Ces choses qui nous énervent
- Chrysopale
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Pas vraiment un truc qui m'énerve, mais ou poster d'autre... soirée déprime ce soir...
A croire qu'ils se sont donné le mot ce soir pour tous me rappeler mon grand-père décédé (suicide, il y a un an et demi, et j'ai encore parfois du mal).
Le pire, c'est qu'ils ne savent pas, c'est vraiment pas exprès (et aucuns des 3 ne se connaissent).
Coïncidences, quand tu nous tiens... je viens de revivre en pensée la pire soirée de ma vie... je pense que je vais aller me coucher moi...
A croire qu'ils se sont donné le mot ce soir pour tous me rappeler mon grand-père décédé (suicide, il y a un an et demi, et j'ai encore parfois du mal).
Le pire, c'est qu'ils ne savent pas, c'est vraiment pas exprès (et aucuns des 3 ne se connaissent).
Coïncidences, quand tu nous tiens... je viens de revivre en pensée la pire soirée de ma vie... je pense que je vais aller me coucher moi...
Gestes machinaux
Ce soir...
J'avais envie de passer une soirée calme, bien calé dans un fauteuil. Alors voilà, j'ai tout préparé pour que cela se passe au mieux. J'ai préparé mon repas du soir, tranquille, à l'aise... Et le téléphone à sonné. Ma petite maman qui s'inquiétait de son fils-qu'elle-n'avait-plus-vu-depuis-la-nuit-des-temps. Bon, je suis passé chez elle samedi, on est mardi soir... la nuit des temps n'est pas si longue qu'on le prétend, finalement.
Enfin bref, peu importe le motif pour lequel elle appelait. Elle avait envie de m'entendre et elle a trouvé n'importe quel prétexte pour le faire. Elle n'en a pas besoin, mais elle le fait chaque fois. C'est comme cela et je ne la changerai pas. Parfois elle m'agace, au téléphone, et parfois pas.
Tout en lui parlant, je continuais de préparer le repas. Il faisait chaud dans l'appartement, et j'ai voulu brancher le ventilateur. C'est un modèle récent, à télécommande. C'est pratique. A condition, bien sûr, de trouver la télécommande rapidement... mais je n'avais aucune idée d'où je l'avais déposée la dernière fois que je l'ai utilisée. Hier... ou avant-hier. Et comme je discutais au téléphone, je n'arrivais pas à me concentrer sur l'endroit où je l'avais laissée.
Finalement, j'ai arrêté de chercher, et je suis allé brancher ce ventilo de façon classique, manuellement, quoi.
Ca sentait le brûlé... bien sûr, mon repas qui happait au fond de la casserole. Quand on abandonne quelque chose sur le feu... J'ai raccroché en catastrophe et je suis allé sauver ce qui pouvait encore l'être. Hum... les roulades de jambon gratinées au céleri allaient être des roulades de céleri gratinées, certes, mais sans sauce blanche, plus assez de lait que pour en repréparer... Juste assez pour le café de demain matin.
Soit... tout le plaisir du palais perdu dans un coup de feu. Dommage. Mais bon, pas de quoi faire un fromage, non plus hein. J'ai branché la télévision. Histoire de regarder le programme possible de la soirée. Je venais à peine de tomber sur la grille de programmes que la sonnerie de l'entrée s'est mise à tintinabuler. J'attends l'agent de quartier qui doit venir acter du fait que je suis bien domicilié ici. Il devait passer dans les quinze jours, mais cela fait deux mois que je crèche ici et que je ne l'ai pas encore vu. Bref, je n'avais pas envie de le rater, trop de choses administratives dépendent de sa visite, et je me suis précipité pour aller ouvrir la porte. Pas de bol, c'était l'ancien locataire qui souhaitait savoir si je n'avais plus reçu de courrier pour lui. Nous avons vérifié ma boîte aux lettres et j'en ai profité pour récupérer quelques factures.
