besoin d'aide pour traduire de l'allemand vers le français
Posted: 29 Dec 2006 16:09
Bonjour,
J'ai traduit un texte pour ma fac mais je ne suis vraiment pas sûre de la traduction ( j'aime l'allemand mais je crois que l'allemand ne m'aime pas
)
J'èspère que quelqu'un ayant plud de capacité que moi en allemand passera par là et m'aidera ... merci d'avance.
Voici le texte à traduire ( assez long je sais, j'arrête pas de le signaler à mes profs lol ) :
Nokia und Finnland, zwei Lieblingskinder der Globalisierung. Dem Unternehmen gelang es, aus dem Nichts binnen nur zwei Dekaden in die Weltelite aufzusteigen; bald übernimmt es die Führung in neuen, gemeinsamen Netzwerkunternehmen mit Siemens. Das Land kämpfte sich zur gleichen Zeit aus der wirtschaftlichen Depression an die Spitze der wettbewerbsfähigsten Volkswirtschaften der Welt. Finnland führt heute die Liste der Staaten an, in denen am wenigsten Korruption herrscht. Es hat die besten Schulen, den Pisatest mit Auszeichnung bestanden. Mit 3,46 Prozent des Sozialproduktes gibt es mehr für Forschung aus als die meisten anderen europäischen Staaten. Sein öffentlicher Haushalt fährt Überschüsse ein, die Produktivität steigt. Ausbildung und Gesundheitswesen sind kostenlos, der Sozialstaat ist komfortabel ausgebaut – und die meisten Büros sind gegen vier Uhr nachmittags leer.
Ist Finnland zu gut, um wahr zu sein?
»Mikko Mäenpää, Chef der zweitgrößten Landesgewerkschaft STTK, hält die Warnung vor dem Ende der guten Zeiten für Panikmache. »Wir sind pragmatische Menschen«, sagt er. Wenn neue Probleme auftauchten, löse man sie. Schließlich hätten die Finnen ja das nötige Wissen. Er spricht erst ein langsames Deutsch, wechselt ins schnelle Englische und redet dann über Forschung, Erziehung und Bildung für alle. Finnland habe früh erkannt, dass sich dortige Investitionen lohnten, dass sie jeden erreichen müssten und das Fundament jeder guten Wachstumspolitik bildeten. Und dann habe man die Erkenntnis im Konsens umgesetzt, unabhängig von Wahlzyklen. Klassenkampf? Mäenpää lächelt. Er verstehe zwar die europäischen Kollegen, die häufig ein konfrontatives Verhältnis zum Staat und zu den Arbeitgebern hätten. Aber Finnland sei eben anders. »Wir kombinieren Flexibilität für die Wirtschaft mit Sicherheit für die Arbeitnehmer.« Das gehe nur gemeinsam. »Der Markt alleine schafft das nicht.«
Es widerspricht jedem Trend. Aber der feste Glaube an eine funktionierende staatliche Bürokratie, an die Kooperation der Tarifpartner, an gesellschaftlichen Konsens klingt bei vielen Finnen durch. Beim Gewerkschaftsführer, beim Konzernchef, beim Notenbankchef, beim Premierminister. »Unser gutes Sozialsystem ist Teil unseres Erfolges«, antwortet der konservative Premier Matti Vanhanen auf die Frage nach Finnlands Erfolgsrezept und vergisst die Zusammenarbeit von Staat und Privatwirtschaft in der Innovationspolitik nicht. Dafür wolle er werben, wenn sein Land von Juli an die Präsidentschaft der EU übernehme.
Pour les courageux, merci d'avance !!!
