En fait, je crois que ce que j’aime, quand j’écris, c’est de tenter d’emmener celui qui me lit là où j’ai envie. Profiter de son imagination pour qu’il écrive presque lui-même l’histoire que je lui conte. Profiter de son vécu, même si ce n’est pas son vécu personnel... comment dirais-je... plutôt... son vécu ancestral. Du coup son esprit galope vers une fin inconsciemment connue et, au dernier moment, je lui fait un croche-pied, et je le ramène là où moi je voulais aller. Je n’y arrive pas toujours, mais dans le cas présent, il me semble que j’y suis bien parvenu.
Vos réactions m’ont bien amusé. Merci à vous d’avoir pris le temps de me lire.
Et... mon Dieu, j’espère que vous m’aurez pardonné d’avoir un peu monopolisé ce topic.
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Les fleurs poussent même dans les cimetières
une idée : si tu écris le texte en utilisant "elles" (comme ce sont les femelles moustiques qui piquent), à la place de "ils", je crois que ça aura encore plus de force. Imaginez un peu Geache tabassé par un gang de filles !
Penn ar Bed
The end of the land
Le commencement d'un monde
Ah c'est malin, tu m'as fait peur. Ne refais plus jamais ça !
En tous cas entre cette histoire de moustiques et ton histoire de téléphone/télécommane qui se perdent de l'autre jour, je constate comme les autres que tu as un sacré talent pour l'écriture, bravo !
Geache, j'ai lu tes posts des derniers jours avec grand plaisir.Tu as une très belle plume. Si jamais tu sors une nouvelle, n'oublie pas de prévenir, je serai enchantée de découvrir tes écrits.