coup de blues
-
- Guest
coup de blues
bonjour a tous!
Je ne sais pas si je vais pouvoir parler de ce sujet ici sur votre forum. Si vous ne pouvez me repondre ce n'est pas grave j'irais chercher mon aide ailleurs peut etre ! Je voudrais principalement parler. Et surement avoir des avis la dessus.
voila, ma vie est un veritable calvaire, un enfer! Je passe ma vie a me faire engueuler par tout ce qui bouge, tout ce que j'entreprend est voué a l'echec, au debut ca fonctionne et puis c'est de mal en pis ! Ma vie amoureuse est un desastre, je suis bloquée partout. C'est simple je n'en puis plus! J'ai 25 ans et j'ai deja été prise de depression par le passé. Je n'arrive a rien, je ne suis bonne a rien, je n'ai aucun avenir et tout ce que je vois c'est la fin de tout, la fin de mon etre, je n'ai que cette solution. Nombre de fois je suis passee par l'hopital deja. Mes cicatrices ne demandent qu 'a etre ouverte a nouveau! Mes reves sont detruits, impossible, aneantis,ma vie avec.
quelque part je voudrais m'en sortir mais je n'y arrive pas. je ne sais plus quoi faire!
merci pour votre aide, opinion, documentation sur le sujet, je voudrais mieux comprendre ce qu il m'arrive et avoir un sutien, je ne sais ou.
Je ne sais pas si je vais pouvoir parler de ce sujet ici sur votre forum. Si vous ne pouvez me repondre ce n'est pas grave j'irais chercher mon aide ailleurs peut etre ! Je voudrais principalement parler. Et surement avoir des avis la dessus.
voila, ma vie est un veritable calvaire, un enfer! Je passe ma vie a me faire engueuler par tout ce qui bouge, tout ce que j'entreprend est voué a l'echec, au debut ca fonctionne et puis c'est de mal en pis ! Ma vie amoureuse est un desastre, je suis bloquée partout. C'est simple je n'en puis plus! J'ai 25 ans et j'ai deja été prise de depression par le passé. Je n'arrive a rien, je ne suis bonne a rien, je n'ai aucun avenir et tout ce que je vois c'est la fin de tout, la fin de mon etre, je n'ai que cette solution. Nombre de fois je suis passee par l'hopital deja. Mes cicatrices ne demandent qu 'a etre ouverte a nouveau! Mes reves sont detruits, impossible, aneantis,ma vie avec.
quelque part je voudrais m'en sortir mais je n'y arrive pas. je ne sais plus quoi faire!
merci pour votre aide, opinion, documentation sur le sujet, je voudrais mieux comprendre ce qu il m'arrive et avoir un sutien, je ne sais ou.
Je ne vois pas trop comment on peut te donner notre opinion ou te conseiller puisqu'on ne sait pratiquement rien sur toi, ni sur les problèmes que tu rencontres (à part qu'il sont nombreux et terribles). Mais ce qui est clair, c'est que tu te dévalorises complètement ! Avec une telle opinion de toi-même, pas étonnant que tu déprimes ! Je ne peux pas croire un seul instant que tu sois aussi nulle et sans avenir que tu le dis, je suis persuadée que toutes les personnes ont des qualités, de bons côtés, des atouts... Le tout, c'est de les trouver et de les exploiter. Et d'y croire !
Allez, courage, je suis sûre que tu peux trouver au moins une chose qui marche ou qui a marché dans ta vie. Essaie de te rappeler, ce sera toujours ça de positif. N'hésite pas à nous refaire un petit coucou si tu as des questions plus précises ou juste envie de causer un peu.

Allez, courage, je suis sûre que tu peux trouver au moins une chose qui marche ou qui a marché dans ta vie. Essaie de te rappeler, ce sera toujours ça de positif. N'hésite pas à nous refaire un petit coucou si tu as des questions plus précises ou juste envie de causer un peu.

Sonka - Сонька
It's crazy how the time just seems to fly
But for a moment you and I, we caught it
It's crazy how the time just seems to fly
But for a moment you and I, we caught it
Bonjour Miki,
C'est sûrement une bonne idée d'avoir écrit sur un forum. Merci pour ce message où tu dis les choses simplement et sans mettre de pression.
