la chaussée des géants ne présente pas les mêmes couleurs
et ce que tu sembles prendre pour les marques de cette fameuse chaussée me semble être des huttes.
d'après la couleur de la roche verticale (particulièrement sujette à des alternances gel-dégel et à une forte action éolienne), j'ai l'impression qu'on est dans un paysage de type semi-aride.
pr le reste, je m'imagine aussi bien en Mongolie que du côté du Sahel ou de la Mauritanie...
Où cette photo a-t-elle donc été prise ?
wahou! Ca c'est de l'analyse!Miguel wrote:la chaussée des géants ne présente pas les mêmes couleurs
et ce que tu sembles prendre pour les marques de cette fameuse chaussée me semble être des huttes.
d'après la couleur de la roche verticale (particulièrement sujette à des alternances gel-dégel et à une forte action éolienne), j'ai l'impression qu'on est dans un paysage de type semi-aride.
pr le reste, je m'imagine aussi bien en Mongolie que du côté du Sahel ou de la Mauritanie...
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vallisoletano
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ouais enfin je me la pète, quoi ... c'est de la vanité pure.flamenco wrote:wahou! Ca c'est de l'analyse!Miguel wrote:la chaussée des géants ne présente pas les mêmes couleurs
et ce que tu sembles prendre pour les marques de cette fameuse chaussée me semble être des huttes.
d'après la couleur de la roche verticale (particulièrement sujette à des alternances gel-dégel et à une forte action éolienne), j'ai l'impression qu'on est dans un paysage de type semi-aride.
pr le reste, je m'imagine aussi bien en Mongolie que du côté du Sahel ou de la Mauritanie...
Net et sans bavure. Bravo, Llewullen.
Il s'agissait ici plus particulièremlent d'un village et de greniers Dogons, sur la falaise de Bandiagara au Mali.
Pour ceux qui ne connaissent pas les dogons, je vous fais une présentation rapide d'un peuple qui aurait pu être comme les autres.
Venus d'on ne sait où, les Dogons sont apparus vers le XIVème siècle sur le plateau desséché de Bandiagar qu'ils occupent encore de nos jours.
Tous les cinquante ans, Ils organisent une grande fête, appelée Sigui, destinée à régénérer le monde.
Pour cette fête, ils confectionnent des masques qu'ils gardent ensuite.
Ces masques constituent des sortes d'archives de leur peuple.
La périodicité de cette fête est déterminée par les rotations supposées d'une étoile très lourde, invisible des hommes et extrêmement massive, qui est censée graviter en cinquante années autour de Sirius, lui-même l'astre le plus brillant de tout le firmament.
Les Dogons appellent Po Tolo cette étoile invisible.
Or, l'existence d'un compagnon de Sirius, invisible de la Terre et appelé depuis sa découverte Sirius B, a été confirmée en 1862 seulement par l'Américain Alvan Clarke, à partir de calculs effectués en 1844 par l'astronome allemand Bessel.
Et Sirius B tourne autour de Sirius suivant une orbite d'environ 51 ans.
On sait aujourd'hui que cette étoile est petite mais extraordinairement massive - comme le veut la cosmogonie Dogon : une " naine blanche "
Mais la cosmogonie Dogon suppose aussi l'existence d'une troisième étoile nommée Enuna Ya, beaucoup plus légère que Po Tolo et tournant dans le même sens quelle, sur une orbite plus grande.
Une planète graviterait autour de cette troisième étoile : c'est de celle-ci que serait venu Nommo, le grand ancêtre.
Or, il se trouve aujourd'hui un certain nombre d'astronomes pour penser qu'effectivement il pourrait exister un deuxième compagnon.
Sirius, baptisé hypothétiquement Sirius C...
Enygmatiques, ces Dogons !
Il s'agissait ici plus particulièremlent d'un village et de greniers Dogons, sur la falaise de Bandiagara au Mali.
Pour ceux qui ne connaissent pas les dogons, je vous fais une présentation rapide d'un peuple qui aurait pu être comme les autres.
Venus d'on ne sait où, les Dogons sont apparus vers le XIVème siècle sur le plateau desséché de Bandiagar qu'ils occupent encore de nos jours.
Tous les cinquante ans, Ils organisent une grande fête, appelée Sigui, destinée à régénérer le monde.
Pour cette fête, ils confectionnent des masques qu'ils gardent ensuite.
Ces masques constituent des sortes d'archives de leur peuple.
La périodicité de cette fête est déterminée par les rotations supposées d'une étoile très lourde, invisible des hommes et extrêmement massive, qui est censée graviter en cinquante années autour de Sirius, lui-même l'astre le plus brillant de tout le firmament.
Les Dogons appellent Po Tolo cette étoile invisible.
Or, l'existence d'un compagnon de Sirius, invisible de la Terre et appelé depuis sa découverte Sirius B, a été confirmée en 1862 seulement par l'Américain Alvan Clarke, à partir de calculs effectués en 1844 par l'astronome allemand Bessel.
Et Sirius B tourne autour de Sirius suivant une orbite d'environ 51 ans.
On sait aujourd'hui que cette étoile est petite mais extraordinairement massive - comme le veut la cosmogonie Dogon : une " naine blanche "
Mais la cosmogonie Dogon suppose aussi l'existence d'une troisième étoile nommée Enuna Ya, beaucoup plus légère que Po Tolo et tournant dans le même sens quelle, sur une orbite plus grande.
Une planète graviterait autour de cette troisième étoile : c'est de celle-ci que serait venu Nommo, le grand ancêtre.
Or, il se trouve aujourd'hui un certain nombre d'astronomes pour penser qu'effectivement il pourrait exister un deuxième compagnon.
Sirius, baptisé hypothétiquement Sirius C...
Enygmatiques, ces Dogons !
La folie des uns est la sagesse des autres