Roger Carel s'en est allé et nous laisse cent voix...
- Ankhsenamon
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Roger Carel s'en est allé et nous laisse cent voix...
Il a prêté sa voix à tant de personnages de dessins-animés ou fictions, incarné aussi tant de rôles! Une voix reconnaissable entre toutes bien qu'offrant une grande variété de nuances de jeu! Un homme talentueux et assez attachant pour moi qui l'ai "côtoyé", comme un peu tout le monde, dans tellement d’œuvres différentes de sa vie, tout au long de ma jeunesse (et pas que) et de mes découvertes culturelles! Un dernier salut-hommage tout simple, tout est déjà partout dit et connu, pour pointer son départ qui m'a touchée...
"La pause, elle aussi, fait partie de la musique" Stefan ZWEIG
- Sisyphe
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- Location: Au premier paquet de copies à gauche après le gros dico
Re: Roger Carel s'en est allé et nous laisse cent voix...
On meurt beaucoup, en ce moment...
Si j'essaie de faire la liste chronologique, rapporté à ma propre vie :
- Winnie l'ourson
- Kermit la Grenouille
- Alf
- C3PO
- Astérix
- Hercule Poirot (pour deux acteurs différents, d'ailleurs)
Sans compte des dizaines de film et de série où je ne savais pas que c'était lui.
C'est proprement dingue d'avoir su faire d'une simple technique un art véritable. Le plus fou, c'est qu'on connaissait son visage, et c'est bien le seul.
Curieusement, je ne l'ai vu qu'une fois dans un rôle : une vieille pièce de boulevard (Féfé de Broadway) gentiment écrite, au-dessous du médiocre commun d'Au théâtre ce soir que je n'ai jamais aimée, sans rien d'immortel certes, mais magnifiée par lui et "la" Mayan. Tombée sous mes yeux par le hasard de YouTube ; suffisant pour faire passer une soirée, mais loin de sa "vraie" gloire...
... Je me suis toujours demandé comment il avait pu vivre cette carrière paradoxale.
Si j'essaie de faire la liste chronologique, rapporté à ma propre vie :
- Winnie l'ourson
- Kermit la Grenouille
- Alf
- C3PO
- Astérix
- Hercule Poirot (pour deux acteurs différents, d'ailleurs)
Sans compte des dizaines de film et de série où je ne savais pas que c'était lui.
C'est proprement dingue d'avoir su faire d'une simple technique un art véritable. Le plus fou, c'est qu'on connaissait son visage, et c'est bien le seul.
Curieusement, je ne l'ai vu qu'une fois dans un rôle : une vieille pièce de boulevard (Féfé de Broadway) gentiment écrite, au-dessous du médiocre commun d'Au théâtre ce soir que je n'ai jamais aimée, sans rien d'immortel certes, mais magnifiée par lui et "la" Mayan. Tombée sous mes yeux par le hasard de YouTube ; suffisant pour faire passer une soirée, mais loin de sa "vraie" gloire...
... Je me suis toujours demandé comment il avait pu vivre cette carrière paradoxale.
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)
Re: Roger Carel s'en est allé et nous laisse cent voix...
Oui. Mais a des âges vénérables.
PS: Alf ! Mais bien sûr !!
«C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain ne l'écoute pas.» Victor Hugo