chansons d'amour
Tchoumitch.
Je n'en ai pas qui me viennent en tête mais en écoutant la radio cette
nuit, ça viendra sûrement mais on dirait que plusieurs associent les
chansons d'amour à un style de musique spécial.
Je crois qu'une chanson d'amour est caractérisée par ses paroles et non,
par son air donc une chanson relaxante et une chanson de style rock par
exemple valeront un peu de la même chose si les paroles sont touchantes
pour la personne.
Je resterai dans un contexte «amoureusement comique» en proposant
la chanson de Joe Dassin qui est «Les petits pains au chocolat». Les
paroles m'ont fait rire la première fois...
nuit, ça viendra sûrement mais on dirait que plusieurs associent les
chansons d'amour à un style de musique spécial.
Je crois qu'une chanson d'amour est caractérisée par ses paroles et non,
par son air donc une chanson relaxante et une chanson de style rock par
exemple valeront un peu de la même chose si les paroles sont touchantes
pour la personne.
Je resterai dans un contexte «amoureusement comique» en proposant
la chanson de Joe Dassin qui est «Les petits pains au chocolat». Les
paroles m'ont fait rire la première fois...
J'ai retouvé les paroles d'Higelin :
Je mourrai
Dans une voiture carbonisée.
La portière ne voudra pas s'ouvrir
Et je hurlerai...
Tu apprendras ma mort
Atroce
Par un ami
Par les journeaux, par la poste
Alors...
Alors tu te souviendras
Que nous avons fait l'amour
Remember
Que je pleurais de plaisir
Et que ma peau
Etait douce et vivante
A la paume de tes mains
Alors...
Alors tu voudras
Recommencer
Tu auras une envie folle,
Immédiate, de recommencer
Et tu sauras de quoi je parle
En ce moment précis.
Alors...
Je mourrai
Dans une voiture carbonisée.
La portière ne voudra pas s'ouvrir
Et je hurlerai...
Tu apprendras ma mort
Atroce
Par un ami
Par les journeaux, par la poste
Alors...
Alors tu te souviendras
Que nous avons fait l'amour
Remember
Que je pleurais de plaisir
Et que ma peau
Etait douce et vivante
A la paume de tes mains
Alors...
Alors tu voudras
Recommencer
Tu auras une envie folle,
Immédiate, de recommencer
Et tu sauras de quoi je parle
En ce moment précis.
Alors...
La folie des uns est la sagesse des autres
-
- Guest
Sans nul doute, mais qui mieux que la souffrance et le déchirement parvient à nous émouvoir? Pour ma part, les complaintes d'amour se doivent d'être le reflet de nos propres amertumes. C'est pourquoi le poème d'Aragon "Il n'y a pas d'amour heureux" ( Non ce n'est pas par esprit contestataire...), chanté par Ferrat, me semble être d'une beauté languide apte à me convenir. Voici les paroles:
Il n'y a pas d'amour heureux
--------------------------------------------------------------------------------
Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux
Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de se lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désoeuvrés incertains
Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes
Il n'y a pas d'amour heureux
Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
Il n'y a pas d'amour heureux
Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux
Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l'amour de la patrie
Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs
Il n'y a pas d'amour heureux
Mais c'est notre amour à tous les deux
Louis Aragon (La Diane Française, Seghers 1946)
Il n'y a pas d'amour heureux
--------------------------------------------------------------------------------
Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux
Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de se lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désoeuvrés incertains
Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes
Il n'y a pas d'amour heureux
Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
Il n'y a pas d'amour heureux
Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux
Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l'amour de la patrie
Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs
Il n'y a pas d'amour heureux
Mais c'est notre amour à tous les deux
Louis Aragon (La Diane Française, Seghers 1946)
Simple précision, le message ci-dessus est de moi, et n'était pas achevé lorque il fut accidentellement envoyé (Je désirais utiliser la fonction "prévsisualisation" )
Voici donc une complainte d'amour anatolienne qui s'inscrit dans la continuité du thème:
Jusqu'a Saren, la route est longue,
Et je me suis perdu en chemin.
Ne me subsiste que les ombres,
De l'olivier sur le couchant.
Mon âme, ma perle, mon espérance,
Que de nuits passées à implorer le silence,
De murmurer ton nom,
Et le vent, d'exhaler ta senteur.
