

Quant à moi je reste fidèle à mon Italien d'écrivain mais je vous en parlerai plus tard...

J'ai très peur de lire ce livre. C'est censé se passer à Kautokeino, non ? C'est un monde tellement fermé qu'un auteur venu de nulle part ne peut rien savoir du vrai Kautokeino. Déjà qu'un Norvégien normalement constitué n'y capte que dalle et se garde bien d'y mettre son nez… Il ne tombe pas trop dans les clichés chamano-ethnico-alternatifs? Franchement, je ne vois pas du tout la police norvégienne y comprendre quoi que ce soit aux sombres disputes ancestrales et souvent claniques entre les éleveurs de rennes… Kautokeino est une société très conservatrice, limite fondamentaliste (ils ont de la chance que dans le coin, il y ait encore pire qu'eux, ils gagnent à la comparaison), et totalement schizophrène entre les histoires d'éleveurs de renne aussi secrètes qu'obscures et la Scandinavie ultra-moderne et gaucho-libérale.Maïwenn wrote:Eh bien moi je lis Le dernier Lapon d'Olivier Truc.
Exactement. J'attendrai de pouvoir l'avoir dans les mains pour regarder un peu et limiter les risques. Un argument de plus pour garder les librairies…Maïwenn wrote: Pour moi ça ne semble pas trop cliché. Après, la dernière fois que j'ai lu un truc se passant en Thaïlande j'ai relevé une erreur dès les premières lignes,:
Je lis beaucoup de polars scandinaves en ce moment (bien mieux écrit que les américains toujours ou presque redondants), mais comme ils sont écrit par des scandinaves, je peux supposer qu'ils sont correct dans leurs écrits, non ?ElieDeLeuze wrote:Exactement. J'attendrai de pouvoir l'avoir dans les mains pour regarder un peu et limiter les risques. Un argument de plus pour garder les librairies…Maïwenn wrote: Pour moi ça ne semble pas trop cliché. Après, la dernière fois que j'ai lu un truc se passant en Thaïlande j'ai relevé une erreur dès les premières lignes,:
C'est un jour exceptionnel pour Serguei : son clan célèbre son entrée dans la vie adulte. Chez les Evènes peuple nomade de Sibérie devenir un homme signifie montrer au reste du clan que l'on est capable de protéger le troupeau de rennes de la tribu contre l'ennemi héréditaire : les loups. Mais dès la première nuit, Serguei trahit : attendri par une louve et ses quatre louveteaux, il ne peut se résoudre à tuer froidement des petits inoffensifs tétant leur mère... Son père le renie, son clan le bannit : Serguei est condamné à vivre seul dans un désert glacé, avec ses loups pour toute famille.