Tiens cela me faisait penser qu'il fallait que je passe un coup de fil à ma fille. Elle est partie s'installer en France récemment, et j'ai reçu un courrier urgent pour elle... Il était nécessaire que je sache si je pouvais ouvrir l'enveloppe pour éventuellement parer au plus pressé. Où était le téléphone, déjà ? Pas dans le séjour, bien sûr... Ah, tiens, la télécommande du ventilo était planquée sous le coussin d'un des fauteuils. Et la télévision s'est mise à brailler soudainement. Zut... j'ai laissé la télécommande de la télé sur la boîte aux lettres. Je suis allé la rechercher, j'avais dû la déposer là tout en discutant avec mon visiteur.
Ah oui... appeler ma fille. Voyons... ce téléphone... il ne devait pas être loin, j'avais parlé à maman. Ah... ca y est, je l'ai jeté, plus que je ne l'ai déposé sur le plan de travail de la cuisine.
Je pense que vous voyez tout doucement où je veux en venir... je n'ai pas cessé de faire la chasse au téléphone et aux télécommandes de toute la soirée. Enfin... jusque maintenant. La soirée n'est pas finie.
Mais là, je suis paré. Toutes les commandes sont alignées sur la table du salon, le téléphone aussi. J'ai pris de quoi me désaltérer, mon tabac est à portée de main et je n'attends plus personne.
Je m'installe confortablement... C'est quoi cette sonnerie ? M.... ! Mon portable ! Dans la poche de ma veste... pendue dans le couloir d'entrée....
Ce soir...
J'avais envie de passer une soirée calme, bien calé dans un fauteuil. Alors voilà, j'ai tout préparé pour que cela se passe au mieux. J'ai préparé mon repas du soir, tranquille, à l'aise... Et le téléphone à sonné. Ma petite maman qui s'inquiétait de son fils-qu'elle-n'avait-plus-vu-depuis-la-nuit-des-temps. Bon, je suis passé chez elle samedi, on est mardi soir... la nuit des temps n'est pas si longue qu'on le prétend, finalement.
Enfin bref, peu importe le motif pour lequel elle appelait. Elle avait envie de m'entendre et elle a trouvé n'importe quel prétexte pour le faire. Elle n'en a pas besoin, mais elle le fait chaque fois. C'est comme cela et je ne la changerai pas. Parfois elle m'agace, au téléphone, et parfois pas.
Tout en lui parlant, je continuais de préparer le repas. Il faisait chaud dans l'appartement, et j'ai voulu brancher le ventilateur. C'est un modèle récent, à télécommande. C'est pratique. A condition, bien sûr, de trouver la télécommande rapidement... mais je n'avais aucune idée d'où je l'avais déposée la dernière fois que je l'ai utilisée. Hier... ou avant-hier. Et comme je discutais au téléphone, je n'arrivais pas à me concentrer sur l'endroit où je l'avais laissée.
Finalement, j'ai arrêté de chercher, et je suis allé brancher ce ventilo de façon classique, manuellement, quoi.
Ca sentait le brûlé... bien sûr, mon repas qui happait au fond de la casserole. Quand on abandonne quelque chose sur le feu... J'ai raccroché en catastrophe et je suis allé sauver ce qui pouvait encore l'être. Hum... les roulades de jambon gratinées au céleri allaient être des roulades de céleri gratinées, certes, mais sans sauce blanche, plus assez de lait que pour en repréparer... Juste assez pour le café de demain matin.
Soit... tout le plaisir du palais perdu dans un coup de feu. Dommage. Mais bon, pas de quoi faire un fromage, non plus hein. J'ai branché la télévision. Histoire de regarder le programme possible de la soirée. Je venais à peine de tomber sur la grille de programmes que la sonnerie de l'entrée s'est mise à tintinabuler. J'attends l'agent de quartier qui doit venir acter du fait que je suis bien domicilié ici. Il devait passer dans les quinze jours, mais cela fait deux mois que je crèche ici et que je ne l'ai pas encore vu. Bref, je n'avais pas envie de le rater, trop de choses administratives dépendent de sa visite, et je me suis précipité pour aller ouvrir la porte. Pas de bol, c'était l'ancien locataire qui souhaitait savoir si je n'avais plus reçu de courrier pour lui. Nous avons vérifié ma boîte aux lettres et j'en ai profité pour récupérer quelques factures.
