Les films dans lesquels il y a des scènes catastrophes dans les avions... ce ne sont jamais des petits avions genre Airbus A319 ou ATR avec 70 passagers mais toujours des gros 747 pleins à craquer...
Sans compter les films catastrophes des prochaines années avec des A380
Car0line wrote:Les films dans lesquels il y a des scènes catastrophes dans les avions... ce ne sont jamais des petits avions genre Airbus A319 ou ATR avec 70 passagers mais toujours des gros 747 pleins à craquer...
Sans compter les films catastrophes des prochaines années avec des A380
Sauf quand le film est français, parce qu'on a pas les moyens de louer un A319.
Heureusement, ils auront toujours un aéroport pas loin pour se poser...
Un souvenir : dans je ne sais plus quel feuilleton français, un avion étant en perdition. Et - coïncidence - ils contactent l'aérdrome de Besançon-La Vèze (donc par chez moi ), aussitôt bombardé "aéroport".
Quand le méchant d'apprête à tuer le héros, il faut toujours qu'il prenne son temps, lui fasse un discours avant, qu'il lui raconte plein de choses, pourquoi il va le tuer, etc, de façon à laisser au héros le temps de retourner la situation.
Quand le méchant va tuer le héros, il ne le fait pas directement, ne tire pas avec son flingue, ils préfère des méthodes compliquées, indirectes, sophistiquées, qui laissent toujours au héros la possibilité de s'en sortir (le jeter dans une piscine à requins, vouloir le decouper avec un rayon laser, comme dans Goldfinger, essayer de l'étrangler avec un fil de fer, comme dans A history of violence ...)
Qu'est-ce que je disais ! ça avait été dit, en d'autres termes, par arkayn
arkayn le 4 juillet wrote:Même si 50 agents ont été exécutés sommairement auparavent, le héros, par pur sadisme, n'est jamais éxécuté tout de suite.
Il doit auparavent subir un discours interminable de la part du méchant qui lui révèle tout les dessous de l'affaire, en long et en large. De plus, il sera tué à travers une mise en scène purement macchiavélique, qui avortera systématiquement à cause d'un grain de sable.
Le héros hollywoodien est capable, alors que souffle la méga tempête plus costaud que moi tu meurs, de descendre de son véhicule pour filmer ladite tempête, alors que tout autour de lui sont emportés comme des fétus d'énormes 4x4 à des centaines de mètres de mètres de hauteur, puis de remonter dans son propre véhicule en étant à peine ébouriffé.
Quel homme !
Mouais, enfin... une fois remonté dans son véhicule, ce plouc se fait emporter par la tempête.
Ouais mais ça marche pas toujours. Ma mère m'a dit que George Clooney est mort dans une tempête dans le film qui est passé sur la 2 hier! C'était le héros. Et moi qui lui ai dit que je ne regarderais pas car "on sait déjà que tous vont mourir sauf 2-3, et George fera partie des rescapés".
didine wrote:Ouais mais ça marche pas toujours. Ma mère m'a dit que George Clooney est mort dans une tempête dans le film qui est passé sur la 2 hier! C'était le héros.
Ca arrive ça? Il faut que je le voie.
Je fais occasionnellement partie d'une catégorie de personnes qui trouvent que ça manque dans la plupart des films, un final où le héros, vaillament suspendu par un bras au train d'atterrisage d'un hélicopter en plein vol, (avec dans la poche la formule du seul antidote au dangereux virus alpha, et retenant l'héroïne de son bras libre tout en esquivant les balles, essayez, c'est vivifiant) puisse simplement se fatiguer, lacher, et tomber, proprement, comme tout le monde. Je crois que toute un vie d'happy ends contribue au développement de penchants sadiques chez les individus. Pardon, je sors.
J'ai vu une fois un (télé ?)film catastrophe il y a bien 15 ou 20 ans de ça.
Encore un avion en perdition. On a bien sûr le héros qui se dévoue pour piloter, des équipes à terre pour l'aider dans sa lourde tâche. Le suspense est à son comble, l'avion va se poser... et s'écrase sur la tour de contrôle !
J'ai adoré !!!
Mais je serais incapable de retrouver le nom de ce film.
J'ai vu un bon Steven Seagal hier soir à la télé italienne.. D'ailleurs Steven il parle italien à la perfection
Bref il a sauvé le vice président des Etats Unis en passant entre les balles des 25 méchants avec son seul pistolet. Puis après il a mis à terre 5 gros méchants pas beaux pas gentils qui attendaient tour à tour pour lui taper dessus..
Même mieux. Les ordis ne sont jamais sous Windows, Linux ou autres OS connus. Ce sont toujours des systèmes propriétaires.
Mais le héro (ou éventuellement sa partenaire féminine, parce qu'il faut bien justifier son salaire) navigue dessus comme s'il avait 20 ans de pratique dessus.
Alfred wrote:Et quand il faut chercher sur le disque dur d'un ordinateur, le héros trouve le mot de passe en 30 secondes, sans logiciel, sans rien...
Il faut bien dire que les méchants sont en général très bête... Par exemple, le dangereux psycopathe qui veut faire sauter la planète parce qu'il ne s'est jamais remis de la mort de sa femme Brenda (ou Jennyfer... Oui les femmes de héros ou de méchant ont toutes fait la Star ac' avant), eh bien son mot de passe, vous ne devinerez jamais, c'est... Brenda.
Quand je pense que je m'obstine à utiliser un système de mots de passe systématiques chiffrés (toujours les mêmes mais pas jamais dans le même ordre) depuis que j'ai des ordinateurs, alors que je ne suis même pas un méchant...
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)