Ah j'oubliais voici ma traduction :
Nokia et la Finlande, deux enfants chéris de la mondialisation. L'entreprise a réussi à passer du bas de l’échelle à l’élite mondiale en seulement deux décennies ; elle se chargera bientôt de la conduite de nouvelles entreprises de réseaux en commun avec Siemens. Le pays luttait en même temps contre la dépression économique à la tête des économies politiques les plus compétitives du monde. La Finlande liste aujourd'hui les États, dans lesquels la corruption règne le moins. Elle a les meilleures écoles, les Pisatest qui se distinguent des autres. Avec 3,46 % du produit national, elle dépense plus pour la recherche que la plupart des autres États européens. Son budget public est excédentaire, la productivité augmente. La formation et la santé publique sont gratuites, l'État social s’est développé confortablement - et la plupart des bureaux sont vides vers quatre heures de l’après-midi.
La Finlande est-elle trop bonne, pour être vraie ?
« Nous sommes des hommes pragmatiques », dit-il. Si de nouveaux problèmes ont émergé, on les résout. Enfin, les Finnois auraient le savoir nécessaire. Il parle d’abord dans un allemand posé puis dans un anglais rapide. Il parle alors d’une recherche, une éducation et une formation pour tous. La Finlande a reconnu tôt que des investissements dans ce domaine (…) et ont formé la base de chaque bonne politique d'expansion. Et alors, on a transposé cette constatation dans le consensus, indépendamment des cycles de choix. Lutte des classes ?sourit Mäenpää. Il comprend ses collègues européens qui ont fréquemment des relations tendues avec l'État et vis-à-vis des employeurs. Mais la Finlande est justement différente. » Nous combinons une flexibilité pour l'économie avec la sécurité pour les travailleurs. « Cela ne peut aller qu’ensemble. » Le marché ne crée pas seulement cela. «
Il est contraire à chaque tendance. Mais la foi ferme à une bureaucratie nationale (…). Chez le leader syndical, chez le chef de groupement de sociétés, chez le chef de banque d'émission, chez le Premier ministre. » Notre bon système social fait partie de notre succès», répond le Premier ministre conservateur Matti Vanhanen à la question de la prescription de succès de la Finlande et oublie la coopération de l'État et d'une économie privée dans la politique d'innovation. C'est pourquoi il veut recruter, si son pays se trouve à la tête de la présidence de l'UE en juillet.

J'ai traduit un texte pour ma fac mais je ne suis vraiment pas sûre de la traduction ( j'aime l'allemand mais je crois que l'allemand ne m'aime pas

J'èspère que quelqu'un ayant plud de capacité que moi en allemand passera par là et m'aidera ... merci d'avance.
Voici le texte à traduire ( assez long je sais, j'arrête pas de le signaler à mes profs lol ) :
Nokia und Finnland, zwei Lieblingskinder der Globalisierung. Dem Unternehmen gelang es, aus dem Nichts binnen nur zwei Dekaden in die Weltelite aufzusteigen; bald übernimmt es die Führung in neuen, gemeinsamen Netzwerkunternehmen mit Siemens. Das Land kämpfte sich zur gleichen Zeit aus der wirtschaftlichen Depression an die Spitze der wettbewerbsfähigsten Volkswirtschaften der Welt. Finnland führt heute die Liste der Staaten an, in denen am wenigsten Korruption herrscht. Es hat die besten Schulen, den Pisatest mit Auszeichnung bestanden. Mit 3,46 Prozent des Sozialproduktes gibt es mehr für Forschung aus als die meisten anderen europäischen Staaten. Sein öffentlicher Haushalt fährt Überschüsse ein, die Produktivität steigt. Ausbildung und Gesundheitswesen sind kostenlos, der Sozialstaat ist komfortabel ausgebaut – und die meisten Büros sind gegen vier Uhr nachmittags leer.
Ist Finnland zu gut, um wahr zu sein?