Tiens cela me faisait penser qu'il fallait que je passe un coup de fil à ma fille. Elle est partie s'installer en France récemment, et j'ai reçu un courrier urgent pour elle... Il était nécessaire que je sache si je pouvais ouvrir l'enveloppe pour éventuellement parer au plus pressé. Où était le téléphone, déjà ? Pas dans le séjour, bien sûr... Ah, tiens, la télécommande du ventilo était planquée sous le coussin d'un des fauteuils. Et la télévision s'est mise à brailler soudainement. Zut... j'ai laissé la télécommande de la télé sur la boîte aux lettres. Je suis allé la rechercher, j'avais dû la déposer là tout en discutant avec mon visiteur.
Ah oui... appeler ma fille. Voyons... ce téléphone... il ne devait pas être loin, j'avais parlé à maman. Ah... ca y est, je l'ai jeté, plus que je ne l'ai déposé sur le plan de travail de la cuisine.
Je pense que vous voyez tout doucement où je veux en venir... je n'ai pas cessé de faire la chasse au téléphone et aux télécommandes de toute la soirée. Enfin... jusque maintenant. La soirée n'est pas finie.
Mais là, je suis paré. Toutes les commandes sont alignées sur la table du salon, le téléphone aussi. J'ai pris de quoi me désaltérer, mon tabac est à portée de main et je n'attends plus personne.
Je m'installe confortablement... C'est quoi cette sonnerie ? M.... ! Mon portable ! Dans la poche de ma veste... pendue dans le couloir d'entrée....
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Les fleurs poussent même dans les cimetières
Les fleurs poussent même dans les cimetières
- Maïwenn
- Modératrice Arts & Litté.
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- Joined: 14 Nov 2003 17:36
- Location: O Breiz ma bro
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Et ce matin, ton réveil a bien sonné comme il fallait ?
Paradoxalement, le bureau le plus nul en communication ici, c'est 'Information". J'ai déjà eu des soucis avec eux, mais aujourd'hui c'est le comble. J'assiste à une réunion avec leur chef. Il me donne un planning. Comme je dois le transmettre à une vingtaine de mes profs et étudiants, je lui demande de me l'envoyer par mail. Il me dit de contacter Mlle T à son bureau, c'est elle qui l'a. Parfait, j'appelle Mlle T. Elle propose de me le faxer. "Non, ça m'arrange pas, je veux un mail". Ah, pas possible, faut demander le fichier.... au chef.
Ma secrétaire m'a proposé de tout retaper (c'est en thaï). Laisse tomber, je vais prendre une photo de la feuille en question, ça ira plus vite.
Paradoxalement, le bureau le plus nul en communication ici, c'est 'Information". J'ai déjà eu des soucis avec eux, mais aujourd'hui c'est le comble. J'assiste à une réunion avec leur chef. Il me donne un planning. Comme je dois le transmettre à une vingtaine de mes profs et étudiants, je lui demande de me l'envoyer par mail. Il me dit de contacter Mlle T à son bureau, c'est elle qui l'a. Parfait, j'appelle Mlle T. Elle propose de me le faxer. "Non, ça m'arrange pas, je veux un mail". Ah, pas possible, faut demander le fichier.... au chef.

Penn ar Bed
The end of the land
Le commencement d'un monde
The end of the land
Le commencement d'un monde
Ne me jette pas le mauvais oeil, tu veux ! Tu sais bien que les horloges et moi... c'est pas le grand amour. J'en ai déjà parlé quelque part ailleurs sur ce forum, me semble.Maïwenn wrote:Et ce matin, ton réveil a bien sonné comme il fallait ?
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Les fleurs poussent même dans les cimetières
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la poste belge et française (laquelle ?) qui met 15 jours à acheminer un petit colis.
colis envoyé en belgique, arrivé au bout de 2 jours.
Retour après réparation, parti le 1er juillet, arrivé le 16.