Tu n'as pas parlé de thérapie dans ton message. C'est vraiment le temps pour toi de rencontrer un ou une psychologue! D'après ce que j'en sais, l'approche cognitive-comportementale est la plus efficace et la plus appropriée. Cette approche permet à une personne de considérer ses problèmes de façon distancée (on est alors moins déstabilisé par eux) et d'envisager des solutions concrètes applicables au quotidien. L'avantage de cette thérapie est qu'on perd ainsi rapidement cette impression de subir une situation, et on réalise à quel point on a le contrôle... au moins pour faire avec ce qu'il y a là.
Une des façons de faire avec, selon cette approche, est de trouver le moyen d'adapter sa réaction à une situation (si elle est inchangeable) afin que ce soit plus facile sur le plan des émotions. Une bonne partie du problème sera alors réglée. En attendant, je peux déjà mentionner qu'il y a des personnes qui ont plus de fil à retordre sur ce plan : elles sont prédisposées par leurs hormones à se laisser davantage submerger par leurs émotions. Comme quoi la biologie explique bien des choses! Et cette prédisposition fait en sorte que les situations difficiles se vivent plus intensément et qu'on a l'impression qu'à chaque fois que surviennent des émotions, on va vivre des bouleversements pénibles.
La prédisposition hormonale, c'est mon cas à la base, mais je n'en subis plus de conséquences parce que j'ai plusieurs atouts dans mon jeu. Les voici au cas où ils pourraient servir :
1. Trouver ça normal d'être émotive, mais rire de mes propres réactions dramatisantes au besoin;
2. M'entourer de gens qui sont capables de le dire amicalement si je dramatise (en riant, par exemple) - éviter ceux qui voient les émotions des autres comme dérangeantes (voire répréhensibles) et avec qui je finis toujours par être (au choix) mal à l'aise, bouleversée, déçue ou frustrée, blues en général, etc.;
3. Accorder de l'importance à la qualité de mon sommeil (c'est difficile d'être bien solide quand on a mal dormi!);
4. Très sérieusement : penser à consommer suffisamment de vitamine B et d'oméga 3 - et sous forme de suppléments alimentaires, s'il le faut - qui aident à conserver son équilibre émotif. Ceci est sans doute le premier conseil de survie émotionnelle que je donnerais : je ne suis pas la seule à remarquer que ces éléments font une vraie différence.
Maintenant, Miki, ma demande principale est la suivante : va voir un ou une psychologue dès cette semaine, ça presse! Idéalement, choisis un psychologue qui préconise l'approche cognitive. Aussi, choisis une personne avec qui tu vas bien t'entendre d'égal à égal (on a le droit de faire plusieurs essais). Si tu es aux études ou si tu travailles dans une grande entreprise, ce service est souvent gratuit. Si tu dois payer et que c'est trop cher, va au plus grand nombre de rencontres possible, ce sera déjà ça. Même une seule rencontre par six mois pourra déjà t'amener sur de bonnes pistes, ne serait-ce que pour d'éventuelles lectures bien choisies. De toute façon, l'évolution va assez vite quand on veut mettre soi-même l'épaule à la roue entre les rencontres de suivi (le psychologue ne fait rien d'autre que de donner des trucs à une personne et l'accompagner dans les gestes qu'elle pose pour se sentir mieux).
Autre imploration : s'il y a des gens qui t'engueulent, déménage au plus vite! Coupe le contact, même si c'est de la famille (au besoin, tu peux toujours donner des nouvelles de temps à autre et espérer une relation presque normale dans une quinzaine d'années, mais c'est tout). Quoi qu'on fasse, l'engueulade et toute autre forme d'intimidation n'aura jamais de raison d'être. Donc, dis-toi bien que systématiquement, quand tu reçois une remarque qui te rend mal à l'aise, c'est que l'autre agit de façon incorrecte dès le départ. Si c'est fréquent, alors la relation est néfaste pour toi. Ça ne donne rien d'espérer que les autres vont finir par comprendre - les systèmes relationnels sont presque toujours impossibles à défaire quand il y a une personne du système qui se donne des droits sur l'autre.
