Bouville, Charles E. Land

Prior to 1950, only limited consideration was given to the health impacts of worldwide dispersion of radioactivity from nuclear testing. But in the following decade, humanity began to significantly change the global radiation environment by testing nuclear weapons in the atmosphere. By the early 1960s, there was no place on Earth where the signature of atmospheric nuclear testing could not be found in soil, water and even polar ice.

Cancer investigators who specialize in radiation effects have, over the intervening decades, looked for another signature of nuclear testing?an increase in cancer rates. And although it is difficult to detect such a signal amid the large number of cancers arising from "natural" or "unknown" causes, we and others have found both direct and indirect evidence that radioactive debris dispersed in the atmosphere from testing has adversely affected public health. Frequently, however, there is misunderstanding about the type and magnitude of those effects. Thus today, with heightened fears about the possibilities of nuclear terrorism, it is worthwhile to review what we know about exposure to fallout and its associated cancer risks.


Retombées radioactives des essais d'armes nucléaires et risques de cancers

Les exopsitions d'il y a 50 ans ont encore aujourd'hui une répercution sur la santé qui se poursuivra dans le futur.

Avant 1950, on se préoccupait peu des impacts sanitaires émanants de la de la dispersion mondiale de la radioactivité due aux essais nucléaires. Mais dans la décénie suivante, l'humanité amorçat des changements significatifs aux radiations globales de l'environement en testant des armes nucléaires dans l'atmosphère. Au début des années 1960, il n'était plus aucun endroit sur terre où la signature des tests nucléaires dans l'atmosphère n'ai pu être trouvé dans le sol, l'eau et même dans les glaces polaires.
Les chercheurs en cancérologie qui sont spécialistes des effets des radiations ont, dans les décénies qui s'écoulèrent, chercher une autre signature des essais nucléaires - une augmentation du taux de cancers. Et bien qu'il soit difficile de détecter de tels signes parmi le grand nombre de cancers émanants de causes "naturelles" ou "inconnues", nous, et d'autres, avons trouvé à la fois des preuves directes et indirectes attestant que les déchets nucléaires dispersés dans l'atmosphère par les tests ont lésés la santé publique. Fréquemment, pourtant, le type et la magnitude des ces effets sont mal compris.
Ainsi, aujourd'hui, avec la peur grandissante des possibilités d'un terrerisme nucléaire, il vaut la peine de revoir ce que nous connaissons de l'exposition aux retombées radioactives et des risques de cancers leur étant asscociés.


From American Scientist (January-February 2006)

Posted: 02 Mar 2006 18:22
by Damiro-Offline
Je suis l'invité mystère du dessus :hello:

Merci encore d'avance.

Damiro

Re: *Translation* Help to correct (examination purpose)

Posted: 02 Mar 2006 22:12
by Dada
Hello!

Ca m'a l'air tres bon dans l'ensemble.
Mais j'ai quand meme deux remarques a faire:

Anonymous wrote:
Fallout from Nuclear Weapons Tests and Cancer Risks

Exposures 50 years ago still have health implications today that will continue into the future

By Steven L. Simon, André Bouville, Charles E. Land

Prior to 1950, only limited consideration was given to the health impacts of worldwide dispersion of radioactivity from nuclear testing. But in the following decade, humanity began to significantly change the global radiation environment by testing nuclear weapons in the atmosphere. By the early 1960s, there was no place on Earth where the signature of atmospheric nuclear testing could not be found in soil, water and even polar ice.

Cancer investigators who specialize in radiation effects have, over the intervening decades, looked for another signature of nuclear testing?an increase in cancer rates. And although it is difficult to detect such a signal amid the large number of cancers arising from "natural" or "unknown" causes, we and others have found both direct and indirect evidence that radioactive debris dispersed in the atmosphere from testing has adversely affected public health. Frequently, however, there is misunderstanding about the type and magnitude of those effects. Thus today, with heightened fears about the possibilities of nuclear terrorism, it is worthwhile to review what we know about exposure to fallout and its associated cancer risks.

Retombées radioactives des essais d'armes nucléaires et risques de cancers

Les exopsitions d'il y a 50 ans ont encore aujourd'hui une répercution sur la santé qui se poursuivra dans le futur.

