
Uderzo sur F2 au JT de 20 h wrote:Ce que je regarde, ce sont les files de ventes. Les critiques...
Moderator: kyliane
Latinus wrote:Et ben... si après tout ça on l'achète, c'est Anorix et périls !
Etant belge, il partait bien. Mais avec un nom à la romaine je crois qu'il ne passera pas les épreuves de sélectionSisyphe wrote:Latinus wrote:Et ben... si après tout ça on l'achète, c'est Anorix et périls !Et si on proposait Latinus à M. Uderzo pour le scénario du prochain Astérix ? Avec lui on est perpétuellement dans le ton il me semble (bien qu'il ne soit pas toujours très frais*).
*Attention, jeu de mots laid
Miguel wrote:Astérix a été mon livre de toilettes pendant toute ma jeunesse ...![]()
(ce qui, d'ailleurs, causa des problèmes relationnels avec mon petit frère qui se mettait à le lire en entier qd il y allait)
Au même titre, comment interdire au lecteur de refuser un album qui casse si radicalement les codes d'une BD mythique ?leo wrote:comment refuser à Uderzo - qui est un auteur au même titre que n’importe quel auteur publié par des éditeurs indépendants - de publier ce qu’il pense, ce qu’il veut, de la manière dont il le souhaite ?
Je rajouterai qu'il ne s'agit pas "d'une belle réflexion sur la bande dessinée française (européenne), américaine et japonaise" mais d'une critique politique (ce que Goscinny avait toujours refusé) primaire (impérialisme Américain -symbolisé par les tadsylwien= anagrame de walt disney- contre le mode de vie asiatique avec les nagmas= anagramme de "mangas"- le tout sur fond de robots destructeurs et de supers shériffs de l'univers représentés par des schwartzenneger en costume de superman venus de la planète "hubs" (je te laisse chercher toi-même l'anagramme).La Libre Belgique 2005 wrote:Le ciel est bien tombé sur les Gaulois, sous la forme d'extraterrestres, tout droit sortis d'un (mauvais) manga ou d'un (mauvais) «comic book». Uderzo semble péniblement vouloir se mettre aux goûts du jour. Mais peut-on à ce point bousculer un mythe? Quant à l'esprit parodique, malgré la figuration d'Arnold Schwarzenegger, il est désormais aussi mort et enterré que le regretté Goscinny. Tous les gags tombent à plat, seul Cétautomatix retrouvant l'espace d'une case l'esprit d'antan. Astérix a dit trente-trois. Un chiffre qui va lui rester en travers de la gorge.