Inutile, donc, de demander à ces personnes de faire attention - ce sera sans doute encore pire. Ta part de responsabilité consiste plutôt (si tu es obligée de les côtoyer) à adopter une attitude qui fait perdre l'envie de t'engueuler : la méthode de l'indifférence totale est ici conseillée. Mais le mieux est vraiment de fréquenter exclusivement des gens avec qui la communication se fait normalement (d'égal à égal). Ceux-là n'essaieront pas de te faire sentir comme ceci ou comme cela, surtout s'ils te connaissent comme quelqu'un qui ne répond pas aux propos déstabilisants.
Bon, ce serait ça quant à mes suggestions et demandes. On attend de tes nouvelles pour la suite!
C'est sûrement une bonne idée d'avoir écrit sur un forum. Merci pour ce message où tu dis les choses simplement et sans mettre de pression.
Tu n'as pas parlé de thérapie dans ton message. C'est vraiment le temps pour toi de rencontrer un ou une psychologue! D'après ce que j'en sais, l'approche cognitive-comportementale est la plus efficace et la plus appropriée. Cette approche permet à une personne de considérer ses problèmes de façon distancée (on est alors moins déstabilisé par eux) et d'envisager des solutions concrètes applicables au quotidien. L'avantage de cette thérapie est qu'on perd ainsi rapidement cette impression de subir une situation, et on réalise à quel point on a le contrôle... au moins pour faire avec ce qu'il y a là.
Une des façons de faire avec, selon cette approche, est de trouver le moyen d'adapter sa réaction à une situation (si elle est inchangeable) afin que ce soit plus facile sur le plan des émotions. Une bonne partie du problème sera alors réglée. En attendant, je peux déjà mentionner qu'il y a des personnes qui ont plus de fil à retordre sur ce plan : elles sont prédisposées par leurs hormones à se laisser davantage submerger par leurs émotions. Comme quoi la biologie explique bien des choses! Et cette prédisposition fait en sorte que les situations difficiles se vivent plus intensément et qu'on a l'impression qu'à chaque fois que surviennent des émotions, on va vivre des bouleversements pénibles.
La prédisposition hormonale, c'est mon cas à la base, mais je n'en subis plus de conséquences parce que j'ai plusieurs atouts dans mon jeu. Les voici au cas où ils pourraient servir :
1. Trouver ça normal d'être émotive, mais rire de mes propres réactions dramatisantes au besoin;
2. M'entourer de gens qui sont capables de le dire amicalement si je dramatise (en riant, par exemple) - éviter ceux qui voient les émotions des autres comme dérangeantes (voire répréhensibles) et avec qui je finis toujours par être (au choix) mal à l'aise, bouleversée, déçue ou frustrée, blues en général, etc.;
3. Accorder de l'importance à la qualité de mon sommeil (c'est difficile d'être bien solide quand on a mal dormi!);
4. Très sérieusement : penser à consommer suffisamment de vitamine B et d'oméga 3 - et sous forme de suppléments alimentaires, s'il le faut - qui aident à conserver son équilibre émotif. Ceci est sans doute le premier conseil de survie émotionnelle que je donnerais : je ne suis pas la seule à remarquer que ces éléments font une vraie différence.
Maintenant, Miki, ma demande principale est la suivante : va voir un ou une psychologue dès cette semaine, ça presse! Idéalement, choisis un psychologue qui préconise l'approche cognitive. Aussi, choisis une personne avec qui tu vas bien t'entendre d'égal à égal (on a le droit de faire plusieurs essais). Si tu es aux études ou si tu travailles dans une grande entreprise, ce service est souvent gratuit. Si tu dois payer et que c'est trop cher, va au plus grand nombre de rencontres possible, ce sera déjà ça. Même une seule rencontre par six mois pourra déjà t'amener sur de bonnes pistes, ne serait-ce que pour d'éventuelles lectures bien choisies. De toute façon, l'évolution va assez vite quand on veut mettre soi-même l'épaule à la roue entre les rencontres de suivi (le psychologue ne fait rien d'autre que de donner des trucs à une personne et l'accompagner dans les gestes qu'elle pose pour se sentir mieux).
