Qui a écrit ce texte ? [jeu]
On est aussi très très loin de l'Asie. Le texte n'a pas été écrit en français.

Mais si tu songes à un Robinson moderne, tu es sur une fausse piste.

Ça, on peux le direDada wrote:Le narrateur n'a pas vu de femme depuis tres longtemps, je suppose donc qu'il voyage dans une endroit tres recule (pour ne pas dire extreme)

Mais si tu songes à un Robinson moderne, tu es sur une fausse piste.

La folie des uns est la sagesse des autres
Chose promise :
-Chut dit J. en posant son doigt sur les lèvres tremblantes de H. Je ne sais pas ce que sont les protéines, les molécules et ces... ces charges électro-frénétiques. Cela me passe au-dessus la tête. Mais ce que je sais, c'est que tu as peur. A mesure que tu parlais, ta voix devenait plus stridente et tes yeux s'écarquillaient. Quelqu'un t'a terrorisé autrefois. Non ! Ne m'interromps pas. On t'a terrorisé et tu as été suffisamment un homme pour cacher presque entièrement ta peur. Mais ceux qui t'ont aussi horriblement terrifié étaient tellement habiles que tu n'as pu surmonter cette peur. Eh bien... (Elle approcha ses lèvres de l'oreille de H. et poursuivi dans un murmure : ) je te délivrerai de cette peur... Je te guiderai hors de la vallée de la peur. Non... ne proteste pas ! Je n'ignore pas qu'il t'es pénible qu'une femme sache que tu as peur. Mais cela n'ôte rien à mon estime pour toi. Je t'admire d'autant plus que tu as remporté une victoire sur toi-même. Je sais le courage qu'il t'a fallu pour affronter le Grand Test. Et je sais que c'est pour moi que tu l'as affronté. J'en suis fière et je t'aime d'avoir eu cette audace. Et je sais aussi qu'il te faut du courage pour me cacher chez toi en risquant à tout instant la disgrâce et une mort certaine. Je sais tout ce que cela représente. Je le sais parce que ma nature, mon instinct, mon rôle et mon amour me l'apprennent.
A présent buvons ensemble. Ces murs nous abritent et nous protègent des choses terrifiantes. Rien n'existe ici en dehors de nous. Bois. Et aime-moi. Je t'aime, H., et nous n'avons pas à nous soucier du reste du monde pour le moment présent. Oublie le entre mes bras.
Ils échangèrent des baisers, des caresses, et les mots qu'ont toujours dit les amants.
entre deux baisers, J. remplissait les verres de la liqueur pourpre et ils le vidaient. H. avalait le breuvage sans difficulté. Décidément, c'était moins l'idée de boire de l'alcool que l'odeur même qui le rendait malade. Il suffisait que son odorat fût trompé pour que son estomac le fût également. Et plus il buvait, plus il avait envie de boire.
C'était assez long, comme extrait ?
Encore un indice : L'auteur a endossé le pseudonyme d'un écrivain, personnage inventé par un autre auteur, le temps d'un roman.
-Chut dit J. en posant son doigt sur les lèvres tremblantes de H. Je ne sais pas ce que sont les protéines, les molécules et ces... ces charges électro-frénétiques. Cela me passe au-dessus la tête. Mais ce que je sais, c'est que tu as peur. A mesure que tu parlais, ta voix devenait plus stridente et tes yeux s'écarquillaient. Quelqu'un t'a terrorisé autrefois. Non ! Ne m'interromps pas. On t'a terrorisé et tu as été suffisamment un homme pour cacher presque entièrement ta peur. Mais ceux qui t'ont aussi horriblement terrifié étaient tellement habiles que tu n'as pu surmonter cette peur. Eh bien... (Elle approcha ses lèvres de l'oreille de H. et poursuivi dans un murmure : ) je te délivrerai de cette peur... Je te guiderai hors de la vallée de la peur. Non... ne proteste pas ! Je n'ignore pas qu'il t'es pénible qu'une femme sache que tu as peur. Mais cela n'ôte rien à mon estime pour toi. Je t'admire d'autant plus que tu as remporté une victoire sur toi-même. Je sais le courage qu'il t'a fallu pour affronter le Grand Test. Et je sais que c'est pour moi que tu l'as affronté. J'en suis fière et je t'aime d'avoir eu cette audace. Et je sais aussi qu'il te faut du courage pour me cacher chez toi en risquant à tout instant la disgrâce et une mort certaine. Je sais tout ce que cela représente. Je le sais parce que ma nature, mon instinct, mon rôle et mon amour me l'apprennent.
A présent buvons ensemble. Ces murs nous abritent et nous protègent des choses terrifiantes. Rien n'existe ici en dehors de nous. Bois. Et aime-moi. Je t'aime, H., et nous n'avons pas à nous soucier du reste du monde pour le moment présent. Oublie le entre mes bras.
Ils échangèrent des baisers, des caresses, et les mots qu'ont toujours dit les amants.
entre deux baisers, J. remplissait les verres de la liqueur pourpre et ils le vidaient. H. avalait le breuvage sans difficulté. Décidément, c'était moins l'idée de boire de l'alcool que l'odeur même qui le rendait malade. Il suffisait que son odorat fût trompé pour que son estomac le fût également. Et plus il buvait, plus il avait envie de boire.
C'était assez long, comme extrait ?

Encore un indice : L'auteur a endossé le pseudonyme d'un écrivain, personnage inventé par un autre auteur, le temps d'un roman.
La folie des uns est la sagesse des autres