Bitte um Hilfe für einige Liedchen
Posted: 09 Jul 2006 13:29
Histoire de me remettre "dans le bain", j'écoute en ce moment un CD de chansonettes "typisch deutsch", et j'ai besoin de votre aide pour deux d'entre elles.
1. D'abord, pour reconnaître le dialecte de celle-ci (et éventuellement ce qu'elle veut dire)
2. Ensuite pour comprendre celle-ci (dont la musique est très jolie), je bloque un peu sur le dernier couplet.
La servante [ou la jeune fille, au sens étymo du terme ?] regarde par la fenêtre
Elle regarde en amont, elle regard en aval,
« n'est-il pas encore là, mon bien-aimé
le plus beau garçon <qui soit> tout le long du Rhin
Car je l’appelle mien [c’est-à-dire ? « car je prétends qu’il est à moi » ?]
Au matin il part sur le fleuve
et chante son au-revoir [comment comprenez-vous hinüber ? « depuis la barque » ?]
Au soir, quand vole le vers luisant
<Il> fait tanguer sa barque sur la rive [Le livret donne Nachem mais je suppose qu’il s’agit de Nachen]
Là, je puis être en compagnie de ce mien garçon [je suppose que « dem Burschen mein » est aussi archaïque en allemand que l’équivalent français ?]
Ce que je chante le rossignol dans le lilas
je le comprends aussi :
il dit [là je ne comprends pas la construction]
1. D'abord, pour reconnaître le dialecte de celle-ci (et éventuellement ce qu'elle veut dire)
Je suppose que le début doit être qqchose comme "Süsse Liebe süsse" - le tout m'a l'air d'être une berceuse. L'absence d'assibilitation (dät pour dass) me fait penser à une variante quelconque de Platt.Suse lewe Suse, wat ruschelt in't Stroh ?
Dät zind da lewe Göskens, da hebben këne Schoh.
Schoster hät Lädder, këne Lest doatô
drüm goahn de lewe Göskens un hebben këne Schoh
2. Ensuite pour comprendre celle-ci (dont la musique est très jolie), je bloque un peu sur le dernier couplet.
Là-bas dans les pâturages se trouve une maison,
Dort in den Weiden steht ein Haus
da schaut die Magd zum Fenster ‘naus
Sie schaut strom-auf, sie schaut strom-ab,
ist noch nicht da mein Herzenknab
der schönste Bursch am ganzen Rhein
denn nenn’ ich mein !
Des Morgens fährt er auf dem Fluss
und singt hinüber seinen Gruss
Des Abends wenn’s Glühwurmschen fliegt,
sein Nachem [sic] an das Ufer wiegt,
da kann ich mit dem Butschen mein
zussammen sein.
Die Nachtigall in Fliederstrauch
was sie da singt versteh’ich auch ;
sie saget, über’s Jahr ist fest,
hab’ ich mein Lieber auch ein Nest,
wie ich dann mit dem Burschen mein
die Froh’st’ am Rhein !
La servante [ou la jeune fille, au sens étymo du terme ?] regarde par la fenêtre
Elle regarde en amont, elle regard en aval,
« n'est-il pas encore là, mon bien-aimé
le plus beau garçon <qui soit> tout le long du Rhin
Car je l’appelle mien [c’est-à-dire ? « car je prétends qu’il est à moi » ?]
Au matin il part sur le fleuve
et chante son au-revoir [comment comprenez-vous hinüber ? « depuis la barque » ?]
Au soir, quand vole le vers luisant
<Il> fait tanguer sa barque sur la rive [Le livret donne Nachem mais je suppose qu’il s’agit de Nachen]
Là, je puis être en compagnie de ce mien garçon [je suppose que « dem Burschen mein » est aussi archaïque en allemand que l’équivalent français ?]
Ce que je chante le rossignol dans le lilas
je le comprends aussi :
il dit [là je ne comprends pas la construction]