Autre imploration : s'il y a des gens qui t'engueulent, déménage au plus vite! Coupe le contact, même si c'est de la famille (au besoin, tu peux toujours donner des nouvelles de temps à autre et espérer une relation presque normale dans une quinzaine d'années, mais c'est tout). Quoi qu'on fasse, l'engueulade et toute autre forme d'intimidation n'aura jamais de raison d'être. Donc, dis-toi bien que systématiquement, quand tu reçois une remarque qui te rend mal à l'aise, c'est que l'autre agit de façon incorrecte dès le départ. Si c'est fréquent, alors la relation est néfaste pour toi. Ça ne donne rien d'espérer que les autres vont finir par comprendre - les systèmes relationnels sont presque toujours impossibles à défaire quand il y a une personne du système qui se donne des droits sur l'autre.
Inutile, donc, de demander à ces personnes de faire attention - ce sera sans doute encore pire. Ta part de responsabilité consiste plutôt (si tu es obligée de les côtoyer) à adopter une attitude qui fait perdre l'envie de t'engueuler : la méthode de l'indifférence totale est ici conseillée. Mais le mieux est vraiment de fréquenter exclusivement des gens avec qui la communication se fait normalement (d'égal à égal). Ceux-là n'essaieront pas de te faire sentir comme ceci ou comme cela, surtout s'ils te connaissent comme quelqu'un qui ne répond pas aux propos déstabilisants.
Bon, ce serait ça quant à mes suggestions et demandes. On attend de tes nouvelles pour la suite!
- Sweety spam
- Membre / Member
- Posts: 35
- Joined: 13 Aug 2005 18:21
- Location: Région Parisienne
Voilà, il ne te manquais plus que ça Miki : l'avis d'un vieux clou ! Je n'ai pas eu une vie forcément cool cool toujours. Mais je suis sûre que tu t'en sortiras parce que je m'en suis sortie. Avec une vie de ... tite petite, et pas forcément mieux après la naissance de mes deux tite' n'enfants.... tiens bon ! c'est sûr tu vas y arriver !!!!!!!!!!!!!!!


L'amitié est beaucoup plus tragique que l'amour. Elle dure plus longtemps (merci Oscar !)
-
- Membre / Member
- Posts: 3222
- Joined: 30 May 2004 22:54
Entièrement d'accord avec la réponse d'Eveline, au demeurant fort intelligente (la réponse, pas Eveline ; enfin Eveline aussi, du coupEveline wrote:Maintenant, Miki, ma demande principale est la suivante : va voir un ou une psychologue dès cette semaine, ça presse! Idéalement, choisis un psychologue qui préconise l'approche cognitive.

Juste une précision : comment sait-on, lorsqu'on choisit un psychologue, qu'il a une approche cognitive ? Miki va-t-elle devoir payer 3 consultations avant (ou voir 3 psy gratuitement si elle est étudiante) de trouver le bon ?
Souvent, un psychologue prend les cinq premières minutes de la rencontre initiale pour se présenter (ouais, et on paye pour ça, pffft!). Il décrit son expérience dans le métier, comment il travaille, etc. Il demande aussi à la personne d'où c'est veux-tu bien me dire qu'elle a encore bien pu prendre ces idées de venir rencontrer un psychologue. De toute façon, s'il ne parle pas dès le départ de sa façon de travailler, on lui pose la question. Il y a deux capitaines à bord, nécessairement : c'est la beauté de la chose! Ça ne devrait pas prendre trop de minutes pour savoir si on est à l'aise avec le psychologue, son approche, la décoration de son bureau, etc.
Ah oui, d'ailleurs, à la fin, on lui dit carrément si la rencontre était pas mal, ou si, franchement, faudra qu'il pense à se recycler dans un autre domaine.
Euh, pas nécessairement, mais on est aussi bien de fixer tout de suite un deuxième rendez-vous et de prendre sa décision une fois rendu à la maison. Ensuite, on peut rappeler pour annuler. Pas besoin d'explications. On en rencontre un autre, et alors, c'est très intéressant de comparer!
Miguel, merci pour ces commentaires valorisants sur mes commentaiiirrrres!
Miki, t'es toujours au bout du fil, hein! (...Hein? Hein? Hé! Miki? Allô?)

