Moi si je sors je me débrouille, je ne me vois pas demander à mes parents de venir à 5h!!!Zalatta wrote: surtout quand mon papa venait me chercher à 5h du mat à la porte de la boîtequand j'y pense maintenant...
C'était pas mal quand même!
Nos 17 ans
Mais je ne demandais pas!!!
C'était la consigne que je devais accepter si je voulais sortir comme ça ils savaient exactement dans quelle boîte j'avais été, avec qui, et je ne pouvais pas avoir bu... c'est pas si bête comme technique
@svernoux: j'habitais en Espagne, quand tu sors à minuit de chez toi car t'as rdv avec tes pots... tu peux pas arriver à 2h du mat! En plus, mon père partait au boulot sans se recoucher donc parfois me demandais de faire l'effort et rester jusqu'à 5h30 en boîte
Vive mon papa aussi!
C'était la consigne que je devais accepter si je voulais sortir comme ça ils savaient exactement dans quelle boîte j'avais été, avec qui, et je ne pouvais pas avoir bu... c'est pas si bête comme technique

@svernoux: j'habitais en Espagne, quand tu sors à minuit de chez toi car t'as rdv avec tes pots... tu peux pas arriver à 2h du mat! En plus, mon père partait au boulot sans se recoucher donc parfois me demandais de faire l'effort et rester jusqu'à 5h30 en boîte

Vive mon papa aussi!

Je me rend compte, hélas, que je ne me souvient pas grand'chose...Imène wrote:Dites, petite question à part, vous vous souvenez de vos dix sept ans, vous, c'était comment?

Je sais pour sûr que je n'étais pas encore parti d'Italie et que j'étais encore au lycée. Le bac était loin aussi. Déceptions : j'ai représenté, avec quelqu'un d'autres, les élèves dans le Conseil de notre école, une expérience très négative. Voyage d'école à Munich, heureusement je n'en ai pas tiré de conclusions hâtives sur l'Allemagne (on logeait dans un faubourg-dortoir à 30 minutes du centre, abandonné par dieu et la joie).
Tiens, j'ai qqch en commun avec d'autres sur ce fil (la philo), c'est l'année où j'ai découvert Kant et pendant les vacances d'été j'ai lu mon premier Heidegger (rien pigé

J'espère que pour Imène ce sera une belle expérience, je te souhaite beaucoup de bonheur

Wir brauchen keinen Appetit, wir haben den Hunger. (Bertolt Brecht)
Oups, pardon, y ai posté deux fois.
Last edited by Imène on 16 Nov 2005 15:32, edited 1 time in total.
Et bien, je l'espère moi aussi. On peut être sure d'une chose, ce sera une expérience, et si elle peut être belle, alors je suis preneuse.michka wrote: J'espère que pour Imène ce sera une belle expérience, je te souhaite beaucoup de bonheur


Merci Michka, du coup, j'ai trouvé en un clic ^^
I
On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans.
- Un beau soir, foin des bocks et de la limonade,
Des cafés tapageurs aux lustres éclatants !
- On va sous les tilleuls verts de la promenade.
Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin !
L'air est parfois si doux, qu'on ferme la paupière ;
Le vent chargé de bruits - la ville n'est pas loin -
A des parfums de vigne et des parfums de bière...
II
-Voilà qu'on aperçoit un tout petit chiffon
D'azur sombre, encadré d'une petite branche,
Piqué d'une mauvaise étoile, qui se fond
Avec de doux frissons, petite et toute blanche...
Nuit de juin ! Dix-sept ans ! - On se laisse griser.
La sève est du champagne et vous monte à la tête ...
On divague ; on se sent aux lèvres un baiser
Qui palpite là, comme une petite bête ...
III
Le coeur fou Robinsonne à travers les romans,
Lorsque, dans la clarté d'un pâle réverbère,
Passe une demoiselle aux petits airs charmants,
Sous l'ombre du faux col effrayant de son père ...
Et, comme elle vous trouve immensément naïf,
Tout en faisant trotter ses petites bottines,
Elle se tourne, alerte et d'un mouvement vif ...
- Sur vos lèvres alors meurent les cavatines ...
IV
Vous êtes amoureux. Loué jusqu'au mois d'août.
Vous êtes amoureux. - Vos sonnets La font rire.
Tous vos amis s'en vont, vous êtes mauvais goût.
- Puis l'adorée, un soir, a daigné vous écrire !...
- Ce soir-là,... - vous rentrez aux cafés éclatants,
Vous demandez des bocks ou de la limonade...
- On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans
Et qu'on a des tilleuls verts sur la promenade.
Poésies. 29 septembre 70.
Zalatta wrote:@svernoux: j'habitais en Espagne, quand tu sors à minuit de chez toi car t'as rdv avec tes pots... tu peux pas arriver à 2h du mat!


Sonka - Сонька
It's crazy how the time just seems to fly
But for a moment you and I, we caught it
It's crazy how the time just seems to fly
But for a moment you and I, we caught it
Imène wrote:Euh, moi c'est: "rentrée, maximum à 19h40" en général (sauf si papa accompagne).

hihi^^
Je faisais partie des rares chanceux à n'avoir aucun horaire imposé, ni aucune interdiction de lieu... En plus mes deux grandes soeurs me véhiculaient volontiers ^^
euh... j'ai peur que mes paroles ai ete mal interpretees: je sortais pas jusqu'a 5h du mat' tous les WE! d'ailleurs je sortais pas tous les WE. Ca a du m'arriver 4 ou 5 fois dans l'annee de sortir le soir, pas plus! mais quand je sortais j'en profitais, je faisais pa semblant...
Et mon pere savait avec qui je sortais et ou j'allais comme ca! D'ailleurs comme j'ai pu dire sur un autre fil, il me laissait pas trainer dans la rue ou autres apres le lycee... je rentrais direct chez moi! C'etait plutot strict. Mais de temps en temps il faut bien laisser la jeunesse s'amuser

Et mon pere savait avec qui je sortais et ou j'allais comme ca! D'ailleurs comme j'ai pu dire sur un autre fil, il me laissait pas trainer dans la rue ou autres apres le lycee... je rentrais direct chez moi! C'etait plutot strict. Mais de temps en temps il faut bien laisser la jeunesse s'amuser

«C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain ne l'écoute pas.» Victor Hugo