L'amandier en fleurs,
Et le jasmin insolent,
Aux tourments de mon coeur,
Demeurent indifférents.
Pourquoi mes pas m'ont-ils menés à l'exil,
Alors que mes songes me ramènent à toi.
Pourquoi le ciel se voile-t-il,
A mesure que le temps m'égare.
Voici donc une complainte d'amour anatolienne qui s'inscrit dans la continuité du thème:
Jusqu'a Saren, la route est longue,
Et je me suis perdu en chemin.
Ne me subsiste que les ombres,
De l'olivier sur le couchant.
Mon âme, ma perle, mon espérance,
Que de nuits passées à implorer le silence,
De murmurer ton nom,
Et le vent, d'exhaler ta senteur.
L'amandier en fleurs,
Et le jasmin insolent,
Aux tourments de mon coeur,
Demeurent indifférents.
Pourquoi mes pas m'ont-ils menés à l'exil,
Alors que mes songes me ramènent à toi.
Pourquoi le ciel se voile-t-il,
A mesure que le temps m'égare.
Le mot que tu retiens entre tes lèvres est ton esclave. Celui que tu prononces est ton maître
Désolée, je n'avais pas encore découvert ton message.kokoyaya wrote:Ben on va continuer sur ce chemin : quoi de plus gai que le célibat à l'approche de la Saint-Valentin...Anonymous wrote:Sans nul doute, mais qui mieux que la souffrance et le déchirement parvient à nous émouvoir?
Le mot que tu retiens entre tes lèvres est ton esclave. Celui que tu prononces est ton maître
- Bernadette
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Léo Ferrékokoyaya wrote:Et les chansons d'amour heureux, ça existe ?
L'amour fou
La mer en vous comme un cadeau
Et dans vos vagues enveloppée
Tandis que de vos doigts glacés
Vous m'inventez sur un seul mot
O Ma Frégate des hauts-fonds
Petite frangine du mal
Remettez-vous de la passion
Venez que je vous fasse mal
Je vous dirai des mots d'amour
Des mots de rien de tous les jours
Les mots du pire et du meilleur
Et puis des mots venus d'ailleurs
Je vous dirai que je t'aimais
Tu me diras que vous m'aimez
Vous me ferez ce que tu peux
Je vous dirai ce que tu veux
Je vous dirai ce que tu veux
Je vous aime d'amour
'Quelle heure est-il, bien à peu près'
Et moi, j'aime particulièrement cette chanson du même Léo Ferré
Nous deux
Ils sont partis, sans crier gare
Avec leurs môme(s) et leurs guitares
Nos frères gitans de Saint-Ouen...
Elles sont parties, à tire-d'aile
Et sans retour, les hirondelles
Paris n'en avait plus besoin...
Flots de béton et de bêtise
Faut des drugstore(s) et du strip-tease
Des building(s) et des souterrains
Et de Boulogne et de Vincennes
Et des " quais fleuris " de la Seine
Bientôt, il ne restera rien...
Mais ce jour-là, ma tourterelle
Ma fille à moi, ma toute belle
Ma frangine d'amour, ma maman...
Malgré les planche(s) et puis la terre
On s' blottira comme on sait l' faire
Nous deux !
Malgré la terre et puis les planches
On se câlinera, comme le dimanche
Quand on va pas au cinéma
Nous deux...
Et qu'après, on s' retrouve en rêve
Fascinés comme Adam et Eve
Et tout fiers d'avoir trouvé ça :
Nous deux !
Tu vois, c'est écrit à la une :
On se dispute déjà la Lune...
Enfants de demain, innocents !
Un général, sur les planètes
Vous suivra d' loin, à la lunette
Et dira : C'est rouge de sang !...
À tant jongler avec la bombe
Un jour, faudra bien qu'elle tombe...
C'est son but et c'est notre lot...
Il faudra bien que ce jour vienne
Adieu Paris et adieu Vienne
Adieu Rome... et Monte-Carlo !...
Mais ce jour-là, ma tourterelle
Ma fille à moi, ma toute belle
Ma frangin' d'amour, ma maman...
Que tout se glace ou que tout flambe
Ça fait rien, si l'on est ensemble
Nous deux !
