Après on va dire que c'est moi qui l'ai dit et qui c'est qui passe pour un c** ? Non, non,non, j'ai pas dit ça ! Ou alors pas fort !
(Coluche)
Je suis tombé un nid de perles de sportifs ou de journalistes sportifs :
» Mark Draper (footballeur anglais) : "J'aimerais bien jouer dans un club italien. Comme le FC Barcelone par exemple."
» Frédéric Jaillant (football, TF1) : "Cinquante-six cartons jaunes dont cinq rouges."
» Cyril Linette (commentateur de football, Canal +) : "Y'a tous les grands pays européens qui sont représentés : y'a l'Espagne, y'a l'Italie, y'a la France, y'a le Japon."
» Franck Pedretti (consultant en half pipe, JO Turin, France 2) : "Vu le haut niveau de compétition, on sent bien que les Américains ne sont pas venu en Italie pour manger des paninis."
» Pierre Sled (football, France 2) : "Grosso-modo ils sont arrivés à 17 heures, ils sont repartis à 18h15... 3 heures d'entraînement !"
» Thierry Roland (football, TF1) : Lors d'un match de Coupe du Monde en Corée : "Puisqu'il y a deux Lee sur le terrain, on peut faire une chambre."
» Bernard Thévenet (consultant cyclisme, France 2) : "Ce sont des routes assez sinueuses : il y a beaucoup de lignes droites."
» Sylvain Wiltord (footballeur français) : "Je trinque souvent très rarement."
» Henri Sannier (cyclisme, France 2) : "Cioni fait des petits coucou au public, il est content d'être toujours là apparement" - Laurent Jalabert : " Non Henri, il appelle sa voiture pour boire"
» Michel Platini (consultant football, Canal +) : "Quand ça va pas très bien, ça va toujours pas très bien."
» Thierry Roland (football, TF1) : "En première mi-temps ça sentait le pâté... et maintenant, ça sent le boudin."
» Hervé Mathoux (football, Canal +) : "Et sur ces images quasiment inaudibles..."
» Rémi Garde (football, Canal +) : "Surtout dans ces dernières minutes, où les minutes s'égrainent et deviennent de plus en plus courtes !"
» Pierre Salviac (rugby, France 2) : "C'est vous dire si cet homme là sait de quoi il parle quand il parle avec ses pieds."
» Michel Hidalgo (ex-sélectionneur, consultant football) : "Hamann, c'est un joueur qui a deux poumons ! Non, pas deux car c'est le cas de tout le monde, mais plutôt trois !"
» Pierre Albaladejo (commentateur rugby, France 2) : "Il a des yeux au bout des godasses."
» Vincent Guérin (ex-footballeur français) : "Je crois que j'ai deux pieds. J'ai cette faculté depuis tout petit."
» Grégoire Margotton : En parlant des journalistes qui l'entourent : "C'est bien de vous avoir tous avec vos yeux."
» Guy Roux (consultant football, Canal +) : "Un petit qui saute va toujours moins haut qu'un grand qui saute."
» Shaquille O Neal (basketteur américain) : Après qu'un journaliste lui a demandé s'il était allé au Parthénon lors de son séjour en Grèce : "Comment voulez-vous que je me souvienne du nom de toutes les boîtes de nuit dans lesquelles je suis allé..."
» Thierry Gilardi (football, Canal +) : "Comment on fait pour choisir cinq volontaires ?"
» Laurent Paganelli (football, Canal +) : "Il avait anticipé le coup avant ! Oui, oui... il anticipe avant !"
» Nelson Monfort et Philippe Candeloro (patinage artistique, France 2) : A propos de la 4ème place du couple français en danse sur glace : Candeloro : "C'est scandaleux!", Monfort : "Gardez le fair-play qui vous caractérise Philippe"..., "Nan mais c'est dégueulasse, on s'est encore fait couillonner là !"
» Charles Biétry (football, Canal +) : "Quatre fois ils ont marqué zéro but."
» Grégoire Margotton (football, Canal +) : "Evidemment, ça réveille, même si on était pas du tout endormi depuis le début de cette rencontre !"
» Abdeslam Ouaddou (footballeur du Stade Rennais) : "Il ne faut pas brûler la peau de l'ours avant de l'avoir vendue."
» Jean Perron (ex-entraîneur canadien de hockey) : "C'est la goutte d'eau qui a mis le feu aux poudres."
» Pierre Salviac (commentateur de rugby, France 2) : "Chacun chez soi et les mouches seront bien gardées !"
» Laurent Robert (footballeur) : "Ça remonte aux calanques grecques."
