Vos créations perso
Jolies photos. Le résultat est déjà pas mal.
Mais sur Photoshop (ou autre programme) si tu veux avoir de bons résultats, il vaut mieux mettre la main à la pâte et éviter les filtres tous faits (enfin, disons qu'ils sont pas mal pour débuter).
Pour créer toi même le ton sépia qui te convient :
- Passe ta photo en niveaux de gris en allant dans le menu : Image > Mode > Niveau de gris, puis repasse l'image en mode RVB en allant dans le menu : Image > Mode > Couleur RVB.
- Va ensuite dans le menu : Calque > Nouveau calque de réglage > Teinte/saturation, et applique les paramètres suivants : Teinte : 30, saturation : 25 et Luminosité : 0. N'oublies pas de cocher la case redéfinir.
Bien entendu, ces paramètres sont à ajuster en fonction de tes besoins, de la photo, etc.
Dans ton cas la difficulté est supplémentaire puisque une partie de la photo doit rester en RVB.
Dans un calque de réglage, commence par désaturer la partie de ton choix sur l'image. Elle sera en NB.
J'utilise Photoshop CS2. Mais dans la grande majorité des travaux amateurs que l'on veux faire, un Photoshop 7 ou 8 peut être largement suffisant.
Mais sur Photoshop (ou autre programme) si tu veux avoir de bons résultats, il vaut mieux mettre la main à la pâte et éviter les filtres tous faits (enfin, disons qu'ils sont pas mal pour débuter).
Pour créer toi même le ton sépia qui te convient :
- Passe ta photo en niveaux de gris en allant dans le menu : Image > Mode > Niveau de gris, puis repasse l'image en mode RVB en allant dans le menu : Image > Mode > Couleur RVB.
- Va ensuite dans le menu : Calque > Nouveau calque de réglage > Teinte/saturation, et applique les paramètres suivants : Teinte : 30, saturation : 25 et Luminosité : 0. N'oublies pas de cocher la case redéfinir.
Bien entendu, ces paramètres sont à ajuster en fonction de tes besoins, de la photo, etc.
Dans ton cas la difficulté est supplémentaire puisque une partie de la photo doit rester en RVB.
Dans un calque de réglage, commence par désaturer la partie de ton choix sur l'image. Elle sera en NB.
J'utilise Photoshop CS2. Mais dans la grande majorité des travaux amateurs que l'on veux faire, un Photoshop 7 ou 8 peut être largement suffisant.
La folie des uns est la sagesse des autres
- Chrysopale
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- Joined: 23 May 2007 22:40
- Location: Trop au nord, 'fait froid...
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Merci beaucoup pour vos réponses !
En fait, pour les photos postées plus haut, j'ai utilisé CS2, mais sur l'ordinateur d'un ami. Sur sa proposition, j'ai voulu le mettre de son ordi sur ma clé USB pour le mettre sur le mien, mais ça n'a pas marché.
Alors, maintenant, j'ai téléchargé Gimp (version 2.4.5 je pense), c'est l'équivalent OpenSource. Je commence à me débrouiller avec.
J'ai fait un essai sur ce programme : le sepia automatique, ou en faisant selon tes conseils, y a pas photo ! (sans jeux de mots).
Merci pour le truc!!
En fait, pour les photos postées plus haut, j'ai utilisé CS2, mais sur l'ordinateur d'un ami. Sur sa proposition, j'ai voulu le mettre de son ordi sur ma clé USB pour le mettre sur le mien, mais ça n'a pas marché.
Alors, maintenant, j'ai téléchargé Gimp (version 2.4.5 je pense), c'est l'équivalent OpenSource. Je commence à me débrouiller avec.
J'ai fait un essai sur ce programme : le sepia automatique, ou en faisant selon tes conseils, y a pas photo ! (sans jeux de mots).
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- Chrysopale
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J'ai toujours un peu écrit... je me décide à montrer les résultats...
http://avosplumes.xooit.com/t1984-Premonition.htm
http://avosplumes.xooit.com/t1984-Premonition.htm
Quelque chose m'a perturbé dans ton texte et m'a fait perdre le cours de l'histoire. Mais vu que je n'ai pas dormi beaucoup cette nuit, c'est sans doute dû à ma fatigue. Je le relis tout à l'heure, quand mes neurones se décideront à vouloir bosser correctement.
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Les fleurs poussent même dans les cimetières
Les fleurs poussent même dans les cimetières
Ce passage me perturbe, dans ton texte, Chrysopale. En fait, il me fait me poser plein de questions et nulle part je n'en ai de réponses par la suite. Et comme je me pose des questions, j'ai tendance à imaginer tandis que mes yeux lisent la suite. Enfin, je ne sais pas si je me fais bien comprendre.Il faut dire aussi que rien n'allait vraiment bien ces derniers jours? Mais selon vous, c'est facile d'abandonner comme ça son rêve, le rêve de toute une vie? Surtout dans ces conditions. Elle n'avait pas eu le choix. Enfin, soyons optimiste, il lui restait une dernière chance, un rendez-vous pour le lendemain. Ce maigre espoir lui donnait encore le sourire. Si elle parvenait à convaincre demain, il lui restait une chance! Oh, ce serait loin d'être facile, 4h de trajet supplémentaire par jour. Mais elle y arriverait oui!