Le gars a expédié en même temps un colis pour la Chine et pour la Grèce... ils sont arrivés avant le mien !
colis envoyé en belgique, arrivé au bout de 2 jours.
Retour après réparation, parti le 1er juillet, arrivé le 16.
Le gars a expédié en même temps un colis pour la Chine et pour la Grèce... ils sont arrivés avant le mien !
A+ les cactus !
A izza i ana sacranou
Askaratni kaasoun kaasoun khalidah
Ana mal' anou bihoubbinn raasikhinn
Lan yatroukani abada...
A izza i ana sacranou
Askaratni kaasoun kaasoun khalidah
Ana mal' anou bihoubbinn raasikhinn
Lan yatroukani abada...
Violence gratuite.
Moi, c’est fini... je ne m’attable plus à une terrasse, l’été, quand le temps ne sait s’il est à l’orage ou non. Les gens sont nerveux, tendus, et le moindre fait anodin déclenche un drame. Je vous prend à témoins : j’ai subi une aggression et je crains d’en garder des séquelles.
Je suis allé travailler à pied, hier... ma voiture est au garage, une courroie d’alternateur claquée qui a provoqué des dégâts aux soupapes. Je vous fais grâce des détails, d’autant que vous n’allez pas devoir payer la facture.
Bref... je suis donc allé travailler à pied.
En rentrant du travail, le temps était vraiment bizarre, pas vraiment à l’orage, mais pas vraiment beau non plus. Difficile à expliquer. Il faisait lourd et agréable en même temps. Et il faisait chaud, en tous cas. Arrivé à la gare, j’étais en nage.
J’ai hésité un moment... qu’allais-je faire ? Prendre un bus pour rentrer chez moi ? Ou user mes semelles pour les deux malheureux kilomètres qu’il me restait à parcourir ? Je me posais cette question tout en balayant la place du regard. L’arrêt de bus jouxtait une terrasse de café. Le soleil dardait ses rayons sur cet oasis de tranquilité bordé de bacs de fleurs aux couleurs vives. Les gens y étaient attablés et semblaient sereins. Quel monde y avait-il, là ? Trente ? Quarante personnes ? Je ne saurais le dire, mais, à ce moment, tout semblait calme.
Ca peut paraître hors de propos, mais c’est ce qui a déclenché les événements de la soirée. Pour un euro soixante, le prix d’un trajet en bus, je me suis dit que je ferais mieux de rentrer à pied et de consacrer cette somme à une consommation, le temps d’un plaisir tranquille : l’appel de la terrasse, le soir, après le boulot.
J’étais attablé de quelques minutes, je commençais à déguster une bière spéciale, quand ils sont arrivés. Combien étaient-ils ? Trois ? Quatre ? Plus ? Ou moins ? Sérieusement, je ne saurais le dire. Je ne prêtais attention qu’au moment agréable que je passais. Pas plus que je ne saurais vous dire pour quelle raison ils m’ont pris pour cible, moi, plutôt que quelqu’un d’autre.
C’est comme cela, c’est la mentalité actuelle. Violence gratuite.
Ils ont commencé à osciller, çà et là, autour des tables de la terrasse. Sans doute cherchaient-ils qui ils allaient importuner. A s’approcher de jeunes femmes si près qu’ils les touchaient presque. Outrepassant, en tous cas, les limites de la bienséance.
Puis ils sont venus toiser ce cinquantenaire, leur nez taquinant le sien. Leurs yeux plongés dans les siens. Cet homme n’était pas rassuré, on sentait sa peur suinter de son corps. Mais ils ne lui ont rien fait. Non.
Soudainement, alors qu’ils ne m’avaient prêté aucune attention, jusque là, ils se sont jetés sur moi. Ils m’ont portés des coups, au visage, aux bras, un peu partout sur le corps, finalement. Me laissant pour mort. Au milieu de gens qui semblaient n’avoir rien remarqué.
Je vais garder des séquelles, c’est sûr...
J’arrête pas de me gratter. Quasi jusqu’au sang. Saletés de moustiques !