Avant 1950, on se préoccupait peu des impacts sanitaires émanants de la de la dispersion mondiale de la radioactivité due aux essais nucléaires. Mais dans la décénie suivante, l'humanité amorçat des changements significatifs aux radiations globales de l'environement Manifestement la traduction de global radiation environment pose probleme! Je propose: commenca a changer significativement le niveau global ambiant de radiations (environment se refere ici au "milieu" dans lequel nous vivont)en testant des armes nucléaires dans l'atmosphère. Au début des années 1960, il n'était plus aucun endroit sur terre où la signature des tests nucléaires dans l'atmosphère n'ai pu être trouvé dans le sol, l'eau et même dans les glaces polaires.
Les chercheurs en cancérologie qui sont spécialistes des effets des radiations ont, dans les décénies qui s'écoulèrent, chercher une autre signature des essais nucléaires - une augmentation du taux de cancers. Et bien qu'il soit difficile de détecter de tels signes parmi le grand nombre de cancers émanants de causes "naturelles" ou "inconnues", nous, et d'autres, avons trouvé à la fois des preuves directes et indirectes attestant que les déchets nucléaires dispersés dans l'atmosphère par les tests ont lésés la santé publique. Je ne pense pas que l'on puisse utiliser leser dans ce sens la, je dirais ont affecte ou ont eu un impact sur la sante publique
Fréquemment, pourtant, le type et la magnitude des ces effets sont mal compris.
Ainsi, aujourd'hui, avec la peur grandissante des possibilités d'un terrerisme nucléaire, il vaut la peine de revoir ce que nous connaissons de l'exposition aux retombées radioactives et des risques de cancers leur étant asscociés.

From American Scientist (January-February 2006)

Posted: 03 Mar 2006 05:49
by Guest
C'est bien; je dirais "traces" ou "preuves" pour 'signature' et "mondial" pour 'global'.

Re: *Translation* Help to correct (examination purpose)

Posted: 03 Mar 2006 06:24
by Guest
First, I don't think this article is pleasant, especially if it's about your everyday life (Fenua anyone?)...
:evil:

Second, here are a few suggestions (following the above I didn't sign) -
de bas en haut du texte:

Attition à "d'un terrerisme" pour ' de terrorisme'
Pour "review what we know", '(re)mettre en question nos connaissances' traduit le sème de changement que revoir ne donne pas.
"typologie et amplitude" pour "type and magnitude"
"sur le sol, dans l'eau..." plutôt que "sur le sol, l'eau..."
"nous avons (et d'autres avec nous)" me semble moins calqué que ta version ('we and others have found')
"cherché une autre trace spécifique des tests..." plutôt que "chercher une autre signature"
Plus généralement: ne pas utiliser le passé simple, surtout si tu utilises le passé composé. Je sais, ça fait plus classe parce qu'on dirait un journaliste du Monde, mais pour un devoir universitaire il faut écrire comme un journaliste du Figaro.
"ait pu" plutôt que "n'ai pu"
"amorça" plutôt que "amorçat"
"émanent de la" plutôt que "émanent de la de la"
"sur la santé, qui se" pour "la santé qui se poursuivra"
"expositions" plutôt que "exopsitions"

Hope it'll help.
Anonymous wrote:Hi everybody,




Retombées radioactives des essais d'armes nucléaires et risques de cancers

Les exopsitions d'il y a 50 ans ont encore aujourd'hui une répercution sur la santé qui se poursuivra dans le futur.

Avant 1950, on se préoccupait peu des impacts sanitaires émanants de la de la dispersion mondiale de la radioactivité due aux essais nucléaires. Mais dans la décénie suivante, l'humanité amorçat des changements significatifs aux radiations globales de l'environement en testant des armes nucléaires dans l'atmosphère. Au début des années 1960, il n'était plus aucun endroit sur terre où la signature des tests nucléaires dans l'atmosphère n'ai pu être trouvé dans le sol, l'eau et même dans les glaces polaires.
Les chercheurs en cancérologie qui sont spécialistes des effets des radiations ont, dans les décénies qui s'écoulèrent, chercher une autre signature des essais nucléaires - une augmentation du taux de cancers. Et bien qu'il soit difficile de détecter de tels signes parmi le grand nombre de cancers émanants de causes "naturelles" ou "inconnues", nous, et d'autres, avons trouvé à la fois des preuves directes et indirectes attestant que les déchets nucléaires dispersés dans l'atmosphère par les tests ont lésés la santé publique. Fréquemment, pourtant, le type et la magnitude des ces effets sont mal compris.
Ainsi, aujourd'hui, avec la peur grandissante des possibilités d'un terrerisme nucléaire, il vaut la peine de revoir ce que nous connaissons de l'exposition aux retombées radioactives et des risques de cancers leur étant asscociés.


From American Scientist (January-February 2006)

Posted: 08 Mar 2006 02:07
by damiro
Merci infiniment à tous... S'agissant de mon premier travail de ce type, je posterai une suite jeudi :D (si je n'ai plus d'autre problème informatique).
(j'examinerai en détail chacune des suggestions à une heure autre qu' 1:07 du matin ;); demain par exemple afin de ne pas râté de nuance)

:hello:

Damiro

Posted: 02 Jun 2007 11:31
by damiro
Bonjour tout le monde!