Que tout flambe ou que tout se glace
Nous aurons déjà notre place
Dans la légende des amants
Nous deux...
Alors, quand sautera la planète
Si jamais sonnent les trompettes
On s'en foutra divinement
Nous deux !
Les gens vont me traiter d'"artiste"
De sans-coeur !... et si j'en suis triste
Je n'en serai pas étonné
Car ce coeur pitoyable et tendre
À toi seule, qui sus le prendre,
Depuis longtemps je l'ai donné...
Tout comme aujourd'hui, je te donne
Cette chanson de fin d'automne
Qui se voulait chanson d'amour...
Je ne suis ni saint, ni apôtre
Et, pour penser encore aux autres
Le temps qu'il me reste est trop court...
En attendant, ma tourterelle
Ma fille à moi, ma toute belle
Ma frangin' d'amour, ma maman...
Puisque nos âmes vagabondent
Allons faire le tour du monde
Nous deux !
Puisque vagabondent nos âmes
Embrassons-nous tout près des lames
De l'Océan des mauvais jours
Nous deux...
Et puis, à nos amours, fidèles
Au coeur des neiges éternelles
Allons nous perdre pour toujours !
Nous deux !...
Nous deux
Ils sont partis, sans crier gare
Avec leurs môme(s) et leurs guitares
Nos frères gitans de Saint-Ouen...
Elles sont parties, à tire-d'aile
Et sans retour, les hirondelles
Paris n'en avait plus besoin...
Flots de béton et de bêtise
Faut des drugstore(s) et du strip-tease
Des building(s) et des souterrains
Et de Boulogne et de Vincennes
Et des " quais fleuris " de la Seine
Bientôt, il ne restera rien...
Mais ce jour-là, ma tourterelle
Ma fille à moi, ma toute belle
Ma frangine d'amour, ma maman...
Malgré les planche(s) et puis la terre
On s' blottira comme on sait l' faire
Nous deux !
Malgré la terre et puis les planches
On se câlinera, comme le dimanche
Quand on va pas au cinéma
Nous deux...
Et qu'après, on s' retrouve en rêve
Fascinés comme Adam et Eve
Et tout fiers d'avoir trouvé ça :
Nous deux !
Tu vois, c'est écrit à la une :
On se dispute déjà la Lune...
Enfants de demain, innocents !
Un général, sur les planètes
Vous suivra d' loin, à la lunette
Et dira : C'est rouge de sang !...
À tant jongler avec la bombe
Un jour, faudra bien qu'elle tombe...
C'est son but et c'est notre lot...
Il faudra bien que ce jour vienne
Adieu Paris et adieu Vienne
Adieu Rome... et Monte-Carlo !...
Mais ce jour-là, ma tourterelle
Ma fille à moi, ma toute belle
Ma frangin' d'amour, ma maman...
Que tout se glace ou que tout flambe
Ça fait rien, si l'on est ensemble
Nous deux !
Que tout flambe ou que tout se glace
Nous aurons déjà notre place
Dans la légende des amants
Nous deux...
Alors, quand sautera la planète
Si jamais sonnent les trompettes
On s'en foutra divinement
Nous deux !
Les gens vont me traiter d'"artiste"
De sans-coeur !... et si j'en suis triste
Je n'en serai pas étonné
Car ce coeur pitoyable et tendre
À toi seule, qui sus le prendre,
Depuis longtemps je l'ai donné...
Tout comme aujourd'hui, je te donne
Cette chanson de fin d'automne
Qui se voulait chanson d'amour...
Je ne suis ni saint, ni apôtre
Et, pour penser encore aux autres
Le temps qu'il me reste est trop court...
En attendant, ma tourterelle
Ma fille à moi, ma toute belle
Ma frangin' d'amour, ma maman...
Puisque nos âmes vagabondent
Allons faire le tour du monde
Nous deux !
Puisque vagabondent nos âmes
Embrassons-nous tout près des lames
De l'Océan des mauvais jours
Nous deux...
Et puis, à nos amours, fidèles
Au coeur des neiges éternelles
Allons nous perdre pour toujours !
Nous deux !...
Je ne suis rien, je ne serai jamais rien...
