doute sur une expression française
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doute sur une expression française
je ne sais plus si ont dit 'se voir gratifié' ou 'se voir gratifier'.
c'est suite à une correction par rapport à ma version ... .
Merci d'avance
c'est suite à une correction par rapport à ma version ... .
Merci d'avance
我要飛往天上 呀﹗像那天鳥傲翔 呀﹗那裡充滿希望﹗
Après quelques essais j'imagine une règle, à confirmer:
- il s'est vu promettre ... = on LUI a promis = objet indirect / attribution
- il s'est vu obligé de ... = on L'a obligé = objet (direct)
-- Olivier
- il s'est vu promettre ... = on LUI a promis = objet indirect / attribution
- il s'est vu obligé de ... = on L'a obligé = objet (direct)
-- Olivier
Se nem kicsi, se nem nagy: Ni trop petit(e), ni trop grand(e):
Éppen hozzám való vagy! Tu es juste fait(e) pour moi!
Éppen hozzám való vagy! Tu es juste fait(e) pour moi!
c'est pas de la philo mais c'est une expression chinoise très concentrée qui fait référence à ce genre de tournures (proverbes à connotation ancienne ...).svernoux wrote: C'est de la philo ton texte, parce que franchement, j'aurais carrément tourné le truc autrement, ça me semble très alambiqué.
Merci à tous pour les commentaires
我要飛往天上 呀﹗像那天鳥傲翔 呀﹗那裡充滿希望﹗
Alors prenons la règle d'Olivier avec le verbe vendre :
- il s'est vu vendre des légumes (il a fait un rêve où il vendait des légumes)
- il s'est vu vendu à XYZ (un esclave vient de voir qu'il a été vendu à XYZ)
(un peu bizarre j'avoue...)
donc dans ce cas je mettrai -é
- il s'est vu vendre des légumes (il a fait un rêve où il vendait des légumes)
- il s'est vu vendu à XYZ (un esclave vient de voir qu'il a été vendu à XYZ)
(un peu bizarre j'avoue...)
donc dans ce cas je mettrai -é
A+ les cactus !
A izza i ana sacranou
Askaratni kaasoun kaasoun khalidah
Ana mal' anou bihoubbinn raasikhinn
Lan yatroukani abada...
A izza i ana sacranou
Askaratni kaasoun kaasoun khalidah
Ana mal' anou bihoubbinn raasikhinn
Lan yatroukani abada...
Pas si évident...
"Par ailleurs, il y a des cas où, lorsque l’on écrit, il est possible d’opter soit pour l’infinitif, soit pour le participe passé, certains contextes se prêtant à la double interprétation. Tout dépend alors du sens que veut donner l’auteur à sa phrase. Souhaite-t-il mettre en évidence l’action elle-même, ce sera l’infinitif qu’il devra employer. Au contraire, veut-il davantage souligner le résultat de cette action, il utilisera alors le participe passé.
Ainsi, on pourra dire :
« Il se sent envahi par le papier alors que son travail d’analyse est à peine commencé. »
ou
« Il se sent envahir par le papier alors que son travail d’analyse est à peine commencé. »
De même, on pourra dire :
« Elles se voient rappelées à l’ordre. » La phrase signifie : elles sont rappelées à l’ordre par quelqu’un. L’accent est mis sur le résultat de l’action de rappeler à l’ordre.
ou encore
« Elles se voient rappeler à l’ordre », c’est-à-dire : on rappelle à l’ordre ces personnes. L’accent est mis sur l’action de rappeler à l’ordre.
Par ailleurs, il y a des cas où, lorsque l’on écrit, il est possible d’opter soit pour l’infinitif, soit pour le participe passé, certains contextes se prêtant à la double interprétation. Tout dépend alors du sens que veut donner l’auteur à sa phrase. Souhaite-t-il mettre en évidence l’action elle-même, ce sera l’infinitif qu’il devra employer. Au contraire, veut-il davantage souligner le résultat de cette action, il utilisera alors le participe passé.
Ainsi, on pourra dire :
« Il se sent envahi par le papier alors que son travail d’analyse est à peine commencé. »
ou
« Il se sent envahir par le papier alors que son travail d’analyse est à peine commencé. »
De même, on pourra dire :
« Elles se voient rappelées à l’ordre. » La phrase signifie : elles sont rappelées à l’ordre par quelqu’un. L’accent est mis sur le résultat de l’action de rappeler à l’ordre.
ou encore
« Elles se voient rappeler à l’ordre », c’est-à-dire : on rappelle à l’ordre ces personnes. L’accent est mis sur l’action de rappeler à l’ordre.
http://www.oqlf.gouv.qc.ca/ressources/b ... /758a.html
"Par ailleurs, il y a des cas où, lorsque l’on écrit, il est possible d’opter soit pour l’infinitif, soit pour le participe passé, certains contextes se prêtant à la double interprétation. Tout dépend alors du sens que veut donner l’auteur à sa phrase. Souhaite-t-il mettre en évidence l’action elle-même, ce sera l’infinitif qu’il devra employer. Au contraire, veut-il davantage souligner le résultat de cette action, il utilisera alors le participe passé.
Ainsi, on pourra dire :
« Il se sent envahi par le papier alors que son travail d’analyse est à peine commencé. »
ou
« Il se sent envahir par le papier alors que son travail d’analyse est à peine commencé. »
De même, on pourra dire :
« Elles se voient rappelées à l’ordre. » La phrase signifie : elles sont rappelées à l’ordre par quelqu’un. L’accent est mis sur le résultat de l’action de rappeler à l’ordre.
ou encore
« Elles se voient rappeler à l’ordre », c’est-à-dire : on rappelle à l’ordre ces personnes. L’accent est mis sur l’action de rappeler à l’ordre.
Par ailleurs, il y a des cas où, lorsque l’on écrit, il est possible d’opter soit pour l’infinitif, soit pour le participe passé, certains contextes se prêtant à la double interprétation. Tout dépend alors du sens que veut donner l’auteur à sa phrase. Souhaite-t-il mettre en évidence l’action elle-même, ce sera l’infinitif qu’il devra employer. Au contraire, veut-il davantage souligner le résultat de cette action, il utilisera alors le participe passé.
Ainsi, on pourra dire :
« Il se sent envahi par le papier alors que son travail d’analyse est à peine commencé. »
ou
« Il se sent envahir par le papier alors que son travail d’analyse est à peine commencé. »
De même, on pourra dire :
« Elles se voient rappelées à l’ordre. » La phrase signifie : elles sont rappelées à l’ordre par quelqu’un. L’accent est mis sur le résultat de l’action de rappeler à l’ordre.
ou encore
« Elles se voient rappeler à l’ordre », c’est-à-dire : on rappelle à l’ordre ces personnes. L’accent est mis sur l’action de rappeler à l’ordre.
http://www.oqlf.gouv.qc.ca/ressources/b ... /758a.html
Ah oui il y a aussi ce sens-là, mais moi je parlais du sens "passif", il s'est vu... = il s'est fait... (refiler des légumes) = on lui a vendu des légumesiubito wrote:- il s'est vu vendre des légumes (il a fait un rêve où il vendait des légumes)
Bon sinon, si les deux sont possibles domanlai pourra choisir ce qu'elle préfère

-- Olivier
Se nem kicsi, se nem nagy: Ni trop petit(e), ni trop grand(e):
Éppen hozzám való vagy! Tu es juste fait(e) pour moi!
Éppen hozzám való vagy! Tu es juste fait(e) pour moi!