J'ai besoin de l'aide à traduire les phrases allemandes suivantes en anglais:
"der Klang geschlagenen Erzes ist die Stimme eines Daimon, der darin eingefangen ist; das den Menschen oft anfallende Klingen in den Ohren ist die Stimme der κρείττονες. Alter ist Abnehmen, Jugend Wachstum"
et puis
"die eigene Frau nicht verfolgen, da der Mann sie als Schutzflehende am Altar in Empfang genommen hat; man soll keinen weissen Hahn opfern, da er ein Schutzflehender und dem Men heilig ist"
Je ne comprends même pas bien quoi veulent dire cettes phrases! Merci.
Voici déjà la première phrase en français, si ça peut aider :
"der Klang geschlagenen Erzes ist die Stimme eines Daimon, der darin eingefangen ist; das den Menschen oft anfallende Klingen in den Ohren ist die Stimme der κρείττονες. Alter ist Abnehmen, Jugend Wachstum"
Le bruit produit par le minerais que l'on frappe est la voix d'un Daimon*, qui y est enfermé. La bruit qui se met à résonne souvent dans les oreilles des hommes et la voix des kreittones**. La vieillesse est déchéance, la jeunesse croissance.
*Je laisse le mot tel quel car je pense qu'il est plus précis que "démon" en français ou daemon en anglais, c'est bien le concept grec.
** litt. "les puissants, les plus-puissants". A partir de Platon mais surtout dans une tradition religieuse post-classique, ça désigne les dieux (ou des formes de la divinité, mais je pense que Theos en sait plus que moi sur ce point).
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)
le livre parle des pratiques de pythagoreanisme. donc les phrases décritent des proscriptions de pythagoreanisme. "il ne faut pas suivre ta propre femme, parce qu..."? je ne peux pas comprendre le reste.
die eigene Frau nicht verfolgen, da der Mann sie als Schutzflehende am Altar in Empfang genommen hat; man soll keinen weissen Hahn opfern, da er ein Schutzflehender und dem Men heilig ist"
Je suppose qu'il manque effectivement "man soll" devant
<on> pas suivre sa propre femme, car l'homme [ou : Men ?] au début l'a prise comme suppliante devant l'autel ; on ne doit pas sacrifier de coq blanc, car il est un suppliant, et une <cr> sacrée aux yeux de Men.
Men/Ménès étant une divinité égyptienne "récupérée" les cultes à mystère. Es-tu sûr que dans la première phrase, ce ne serait pas plutôt "der Men" que "der Man"? Ca me semblerait plus cohérent : on aurait ici deux interdits du culte en question : les femmes et les coqs, présentés tous les deux comme des "Schutzflehende" de Ménès.
J'ai traduit par "suppliant", c'est littéralement "celui qui sollicite (flehen) une protection (Schutz)".
Last edited by Sisyphe on 27 May 2007 01:15, edited 1 time in total.
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)
<on> pas suivre sa propre femme, car l'homme [ou : Men ?] au début l'a prise comme suppliante devant l'autel ; on ne doit pas sacrifier de coq blanc, car il est un suppliant, et une <cr> sacrée aux yeux de Men.
theos wrote:Merci Sisyphe. Oui j'en suis sûr, le premier est 'der Mann'.
(Je suis toujours impressionné par ta connaissance énorme. T'as vraiment réussi à avoir l'air intelligent en connaissant trop de choses inutiles )
Doctus cum libro...
Je réponds à ton MP bientôt...
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)