Alors… à quoi était dû ce malaise? Elle n'arrivait pas à le définir. Cette inquiétude sourde s'insinuait en elle, telle un serpent prêt à étouffer sa proie. Elle n'arrivait à se concentrer sur rien, pas même le livre qu'elle avait eu tant de mal à quitter tout à l'heure, c'est dire!
On l'appelle en bas. Elle réagit instantanément, chose rare également. Que se passe-t-il?
Sinon l'histoire est touchante. Tu te débrouilles bien. Bravo !
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Les fleurs poussent même dans les cimetières
Les fleurs poussent même dans les cimetières
A l'heure des sables fins...
Il y a cette porte.
Un samedi du mois de juillet.
A l’heure où le monde respire les vacances, les destinations lointaines, le soleil. Les vastes espaces, les plages de sable fin, la mer à n’en plus finir.
La mer à n’en plus finir…
Il y a cette porte, un samedi du mois de juillet.
Cette porte dont je ne peux détacher le regard. Attendant que tu la passes. Que ton sourire éclaire tes traits et que tes yeux me disent : « T’as eu peur, hein ? ».
Et cette pancarte au dessus de la porte : ARRIVEES.
Le vol à destination d’Athènes d’abord porté disparu mais qui a pu amerrir avant de sombrer. Il y a des survivants. Et depuis mon regard est figé sur cette porte. J’en connais les moindres détails. Jusqu’aux taches de rouille sur les parties visibles des charnières. Aux chiures de mouches qui en parsèment le panneau. J’en connais le bruissement, quand elle s’ouvre et qu’elle laisse apparaître, au compte-goutte, les premiers rapatriés, le regard un peu fou, incapables de se rendre compte de ce à quoi ils viennent d’échapper. Le temps est figé sur cette porte qui ne s’ouvre que de temps à autre et qui me laisse frustré à chaque fois qu’elle se referme. Mon cœur s’emballe, mes tempes bourdonnent, la sueur me perle de partout…
Il y a cette porte qui s’ouvre puis se referme sous l’impulsion des grooms automatiques.
On a fait tout ce qu’on pouvait faire. Les recherches ont été abandonnées.
Il y a cette porte. Et la mer à n’en plus finir.
Un samedi du mois de juillet.
A l’heure où le monde respire les vacances, les destinations lointaines, le soleil. Les vastes espaces, les plages de sable fin, la mer à n’en plus finir.
La mer à n’en plus finir…
Il y a cette porte, un samedi du mois de juillet.
Cette porte dont je ne peux détacher le regard. Attendant que tu la passes. Que ton sourire éclaire tes traits et que tes yeux me disent : « T’as eu peur, hein ? ».
Et cette pancarte au dessus de la porte : ARRIVEES.
Le vol à destination d’Athènes d’abord porté disparu mais qui a pu amerrir avant de sombrer. Il y a des survivants. Et depuis mon regard est figé sur cette porte. J’en connais les moindres détails. Jusqu’aux taches de rouille sur les parties visibles des charnières. Aux chiures de mouches qui en parsèment le panneau. J’en connais le bruissement, quand elle s’ouvre et qu’elle laisse apparaître, au compte-goutte, les premiers rapatriés, le regard un peu fou, incapables de se rendre compte de ce à quoi ils viennent d’échapper. Le temps est figé sur cette porte qui ne s’ouvre que de temps à autre et qui me laisse frustré à chaque fois qu’elle se referme. Mon cœur s’emballe, mes tempes bourdonnent, la sueur me perle de partout…
Il y a cette porte qui s’ouvre puis se referme sous l’impulsion des grooms automatiques.
On a fait tout ce qu’on pouvait faire. Les recherches ont été abandonnées.
Il y a cette porte. Et la mer à n’en plus finir.
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Les fleurs poussent même dans les cimetières
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- Chrysopale
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Et comme toujours, ils font mouche... parce qu'à ce niveau là, c'est pas possible que ce soit le chauffage en cause. J'ai des frissons quand je te lis...
Ca me fait penser, je ne t'ai jamais remercié pour tes commentaires sur mon texte.
C'est vrai que je ne détaille pas plus le morceau que tu a indiqué, je devrais peut-être, je ne sais pas. Ou enlever ces détails-là. J'y reviendrai, lorsque ce sera moins dur. Là, je ne peux pas. C'était un texte pour me libérer.
Bref, tout ça pour dire merci.
Ca me fait penser, je ne t'ai jamais remercié pour tes commentaires sur mon texte.
C'est vrai que je ne détaille pas plus le morceau que tu a indiqué, je devrais peut-être, je ne sais pas. Ou enlever ces détails-là. J'y reviendrai, lorsque ce sera moins dur. Là, je ne peux pas. C'était un texte pour me libérer.
Bref, tout ça pour dire merci.