Je suis de retour avec de nouvelles questions urgentes concernant des phrases que je ne parviens pas à traduire, faute d'en saisir pleinement le sens (mentionnés en rouge et en gras dans les exemples)

The Economist, "School for Scandal" (about corruption in the Greek Government).
  • 1. For Costas Karamanlis, the conservative prime minister who promised to clean up sleaze, allegations of corruption at a fund for Greece's 500,000 civil servants are especially demanding

    Je suis peut-être bêtement déconcerté. Cependant, le passage en rouge me laisse pantois!

    Traduction proposée:

    Pour Costas Karamankis, le premier ministe conservateur qui a promis de se débarasser de la corruption, les allégations de corruption _________ des 500.000 fonctionnaires de Grèce sont particulièrement exagérées.
  • 2. Jobs as pension-fund manager and board member are ditched out to people with links to the ruling party."

    Je ne suis pas parvenu à trouver le composé "board member" dans mes dicos.
  • 3. "Mr. K.'s plan to permit private universities failed because he lacks a three-fiths majority in Parliament."

    N'y aurait-il que des universités publique en Grèce?
  • 4. "At issue are structured bonds, a risky investment vehicle."

    Traduction proposée:

    Il est question des obligations structurées (= cela existe-t-il?), un biais d'investissement risqué.
  • 5. "He [politician] may go on snap poll."
    • 6. "Grander people sought Homer's Ithaca on Lefkada or elsewhereon Kefalonia"
  • 7. "Some of their socialand cultural differencies are thrown into starker relief."

    Merci infiniment d'avance.

    Bonne journée :hello:
    Damiro

Posted: 02 Jun 2007 11:50
by Sisyphe
3. "Mr. K.'s plan to permit private universities failed because he lacks a three-fiths majority in Parliament."

N'y aurait-il que des universités publique en Grèce?
Caroline confirmera, mais je crois que c'est comme en France : il n'y a que des universités publiques, et au moins un institut orthodoxe mais qui ne porte pas le nom d'université.

Tu trouveras des explications ici : http://www.oecd.org/dataoecd/49/8/1870996.pdf (ça vient de l'OCDE, j'en pense pas que du bien, mais le document a l'air intéressant).

Posted: 02 Jun 2007 12:20
by damiro
Merci beaucoup Sisyphe, le document est intéressant en effet :D

Posted: 03 Jun 2007 09:12
by Sonka
Sisyphe wrote:
3. "Mr. K.'s plan to permit private universities failed because he lacks a three-fiths majority in Parliament."

N'y aurait-il que des universités publique en Grèce?
Caroline confirmera, mais je crois que c'est comme en France : il n'y a que des universités publiques, et au moins un institut orthodoxe mais qui ne porte pas le nom d'université.
Euh, comment ça il n'y a que des universités publiques en France ???

Posted: 03 Jun 2007 09:28
by Sonka
Salut damiro !

Bon c'est pas trop ma tasse de thé tout ça mais je vais essayer ce que je peux...
damiro wrote:
  • 2. Jobs as pension-fund manager and board member are ditched out to people with links to the ruling party."

    Je ne suis pas parvenu à trouver le composé "board member" dans mes dicos.
Le board, en principe, c'est le board of directors, c'est-à-dire le conseil d'administration. Donc, tu peux parler de membre du conseilo d'administration, ou plus simplement d'administrateur.
damiro wrote:
  • 4. "At issue are structured bonds, a risky investment vehicle."

    Traduction proposée:

    Il est question des obligations structurées (= cela existe-t-il?), un biais d'investissement risqué.
La finance, c'est pas trop ma tasse de thé, mais d'après internet, oui ça existe.
Je peux pas te mettre de lien en invité, mais le tout premier hit sur Google donne la définition des obligations structurées, donc je te laisse chercher ;)
damiro wrote:
  • 5. "He [politician] may go on snap poll."
à mon sens, ce sont des élections anticipées (d'autant plus que je vois que c'est le mot utilisé pour l'actualité en Ukraine, où vont précisément se tenir des élections anticipées). Mais bon, il faut voir si ça colle dans le contexte.
damiro wrote:
  • 6. "Grander people sought Homer's Ithaca on Lefkada or elsewhereon Kefalonia"
[/list]
"des personnes nobles", "de grands personnages", quelque chose comme ça, non ?

Bon courage :hello:

Posted: 03 Jun 2007 18:43
by damiro
Génial Sonka!!!

Merci infiniment! :love: :hello:

Posted: 03 Jun 2007 19:48
by Sisyphe
Sonka wrote:
Sisyphe wrote:
3. "Mr. K.'s plan to permit private universities failed because he lacks a three-fiths majority in Parliament."