Moi, c’est fini... je ne m’attable plus à une terrasse, l’été, quand le temps ne sait s’il est à l’orage ou non. Les gens sont nerveux, tendus, et le moindre fait anodin déclenche un drame. Je vous prend à témoins : j’ai subi une aggression et je crains d’en garder des séquelles.
Je suis allé travailler à pied, hier... ma voiture est au garage, une courroie d’alternateur claquée qui a provoqué des dégâts aux soupapes. Je vous fais grâce des détails, d’autant que vous n’allez pas devoir payer la facture.
Bref... je suis donc allé travailler à pied.
En rentrant du travail, le temps était vraiment bizarre, pas vraiment à l’orage, mais pas vraiment beau non plus. Difficile à expliquer. Il faisait lourd et agréable en même temps. Et il faisait chaud, en tous cas. Arrivé à la gare, j’étais en nage.
J’ai hésité un moment... qu’allais-je faire ? Prendre un bus pour rentrer chez moi ? Ou user mes semelles pour les deux malheureux kilomètres qu’il me restait à parcourir ? Je me posais cette question tout en balayant la place du regard. L’arrêt de bus jouxtait une terrasse de café. Le soleil dardait ses rayons sur cet oasis de tranquilité bordé de bacs de fleurs aux couleurs vives. Les gens y étaient attablés et semblaient sereins. Quel monde y avait-il, là ? Trente ? Quarante personnes ? Je ne saurais le dire, mais, à ce moment, tout semblait calme.
Ca peut paraître hors de propos, mais c’est ce qui a déclenché les événements de la soirée. Pour un euro soixante, le prix d’un trajet en bus, je me suis dit que je ferais mieux de rentrer à pied et de consacrer cette somme à une consommation, le temps d’un plaisir tranquille : l’appel de la terrasse, le soir, après le boulot.
J’étais attablé de quelques minutes, je commençais à déguster une bière spéciale, quand ils sont arrivés. Combien étaient-ils ? Trois ? Quatre ? Plus ? Ou moins ? Sérieusement, je ne saurais le dire. Je ne prêtais attention qu’au moment agréable que je passais. Pas plus que je ne saurais vous dire pour quelle raison ils m’ont pris pour cible, moi, plutôt que quelqu’un d’autre.
C’est comme cela, c’est la mentalité actuelle. Violence gratuite.
Ils ont commencé à osciller, çà et là, autour des tables de la terrasse. Sans doute cherchaient-ils qui ils allaient importuner. A s’approcher de jeunes femmes si près qu’ils les touchaient presque. Outrepassant, en tous cas, les limites de la bienséance.
Puis ils sont venus toiser ce cinquantenaire, leur nez taquinant le sien. Leurs yeux plongés dans les siens. Cet homme n’était pas rassuré, on sentait sa peur suinter de son corps. Mais ils ne lui ont rien fait. Non.
Soudainement, alors qu’ils ne m’avaient prêté aucune attention, jusque là, ils se sont jetés sur moi. Ils m’ont portés des coups, au visage, aux bras, un peu partout sur le corps, finalement. Me laissant pour mort. Au milieu de gens qui semblaient n’avoir rien remarqué.
Je vais garder des séquelles, c’est sûr...
J’arrête pas de me gratter. Quasi jusqu’au sang. Saletés de moustiques !
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Les fleurs poussent même dans les cimetières
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Maïwenn wrote:Tu m'as fait peur Geache !


Même si j'ai souvent des idées pour écrire, je crains de ne pas avoir l'endurance suffisante pour m'attaquer à un roman.leelou wrote:Tu voudrais pas écrire des romans Geache ?
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Les fleurs poussent même dans les cimetières
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C'est bon... j'avoue que c'était un peu le but recherché.Maïwenn wrote:pas à l'agonie, mais je t'imaginais déjà taper ce texte avec des orteils, les deux bras plâtrés, le nez de travers, un poumon perforé et que sais-je encore !
@Kokoyaya : Les nouvelles me conviennent beaucoup mieux. L'histoire que j'ai en tête sur le moment peut être plus vite couchée sur papier. Un peu comme si j'avais besoin de m'en débarasser.
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