Lycéenne de terminale L, je commence sérieusement à me préoccuper de mon orientation.
Je me suis renseignée au sujet des études de traduction intréprétation et j'ai pu voir qu'il n'existe en France que 3 écoles : l'ISIT, l'ESIT, l'ITIRI.
Après avoir parcouru les sites de chaque école, j'ai plusieurs questions qui me tracassent : tout d'abord, quelles études faut-il faire pour entrer à l'ESIT? Une prépa littéraire (et dans ce cas, est ce que toutes les prépas littéraires sont compatibles avec des études de traduction?), ou LEA? Et pour l'ISIT et l'ITIRI? Je suis particulièrement intéressée par l'ESIT et l'ITIRI... Quelles sont les réputations de ces deux écoles? Quelles sont les débouchées?
Qu'est ce que ces écoles entendent par "maîtriser" une ou deux langues étrangères? Faut-il être bilingue, voire triligue?
Et surtout, existe-t-il d'autres écoles de traduction en France?
Merci d'avance pour vos réponses qui j'en suis sûre, m'aideront dans mon choix!
études de traduction
Moderators: kokoyaya, Beaumont, Sisyphe
Re: études de traduction
Bien sûr !guilbault wrote:Et surtout, existe-t-il d'autres écoles de traduction en France?
Merci de consulter les archives de forum, notamment ce sujet :
viewtopic.php?t=8024
car je crois que tout y a déjà été dit. S'il te reste des question, tu peux les poser dans le sujet déjà existant.
Sonka - Сонька
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Bonjour guilbault,
Tu peux déjà aller faire un tour ici : viewtopic.php?t=8024
Ensuite "être bilingue" ça n'existe pas pour nombre d'entre nous. En effet on ne peut pas être bilingue puisqu'on ne connait pas à fond sa propre langue maternelle!
Donc "maîtriser" ça veut dire que tu étudies la langue depuis longtemps (plus de 4-5 ans) et surtout que tu as fait un séjour de plusieurs mois consécutifs dans le pays de la langue en question, que tu lis sans souci un journal de cette langue et que tu comprends les journaux télévisés par exemple.
Ensuite il faut bien voir que l'ISIT et l'IPLV à Angers par exemple peuvent t'accepter directement après le bac alors que l'ESIT et l'ITIRi prennent à bac +3 ..
Tu peux déjà aller faire un tour ici : viewtopic.php?t=8024
Ensuite "être bilingue" ça n'existe pas pour nombre d'entre nous. En effet on ne peut pas être bilingue puisqu'on ne connait pas à fond sa propre langue maternelle!
Donc "maîtriser" ça veut dire que tu étudies la langue depuis longtemps (plus de 4-5 ans) et surtout que tu as fait un séjour de plusieurs mois consécutifs dans le pays de la langue en question, que tu lis sans souci un journal de cette langue et que tu comprends les journaux télévisés par exemple.
Ensuite il faut bien voir que l'ISIT et l'IPLV à Angers par exemple peuvent t'accepter directement après le bac alors que l'ESIT et l'ITIRi prennent à bac +3 ..
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- Guest
De prépa de quoi ? De lettres ?
A mon avis, aucune importance, si ce n'est que les prépas en général t'apportent une bonne méthodologie et une bonne culture gé, mais rien n'empêche d'en arriver au même résultat par la fac.
A mon avis, aucune importance, si ce n'est que les prépas en général t'apportent une bonne méthodologie et une bonne culture gé, mais rien n'empêche d'en arriver au même résultat par la fac.
Sonka - Сонька
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- Sisyphe
- Freelang co-moderator
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- Joined: 08 Jan 2004 19:14
- Location: Au premier paquet de copies à gauche après le gros dico
Les prépas littéraires (hypokhâgne et khâgne) sont "calibrées" LLCE, et l'équivalence que l'on obtient au bout de deux ans est un L2 (un DEUG, comme on ne dit plus) LLCE. Or, me semble-t-il, les études de trad nécessitent plutôt une culture LEA.
Etant moi-même le plus produit des khâgnes, je ne peux que louer effectivement l'apport méthodologique de cette préparation (techniques de la dissertation, de la traduction littéraire, de la révision permanente, de la prise de parole à l'oral, etc.). Il y a des gens qui se réorientent vers la trad après une khâgne (généralement B/L), mais ce n'est pas la voix la plus logique à mon avis.
Etant moi-même le plus produit des khâgnes, je ne peux que louer effectivement l'apport méthodologique de cette préparation (techniques de la dissertation, de la traduction littéraire, de la révision permanente, de la prise de parole à l'oral, etc.). Il y a des gens qui se réorientent vers la trad après une khâgne (généralement B/L), mais ce n'est pas la voix la plus logique à mon avis.
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)