Si bien sûr, mais il faut lire tout le fil, on en a déjà parlésofenka wrote:je me demandais si vous ne pensiez pas aux écoles belges parfois...

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Si bien sûr, mais il faut lire tout le fil, on en a déjà parlésofenka wrote:je me demandais si vous ne pensiez pas aux écoles belges parfois...
oui, j'ai lu les quelques messages... moi je ne peux rien en dire, parce que j'ai fait trois ans à l'univ, dans un truc qui correspond à LLCE en France (études slaves)... et je n'ai pas fait d'école de traduction. De toute façon, ma langue principale étant le tchèque, je ne pense pas qu'il existe d'Ecole de traduction-interprétariat où on peut faire le tchèque en première langue.Car0line wrote:On en a parlé mais pas forcément en bien .....
Didine te répondra mieux que moi mais je pense que oui il est amené à se déplacer..Est-ce qu'un interprète de conférence est amené à se déplacer? Est-ce qu'il travaille toujours pour la même personne ou le même organisme?
Alors là les "on m'a dit" faut rarement les croire:) Ce sont des gens qui ont fait LLCE allemand qui t'ont dit ça?On m'a dit que pour faire des études d'Allemand, il fallait faire du Latin et lire la Bible, est-ce que vous savez si c'est vrai et pourquoi? (Je vois pas trop le rapport entre le Latin et la Bible d'un côté, et l'Allemand de l'autre...)
Pour etre prof il faut une formation différente de celle de traducteur.. Tu peux faire ta prépa puis une licence option FLE et un Master en traduction littéraire.. MAis sache que dans la traduction littéraire il y a peu de débouchés.. renseigne toi bien. En tout cas l'ITIRI de Strasbourg propose cette formation spécifique.En fait j'hésite entre interprète de conférence ou prof de Français en Allemagne + traductrice littéraire, donc je pense plus en ce moment à faire une licence trinationale (dans une université franco-allemande) qui me permette de devenir prof de Français en Allemagne.
On m'a dit que pour faire des études d'Allemand, il fallait faire du Latin et lire la Bible, est-ce que vous savez si c'est vrai et pourquoi? (Je vois pas trop le rapport entre le Latin et la Bible d'un côté, et l'Allemand de l'autre...)
Les prépas littéraires ("khâgne") sont des formations d'ordre essentiellement "académique", ou si tu préfères "littéraires". Donc, les équivalences qui sont accordées en langue au bout de deux ans sont par nature des équivalence LLCE et non pas LEA.- Après mon bac, je pense intégrer une prépa littéraire, mais j'hésite pour la licence après. J'en ai parlé avec Didine qui me conseille plutôt LEA, mais je ne suis pas sûre de vouloir faire interprète parce que j'ai peur de me faire de fausses idées sur le métier...En fait j'hésite entre interprète de conférence ou prof de Français en Allemagne + traductrice littéraire, donc je pense plus en ce moment à faire une licence trinationale (dans une université franco-allemande) qui me permette de devenir prof de Français en Allemagne. Qu'est-ce que vous me conseillez? Et est-ce que quelqu'un connait el système des équivalences avec les prépa littéraires?
Ce n'est pas du tout la même chose.- Quel est el mieux entre Sciences Po et une prépa littéraire? en fait je en sais même pas sur quoi porte Sciences Po, mais on m'a dit que c'était 5 ans minimum, et ej pense que ça me fera beaucoup d'études si je evux enchainer avec une licence puis l'ESIT.
On parie combien que c'est un Allemand qui t'a dit ça ?Aloïse wrote: - On m'a dit que pour faire des études d'Allemand, il fallait faire du Latin et lire la Bible, est-ce que vous savez si c'est vrai et pourquoi? (Je vois pas trop le rapport entre le Latin et la Bible d'un côté, et l'Allemand de l'autre...)
Le meilleur moyen, c'est de demander ! Y'a peut-être des indépendants qui accepteraient. Des agences, j'en doute.Aloïse wrote:Ah si une dernière chose, est-ce que c'est possible de faire un stage ou simplement de suivre un traducteur et un interprète quelques temps (environ 1 semaine) pour voir concrètement le métier? Vous connaissez des gens qui m'accepteraient?![]()
L'ESIT a un régime spécial aussi bien en traduction qu'en interprétation, tu pourrais donc y étudier avec le tchèque en langue A.sofenka wrote:De toute façon, ma langue principale étant le tchèque, je ne pense pas qu'il existe d'Ecole de traduction-interprétariat où on peut faire le tchèque en première langue.
Oui, les interprètes sont amenés à se déplacer! Seuls les interprètes fonctionnaires (de l'UE, l'OTAN, l'OCDE, etc) travaillent pour une seule et même organisation. Tous les autres, soit l'écrasante majorité, travaillent aussi bien sur le marché privé que pour les ministères ou les organisations internationales. On a donc des missions très différentes les unes des autres, c'est un des éléments qui rendent ce métier si intéressant!Aloïse wrote:- Est-ce qu'un interprète de conférence est amené à se déplacer? Est-ce qu'il travaille toujours pour la même personne ou le même organisme?
Les cursus binationaux dont nous parlions sont réellement binationaux, c'est une sorte de super-erasmus : une année en France, une année en Allemagne, une année en France, une année en Allemagne etc. sur quatre ans ; il s'agit donc bel et bien de la maîtrise française et du 1. Staatsexamen, passés au semestre VI dans les pays respectifs... Mais effectivement, le dernier palier (recrutement/Verbeamtung en Allemagne, concours/titularisation en France) relève de chaque pays.ElieDeLeuze wrote:Je ne sais pas si c'est HS, mais pour être prof en Allemagne, il faut faire le Lehramt en Allemagne directement. Les diplômes étrangers ne sont pas reconnus (pour l'instant). En plus, c'est un système décentralisé, donc vous être prof dans un Land. Passer d'un Land à l'autre est possible, mais ça peut être parfois acrobatique.
Bravo.Zadie wrote:je reviens juste sur les équivalences en khagne...je viens de finir ma khagne et jai obtenu mes equivalences ( L1 et L2) en LEA traduction specialisée anglais/allemand à Paris VII / Jussieu
Zadie wrote:Je reviens aussi sur le "naturellement" de l'obtention des équivalences en LLCE ..cest sous l'avis des professeurs puis de la faculté au vu de nos résultats donc rien ne dit qu'on obtient nos équivalences meme après deux ans