Maïwenn wrote:Animal favoris (sic)
Nom de ton animal
Je n'ai pas d'animal non plus, je mets donc le nom de mon patron. C'est très proche.
Je dois avouer que même si je suis chef maintenant, je m'entends plutôt bien avec moi-même Et, j'ai de la chance, la chef au-dessus de moi est sympa aussi.
MessagePosté le: 22 Avr 2008 04:29 Sujet du message:
Pour l'artiste favori, ce n'est pas obligatoirement un chanteur ou un acteur : cela peut être aussi un écrivain, un poète, un peintre, ou même un cuisinier...
Ca m'aide pas non plus, j'aime pas trop hiérarchiser les gens comme ça. J'ai des préférés, mais pas un préféré...
Penn ar Bed
The end of the land
Le commencement d'un monde
Le beau temps était au rendez-vous, et je suis allé (hier) rendre visite à quelqu'un à 65 km de chez moi, belle balade en vélo. Un peu de vent donc le sweat se supportait bien.
Et aujourd'hui retour... toujours aussi beau, plus chaud, moins de vent... donc en T-shirt. J'ai écourté mon trajet en rejoignant une gare pour finir en train, parce que 1) j'étais fatigué, mais surtout 2) Je suis rouge comme une écrevisse !
'cré vin Diou ! Pourquoi qu'j'ai pas mis la crême solaire dans mon sac ????
A+ les cactus ! A izza i ana sacranou
Askaratni kaasoun kaasoun khalidah
Ana mal' anou bihoubbinn raasikhinn
Lan yatroukani abada...
un peu les 2, mais heureusement que je n'ai pas trop continué, j'ai vraiment les bras rouges, et ils me font encore très mal.
Demain j'passe à la pharmacie refaire le stock de Biafine et voir s'il y a un truc plus efficace que Belladonna...
A+ les cactus ! A izza i ana sacranou
Askaratni kaasoun kaasoun khalidah
Ana mal' anou bihoubbinn raasikhinn
Lan yatroukani abada...
Dimanche à la gare : un seul guichet ouvert, queue énorme. J'ai 15 mn pour acheter mon billet. Je ne peux pas le faire à la machine car c'est un trajet transfrontalier même si c'est à peine 20 mn de trajet. Je n'avance pas, dix minutes d'attente déjà. J'ai l'argent exact dans la main, cela prendrait 10 secondes pour faire le billet. Je demande donc aux personnes devant moi : pardon, mon train est dans 3 mn, j'ai tout l'argent pret, si vous permettiez...
... ils ont dit non. Les trois (Suisses) en tête de queue ont dit non. AU lieu d'exploser, j'ai sorti un méchant "Quand je vais raconter ça en Romandie, ça ne va pas arranger l'image des Suisses allemands, franchement c'est de votre faute si les Romands vous détestent". La pétasse me sort un truc en dialect Ici, c'est pas la Romandie. Et j'ai répondu "Mais ce n'est pas le Troisième Reich non plus, Madame".
J'ai tourné les talons et j'ai fraudé dans le train.
Une carte de banque sale qui ne peut être lue à la station d'essence quand je suis à 100 bornes de chez moi, que je n'ai pas de liquide sur moi et que je suis déjà sur la réserve depuis un bon moment et qu'on me dise que la prochaine pompe est à Foufny-Les-Bains-De-Pieds...
Le tout sur un air soupsconneux qui crie à tue-tête que mon compte n'est pas alimenté alors que j'ai utilisé la dite carte 1 heure plus tôt sans problème.
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Les fleurs poussent même dans les cimetières
Deux anecdotes, la première étant la plus "hard"...
A Pompéi, on décide de manger une pizza. Un autochtone nous conseille un pizzeria et c'est parti. Je déguste une succulente pizza mozzarelle et jambon cru quand soudain, je vois sortir de la pâte, comme qui dirait, un "poil de cul". Sur le coup, je me dis pas possible mais non, ça en était bien un. Sincèrement, j'espère que ça ne vous arrivera jamais, surtout à la fin d'un bon repas, ça fait un drôle d'effet.
Je montre la chose au patron, qui embarque mon assiette en jurant en italien. On s'attendait à un geste commercial. Il nous ramène un dessert, une spécialité locale ; la copine avec qui je voyageais lui avait demandé de quoi il s'agissait au début du repas. On prend ça pour un cadeau pour s'excuser.
Arrive l'addition... et les désillusions. Le type nous comptait ET la pizza au "oil de cul" ET le fameux dessert que l'on n'avait pas commandé. Je fais remarquer au patron que c'est un peu gonflé. Il me répond la bouche en coeur : la pizza, tu l'as mangée, alors tu la paies, c'est normal. J'ai eu à un moment envie de rejouer Zidane contre Materazzi mais j'ai préféré le dialogue. Cette pizza était de moins en moins digeste.
Comme j'insiste, le mec me prend de haut et me dit : "bon, ben si tu ne veux pas payer, je ne peux pas te forcer, au revoir." J'ai qu'un seul regret dans l'histoire, c'est de ne pas avoir tourné les talons à ce moment-là. La copine a rajouté son grain de sel et du coup, il n'a pas compté le dessert.
Dans le genre très soft comme énervement en comparaison :
Dans ma chambre à l'auberge de jeunesse à Naples se trouvait un Parisien. On discute un peu, il bosse à Barcelone. On parle de nos expériences de voyage en Italie et en Espagne. Et tout d'un coup, il me dit : "Tout de même, passer de Lille à Rome, ça a dû te faire un sacré changement de climat." Alors là, je me dis, encore un qui prend Lille pour le pôle Nord. Je fais alors mine de ne pas comprendre : "Ah bon, pourquoi?" Il a commencé à s'expliquer puis s'est rendu compte qu'il était en train de dire une ânerie, et il a changé de sujet.
Au boulot, ça pourrais m'énerver, mais il ne faut suuuurtoooouuuut pas que ça m'énerve:
en stock nous avons:
Une paranoïaque tendance Ste nitouche
Une schizophrène tendance nymphomane
Une paumée tendance tout ce qu'on veut
Un drageur impénitant tendance dépressive
Un à la fois pas de problème, on les mets ensemble, et ça explose.....
Mission: faire un planning ou ces gens ne se croisent pas, en cas d'échec, risque élevé de déflagration destructrice.