»Mikko Mäenpää, Chef der zweitgrößten Landesgewerkschaft STTK, hält die Warnung vor dem Ende der guten Zeiten für Panikmache. »Wir sind pragmatische Menschen«, sagt er. Wenn neue Probleme auftauchten, löse man sie. Schließlich hätten die Finnen ja das nötige Wissen. Er spricht erst ein langsames Deutsch, wechselt ins schnelle Englische und redet dann über Forschung, Erziehung und Bildung für alle. Finnland habe früh erkannt, dass sich dortige Investitionen lohnten, dass sie jeden erreichen müssten und das Fundament jeder guten Wachstumspolitik bildeten. Und dann habe man die Erkenntnis im Konsens umgesetzt, unabhängig von Wahlzyklen. Klassenkampf? Mäenpää lächelt. Er verstehe zwar die europäischen Kollegen, die häufig ein konfrontatives Verhältnis zum Staat und zu den Arbeitgebern hätten. Aber Finnland sei eben anders. »Wir kombinieren Flexibilität für die Wirtschaft mit Sicherheit für die Arbeitnehmer.« Das gehe nur gemeinsam. »Der Markt alleine schafft das nicht.«
Es widerspricht jedem Trend. Aber der feste Glaube an eine funktionierende staatliche Bürokratie, an die Kooperation der Tarifpartner, an gesellschaftlichen Konsens klingt bei vielen Finnen durch. Beim Gewerkschaftsführer, beim Konzernchef, beim Notenbankchef, beim Premierminister. »Unser gutes Sozialsystem ist Teil unseres Erfolges«, antwortet der konservative Premier Matti Vanhanen auf die Frage nach Finnlands Erfolgsrezept und vergisst die Zusammenarbeit von Staat und Privatwirtschaft in der Innovationspolitik nicht. Dafür wolle er werben, wenn sein Land von Juli an die Präsidentschaft der EU übernehme.
Pour les courageux, merci d'avance !!!
Ah j'oubliais voici ma traduction :
Nokia et la Finlande, deux enfants chéris de la mondialisation. L'entreprise a réussi à passer du bas de l’échelle à l’élite mondiale en seulement deux décennies ; elle se chargera bientôt de la conduite de nouvelles entreprises de réseaux en commun avec Siemens. Le pays luttait en même temps contre la dépression économique à la tête des économies politiques les plus compétitives du monde. La Finlande liste aujourd'hui les États, dans lesquels la corruption règne le moins. Elle a les meilleures écoles, les Pisatest qui se distinguent des autres. Avec 3,46 % du produit national, elle dépense plus pour la recherche que la plupart des autres États européens. Son budget public est excédentaire, la productivité augmente. La formation et la santé publique sont gratuites, l'État social s’est développé confortablement - et la plupart des bureaux sont vides vers quatre heures de l’après-midi.
La Finlande est-elle trop bonne, pour être vraie ?
« Nous sommes des hommes pragmatiques », dit-il. Si de nouveaux problèmes ont émergé, on les résout. Enfin, les Finnois auraient le savoir nécessaire. Il parle d’abord dans un allemand posé puis dans un anglais rapide. Il parle alors d’une recherche, une éducation et une formation pour tous. La Finlande a reconnu tôt que des investissements dans ce domaine (…) et ont formé la base de chaque bonne politique d'expansion. Et alors, on a transposé cette constatation dans le consensus, indépendamment des cycles de choix. Lutte des classes ?sourit Mäenpää. Il comprend ses collègues européens qui ont fréquemment des relations tendues avec l'État et vis-à-vis des employeurs. Mais la Finlande est justement différente. » Nous combinons une flexibilité pour l'économie avec la sécurité pour les travailleurs. « Cela ne peut aller qu’ensemble. » Le marché ne crée pas seulement cela. «
Il est contraire à chaque tendance. Mais la foi ferme à une bureaucratie nationale (…). Chez le leader syndical, chez le chef de groupement de sociétés, chez le chef de banque d'émission, chez le Premier ministre. » Notre bon système social fait partie de notre succès», répond le Premier ministre conservateur Matti Vanhanen à la question de la prescription de succès de la Finlande et oublie la coopération de l'État et d'une économie privée dans la politique d'innovation. C'est pourquoi il veut recruter, si son pays se trouve à la tête de la présidence de l'UE en juillet.