» David Beckham (footballeur anglais) : "Nous voulons baptiser Brooklyn (sa fille) mais nous ne savons pas encore dans quelle religion."
» Greg Norman (golfeur autralien) : "Je dois beaucoup à mes parents, surtout à mon père et à ma mère."
J'ai pas dit ça (sur les sportifs)
J'ai pas dit ça (sur les sportifs)
La folie des uns est la sagesse des autres
-
- Guest
Quand on voit ce qu'on fait 2 supporters à Saint Denis pour avoir des places pour la finale de la champions league (euh.....c'est ça?) au stade de france demain.....Le foot ça rend dingue!!
Deux hommes cagoulés et armés ont menacé lundi soir douze élus de la ville de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) réunis à l'hôtel de ville, sans faire de blessés, a-t-on appris de sources concordantes.
Selon l'entourage du maire de Saint-Denis, qui n'a pas souhaité s'exprimer, les deux individus ont interrompu vers 21h45 une réunion de travail d'élus socialistes, au quatrième étage de la mairie.
Ils ont menacé physiquement certains élus, très choqués, en plaquant leurs armes de poing sur la tempe de plusieurs personnes, selon la préfecture de Seine-Saint-Denis.
"Ils ont dit: on veut voir le maire, on veut les places", rapporte Gilles Smadja, directeur de cabinet du maire, relatant les récits des victimes. Le maire, Didier Paillard, qui ne participait pas à cette réunion était présent en mairie.
Les agresseurs ont ensuite demandé aux élus de se regrouper sous une table et leur ont ordonné de ne pas bouger avant de s'éloigner, selon la même source.
Les élus ont alors appelé la police, qui s'est déployée pour sécuriser le périmètre, ont fouillé la mairie, sans trouver trace des deux individus.
Pour tous les témoins, il ne fait aucun doute que leurs agresseurs recherchaient des places pour la finale de football de la Ligue des champions, qui se joue mercredi au Stade de France à Saint-Denis.
Le maire de Saint-Denis se voit généralement confier pour l'occasion le soin de distribuer des places, qui s'échangeraient actuellement entre 1000 et 2000 euros au marché noir.
"Aussi grotesque que cela puisse paraître, il semble que ces gens sont venus avec l'intention de récupérer des places pour la Champions League", confirmait la préfecture.
Très choqués, les élus étaient dans la soirée entourés d'un médecin psychologue. Le préfet de Seine-Saint-Denis et le responsable de la sécurité publique, Jacques Méric, se sont déplacés sur les lieux.
Désolée si je casse l'ambiance, il était bien marrant ce post au départ

Deux hommes cagoulés et armés ont menacé lundi soir douze élus de la ville de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) réunis à l'hôtel de ville, sans faire de blessés, a-t-on appris de sources concordantes.
Selon l'entourage du maire de Saint-Denis, qui n'a pas souhaité s'exprimer, les deux individus ont interrompu vers 21h45 une réunion de travail d'élus socialistes, au quatrième étage de la mairie.
Ils ont menacé physiquement certains élus, très choqués, en plaquant leurs armes de poing sur la tempe de plusieurs personnes, selon la préfecture de Seine-Saint-Denis.
"Ils ont dit: on veut voir le maire, on veut les places", rapporte Gilles Smadja, directeur de cabinet du maire, relatant les récits des victimes. Le maire, Didier Paillard, qui ne participait pas à cette réunion était présent en mairie.
Les agresseurs ont ensuite demandé aux élus de se regrouper sous une table et leur ont ordonné de ne pas bouger avant de s'éloigner, selon la même source.
Les élus ont alors appelé la police, qui s'est déployée pour sécuriser le périmètre, ont fouillé la mairie, sans trouver trace des deux individus.
Pour tous les témoins, il ne fait aucun doute que leurs agresseurs recherchaient des places pour la finale de football de la Ligue des champions, qui se joue mercredi au Stade de France à Saint-Denis.
Le maire de Saint-Denis se voit généralement confier pour l'occasion le soin de distribuer des places, qui s'échangeraient actuellement entre 1000 et 2000 euros au marché noir.
"Aussi grotesque que cela puisse paraître, il semble que ces gens sont venus avec l'intention de récupérer des places pour la Champions League", confirmait la préfecture.
Très choqués, les élus étaient dans la soirée entourés d'un médecin psychologue. Le préfet de Seine-Saint-Denis et le responsable de la sécurité publique, Jacques Méric, se sont déplacés sur les lieux.
Désolée si je casse l'ambiance, il était bien marrant ce post au départ