Enzo>> c'était génial ce karaoké, hein?
sinon moi j'en ai trouvé une autre la musique est très belle c'est une danse folk (du XIXe siècle je pense) macédonienne (on se demande pourquoi j'ai ouvert un topic sur le macédonien )
Paroles
sinon moi j'en ai trouvé une autre la musique est très belle c'est une danse folk (du XIXe siècle je pense) macédonienne (on se demande pourquoi j'ai ouvert un topic sur le macédonien )
Paroles
Traduction :MAKEDONSKO DEVOJCE
Makedonsko devojče,
kitka šarena,
vo gradina nabrana,
dar podarena.
Refrain
Dali ima n'ovoj beli svet
poubavo devojče od makedonče?
Nema, nema ne kese rodi
poubavo devojče od makedonče!
Nema dzvezdi polični
od tvoj'te oči.
Da se noke na nebo
den ke razdeni.
Koga kosi razpletiš
kako koprina
lična si i polična
od samovila.
Koga pesna zapee,
slavej nadpee.
Koga ora zaigra,
srce razigra.
Jeunes femmes de Macédoine,
plusieurs bouquets colorés,
fleurissent dans le jardin,
comme des cadeaux.
Refrain
Existe-t-il dans le monde
plus belle femme qu'une macédonienne?
Il n'y en a aucune de née,
plus belle qu'une femme macédonienne.
Aucune étoile n'est plus belle
que vos yeux.
La nuit, ils illuminent le ciel,
comme si c'était l'aurore.
Lorsque vous dénouez vos cheveux
comme de la soie,
vous êtes très belles,
plus belle que les fées.
Lorsque vous chantez,
vous chantez mieux que le rossignol.
Lorsque vous dansez,
votre cœur danse.
A+ les cactus !
A izza i ana sacranou
Askaratni kaasoun kaasoun khalidah
Ana mal' anou bihoubbinn raasikhinn
Lan yatroukani abada...
A izza i ana sacranou
Askaratni kaasoun kaasoun khalidah
Ana mal' anou bihoubbinn raasikhinn
Lan yatroukani abada...
j'aime quand tu te tais
Me revient un poème de Neruda chanté par Paco Ibanez, qui me semble une des plus belles chansons d'amour, le refrain veut dire "j'aime quand tu te tais parce que tu es comme absente"
"Me gusta cuando callas porque estas como ausente,
y me oyes desde lejos y mi voz no té toca.
Parece que los ojos se te hubieran volado y parece que un beso te cerrara la boca. Como todas las cosas están llenas de mi alma emerges de las cosas,
llenas del alma mía.
Mariposa de sueño,
te pareces a mi alma,
y te pareces a la palabra melancolía.
Me gustas cuando callas y estas como distante.
Y estas quejándote, mariposa en arrullo.
Y me oyes desde lejos,
y mi voz no te alcanza: Déjame que me calle con el silencio tuyo.
Déjame que te hable también con tu silencio claro como una lampara,
simple como un anillo.
Eres como la noche, callada y constelada.
Tu silencio es de estrella,
tan lejano y sencillo.
Me gustas cuando callas porque estas como ausente.
Distante y dolorosa como si hubieras muerto.
Una palabra entonces, una sonrisa basta.
Y estoy alegre, alegre de que no sea cierto. "
"Me gusta cuando callas porque estas como ausente,
y me oyes desde lejos y mi voz no té toca.
Parece que los ojos se te hubieran volado y parece que un beso te cerrara la boca. Como todas las cosas están llenas de mi alma emerges de las cosas,
llenas del alma mía.
Mariposa de sueño,
te pareces a mi alma,
y te pareces a la palabra melancolía.
Me gustas cuando callas y estas como distante.
Y estas quejándote, mariposa en arrullo.
Y me oyes desde lejos,
y mi voz no te alcanza: Déjame que me calle con el silencio tuyo.
Déjame que te hable también con tu silencio claro como una lampara,
simple como un anillo.
Eres como la noche, callada y constelada.
Tu silencio es de estrella,
tan lejano y sencillo.
Me gustas cuando callas porque estas como ausente.
Distante y dolorosa como si hubieras muerto.
Una palabra entonces, una sonrisa basta.
Y estoy alegre, alegre de que no sea cierto. "
Pile ou face?