
Restons calme ! J'ai l'impression qu'il y a un grand quiproquo... De quel type de "record" parlez-vous ?
S'il s'agit de celui de Monsieur L. Ron Hubbard, je vous ai dit ce que j'en pensais : c'est un gros vilain mensonge de sa part. Son bouquin à la c** a peut-être été traduit dans dix ou vingt langues, mais pas plus.
S'il s'agit des records atteints par des ouvrages de maigre qualité littéraire comme le Da Vinci Code (bon, je vais être honnête : je l'ai pas lu... Mais je le lirai - dans quinze ans), on peut moralement le déplorer, je pense qu'Olso sera d'accord aussi !
Y-a-t-il eu une traduction du DVC en espéranto ?
Dire qu'un chose est un
record n'est pas dire que cette chose est bonne. Ni qu'il faille essayer de le dépasser.
Cela dit, je ne suis pas d'accord avec toi, Gfa, quand tu dis que ce n'est qu'une question d'argent
à l'origine. Bien sûr, la puissance du premier éditeur, l'habileté des attachés de presse, l'aisance sur les plateaux de télé. Mais le DVC en question n'aurait pas été traduit dans trente-douze langues s'il n'avait
d'abord trouvé un public en anglais. Pour de mauvaises raisons peut-être...
... Par contre le fric en est la conséquence incontestable. Dan Brown a dû pouvoir se faire un bidet en or massif.
De toute façon, les livres qui semblent détenir les vrais records, si j'en crois vos sources, ne sont pas indignes : Agatha Christie ou Jules Verne sont de
bons auteurs populaires.
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)