
Bon, bin, juste un épilogue : l'écran a fini par me lâcher
complètement au plein milieu du mois de juin, évidemment au
pire moment possible : truc très important à taper pour les élèves, mémoire de recherche à rendre, notes à rentrer pour l'avant-veille dernier délai....
Donc, nouvel ordi racheté en catastrophe, toujours un Toschiba Satellite (non, je n'ai pas d'action chez eux...), et zou un mois de salaire

... Réinstallation d'urgence des logiciels les plus importants, et "on verra plus tard" pour tout le reste... Je commence à peine à finir l'installation du nouveau.
Evidemment, la plaisanterie ne serait pas parfaite si, revenu entretemps chez môman dans l'espoir d'utiliser son écran pour transvaser depuis l'ancien (qui, écran mis à part, restait en parfait état de fonctionnement), je n'avais pas eu la suprise de voir l'ancien écran fonctionner de nouveau parfaitement, alors que 10 jours ininterrompus de panne m'avaient convaincu de son décès...
La panne intermittente (celle qui n'a jamais lieu devant le revendeur) est déjà un gag en soi, mais la résurrection intermittente, c'est du lourd.
Cela étant, je ne regrette rien : je ne peux de toute façon pas fonctionner avec un écran susceptible de se blaquaouter sans crier gare ; il a tenu six ans sans panne, ce qui pour un portable est remarquable (au regard du traitement que je lui ai infligé...) ; le nouveau est très bien (tout petit, très léger... Et malgré tout moins cher que le précédent à qualité égale, le monde a changé !) ; je garde le précédent comme complément, une sorte de méga-clef USB - au besoin, je m'acheterai un écran pour continuer de l'utiliser comme "non-portable".
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)