N'y aurait-il que des universités publique en Grèce?
Caroline confirmera, mais je crois que c'est comme en France : il n'y a que des universités publiques, et au moins un institut orthodoxe mais qui ne porte pas le nom d'université.
Euh, comment ça il n'y a que des universités publiques en France ???
... Et (comme en Grèce) des universités confessionnelles qui n'ont d'ailleurs pas toutes le nom d'université : la catho d'Angers - la meilleure bien sûr ;) - la catho de Lyon et l'institut catholique de Paris (il doit y en avoir une ou deux autres). Mais qui ont déjà une importance quantitative (nombre d'étudiants et de diplômes) bien moindre. Il y a quelques établissements protestants, mais encore plus étroits dans leur offre de formation et essentiellement consacrés aux sciences religieuses (et à ma connaissance aucun n'a le nom d'université).

Historiquement, elles sont des concessions du bout des lèvres par rapport au monopole (très théorique) de l'Université (avec une majuscule), fixé par Napoléon Ier et qui est resté mutatis mutandis le cadre juridique jusqu'en 69 (d'où le fait que l'institut catholique de Paris, et anciennement celui de Lyon, ne portassent pas le nom d'université).

Les Etasuniens tentent de mettre pied depuis peu dans le système de formation supérieur, et il doit y avoir au moins un machin qui s'appelle American University (ou un truc dans le genre) quelque part en Ile-de-France. Mais "l'industrie des universités" internationale (c'est-à-dire anglo-saxonne) se concentre en fait beaucoup plus sur les écoles supérieures.

La loi - même dans celles qui ont posé le LMD - protège en fait toujours le nom d'université, ainsi que les noms de licence, master (sous ses 434 orthographes...) , doctorat. Je crois même qu'en droit, "l'université" catholique de Lyon est dans l'illégalité (mais tolérée par l'usage).

Donc : oui, de facto il n'y a essentiellement que des universités publiques en France.

En tout cas rien de comparable à ce qui existe aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, ou même en Belgique, ce qui étonnait notre Damiro.

Posted: 03 Jun 2007 22:04
by Sonka
Sisyphe wrote:Historiquement, elles sont des concessions du bout des lèvres par rapport au monopole (très théorique) de l'Université (avec une majuscule), fixé par Napoléon Ier et qui est resté mutatis mutandis le cadre juridique jusqu'en 69 (d'où le fait que l'institut catholique de Paris, et anciennement celui de Lyon, ne portassent pas le nom d'université).
Euh, et quid de celle d'Angers alors ?
Je te mettrais bien le lien vers leur site, mais peux pô, tu trouveras bien tout seul :
1875 : loi autorisant la création d'établissements d'enseignement supérieur privés, et autorisant l'appellation Université s'il existe au moins trois facultés
Sisyphe wrote:La loi - même dans celles qui ont posé le LMD - protège en fait toujours le nom d'université, ainsi que les noms de licence, master (sous ses 434 orthographes...) , doctorat. Je crois même qu'en droit, "l'université" catholique de Lyon est dans l'illégalité (mais tolérée par l'usage).
Les universités privées et confessionnelles ou peu importe comment tu les appelles mènent à des diplômes nommés licence, master et doctorat en toute légalité, ces diplômes sont délivrés par le rectorat, le même que pour l'université d'Etat. En l'occurrence, les miens sont signés de la main du recteur de l'académie de Nantes.

Posted: 03 Jun 2007 23:48
by Sisyphe
Non pour l'illégalité, je pensais simplement à la dénomination, pas à la délivrance de diplômes qui elle est effectivement tout ce qu'il y a de plus légale (en revanche, et là je suis sûr de mon truc, le titre de "DEUG de théologie" qu'elles délivraient autrefois là est bien en-dehors de la loi,il y a des gens que ça faisait grincer - mais bon, objectivement, comme ça n'avait rien d'une qualification professionnelle, ça n'est pas bien grave).

Par contre, effectivement, la loi de 75 autorisait le nom d'université, je pensais qu'il avait été protégé jusqu'à la loi Faure, mais non :gniii:. Cela dit, l'Institut Catholique de Paris a bien gardé son ancien nom, bien que "refondé" officiellement en 1875 dans le nouveau cadre.

:P N'empêche qu'à l'exception des rares universités confessionnelles (confessionnelles dans le sens où elles appartiennent à une Eglise, même si elles sont totalement laïques dans leur fonctionnement), il n'y a pas d'université privée en France. L'UCL peut être, en taille et en importance, comparée à Lyon II, à Paris IV ou à Toulouse I, pas à la Catho de Lyon ou à l'ICP, quelque excellente qu'elles soient.