Ah oui, d'ailleurs, à la fin, on lui dit carrément si la rencontre était pas mal, ou si, franchement, faudra qu'il pense à se recycler dans un autre domaine.

Euh, pas nécessairement, mais on est aussi bien de fixer tout de suite un deuxième rendez-vous et de prendre sa décision une fois rendu à la maison. Ensuite, on peut rappeler pour annuler. Pas besoin d'explications. On en rencontre un autre, et alors, c'est très intéressant de comparer!
Miguel, merci pour ces commentaires valorisants sur mes commentaiiirrrres!
Miki, t'es toujours au bout du fil, hein! (...Hein? Hein? Hé! Miki? Allô?)
Il y a aussi le bouche à oreilles, mais encore faut-il connaître des gens qui consultent aussi, et on n'en a pas toujours des tonnes autour de soi (ou bien on ne le sait pas). Y'aurait pas qc comme un forum dédié à la psychologie où les gens échangent leurs expériences avec les psy de telle ou telle ville ?Miguel wrote:Juste une précision : comment sait-on, lorsqu'on choisit un psychologue, qu'il a une approche cognitive ? Miki va-t-elle devoir payer 3 consultations avant (ou voir 3 psy gratuitement si elle est étudiante) de trouver le bon ?
Sonka - Сонька
It's crazy how the time just seems to fly
But for a moment you and I, we caught it
It's crazy how the time just seems to fly
But for a moment you and I, we caught it
-
- Guest
Coucou Miki,
le conseil que te donne Eveline est excellent. Pour connaître les oritentations du psychologue, tu peux avoir directement les infos par téléphone lors de la prise du premier rendez-vous. Par contre, cest assez cher, donc si ta situation financière ne te permet pas d'avoir un suivi très régulier, tu peux toujours t'adresser à un CMP (si tu habites dans une grande ville) mais par contre, tu n'auras pas le choix du psychologue (car souvent, il n'y a un qu'un et tu ne peux t'adresser qu'au CMP de ton secteur). Ensuite, tu peux aussi consulter un psychiatre (tous n'ont pas recours obligatoirement à la chimie pour les soins). Mais pour trouver un psychiatre qui pratique tel ou tel type de thérapie psycho, c'est assez difficile ... il faut s'armer de patience.
Il est clair que dans ta situation, il faut que tu consulte, car tu es entrain de te noyer en toi ... et totalement seule tu ne pourras pas t'en sortir, surtout que ton entourage donne l'impression de te maintenir dans cette logique auto-destructrice.
Dans tous les cas, je te souhaite bon courage, et à bientôt

le conseil que te donne Eveline est excellent. Pour connaître les oritentations du psychologue, tu peux avoir directement les infos par téléphone lors de la prise du premier rendez-vous. Par contre, cest assez cher, donc si ta situation financière ne te permet pas d'avoir un suivi très régulier, tu peux toujours t'adresser à un CMP (si tu habites dans une grande ville) mais par contre, tu n'auras pas le choix du psychologue (car souvent, il n'y a un qu'un et tu ne peux t'adresser qu'au CMP de ton secteur). Ensuite, tu peux aussi consulter un psychiatre (tous n'ont pas recours obligatoirement à la chimie pour les soins). Mais pour trouver un psychiatre qui pratique tel ou tel type de thérapie psycho, c'est assez difficile ... il faut s'armer de patience.
Il est clair que dans ta situation, il faut que tu consulte, car tu es entrain de te noyer en toi ... et totalement seule tu ne pourras pas t'en sortir, surtout que ton entourage donne l'impression de te maintenir dans cette logique auto-destructrice.
Dans tous les cas, je te souhaite bon courage, et à bientôt

-
- Membre / Member
- Posts: 3222
- Joined: 30 May 2004 22:54
-
- Guest
toujours la
bonjour a tous!
oui je suis toujours la...
ton idée est bonne Evelyne mais j'ai deja vu des milliers de psy dans ma vie, je ne vais tout de meme pas passé ma vie dans un bureau de psy... Je ne sais pas en fait, je ne sais plus vraiment!
Je voudrais m'eloigner de ma famille comme tu me le conseille mais je n'ai pas la situation financiere pour cela et puis ce sont mes parents qui gentiment me paye les etudes que je n'arrte pas de rater. D'ailleurs ils me menace d'arreter de payer et je devrais me debrouiller... c'est un veritable enfer.
je vais l'avouer je n'etais pas la depuis dimanche car j'ai fait une TS* dans la nuit et j'ai du etre hospitalisée.
En ce moment je ne suis plus que l'ombre de moi meme, je le reconnais c'est deja bien non?
Ce matin j'ai du aller a l'université pour faire un test d'orientation poiur voir si mes etudes me convenait... bien sur qu'elles me conviennent mais c'est la vie exterieure qui ne va pas. Pour choisir l'orientation aussi. Imaginez, j'ai 25 ans et j'aurais du avoir fini il y a 2 ans deja...
Svernoux disait que savoir plus sur ma vie pourrait aider au diagnostic... que veux tu savoir?
Je suis sous pression et je n'en peux plus. Je n'arrete pas de penser aux TS que je pourrais faire et donc a la mort... je me sens plus qu'inutile, j'ai parfois envie de me lancer dans la debauche et pourtant ce n'est pas mon style...
Je me sens vraiment trop dans le brouillard.
sinon merci pour vos messages ca fait du bien de voir que l'on se soucie un peu.
(J'ai trouvé sur internet ceci c'est tres interressant, perturbant, veridique... etrange! )
*tentative de suicide
oui je suis toujours la...
ton idée est bonne Evelyne mais j'ai deja vu des milliers de psy dans ma vie, je ne vais tout de meme pas passé ma vie dans un bureau de psy... Je ne sais pas en fait, je ne sais plus vraiment!
Je voudrais m'eloigner de ma famille comme tu me le conseille mais je n'ai pas la situation financiere pour cela et puis ce sont mes parents qui gentiment me paye les etudes que je n'arrte pas de rater. D'ailleurs ils me menace d'arreter de payer et je devrais me debrouiller... c'est un veritable enfer.
je vais l'avouer je n'etais pas la depuis dimanche car j'ai fait une TS* dans la nuit et j'ai du etre hospitalisée.
En ce moment je ne suis plus que l'ombre de moi meme, je le reconnais c'est deja bien non?
Ce matin j'ai du aller a l'université pour faire un test d'orientation poiur voir si mes etudes me convenait... bien sur qu'elles me conviennent mais c'est la vie exterieure qui ne va pas. Pour choisir l'orientation aussi. Imaginez, j'ai 25 ans et j'aurais du avoir fini il y a 2 ans deja...
Svernoux disait que savoir plus sur ma vie pourrait aider au diagnostic... que veux tu savoir?
Je suis sous pression et je n'en peux plus. Je n'arrete pas de penser aux TS que je pourrais faire et donc a la mort... je me sens plus qu'inutile, j'ai parfois envie de me lancer dans la debauche et pourtant ce n'est pas mon style...
Je me sens vraiment trop dans le brouillard.
sinon merci pour vos messages ca fait du bien de voir que l'on se soucie un peu.
(J'ai trouvé sur internet ceci c'est tres interressant, perturbant, veridique... etrange! )
*tentative de suicide
-
- Guest
Je connais deux personnes qui on déjà fait des tentatives de suicide il y a quelques années maintenant. Ce qui les ont sauvé c'est la curiosité. La curiosité de la vie, de comment vont se dérouler la suite des evenements, de où va mener leur vie, de quel surprise la vie reserve encore, de quelles personnes peut on faire les rencontres.
On dit que la curiosité est un vilain défaut, mais non, au contraire, c'est la plus belle des qualités.
Dis, t'es curieuse? n'as tu pas envie de savoir?
On dit que la curiosité est un vilain défaut, mais non, au contraire, c'est la plus belle des qualités.
Dis, t'es curieuse? n'as tu pas envie de savoir?
-
- Guest
si je suis curieuse, souvent je me dis : " je me demande si un jour j'aurais la paix" et souvent la seule reponse que j'ai c'est "oui je l'aurais le jour ou je ne serais plus la"... quelque part je n'ai plus vraiment de curiosité.., je n'ai plis envie de poser des questions et savoir comment tout va se deroulant, c'est fatiguant et ennuyant, et la reflexion devient difficile dans mon cerveau... comme s'il etait gelé