
Ces choses qui nous énervent
Maïwenn wrote:ta cliente mauvaise payeuse ne travaillerait pas à l'URSSAF ?
Ouais, des fois, on se demande...
*
C'est vrai qu'en se moment tout me tombe dessus en même temps

M'enfin, vu que ma cliente a fini par payer, j'espère que c'est de bon augure pour mon histoire avec l'Urssaf...
*
arkayn wrote:Et l'URSSAF, si tu payes pas tout de suite, même un indu, te mettent vite les huissiers au popotin.
J'espère bien que ça ne va pas en arriver là...

Mais s'il le font, je suis tout de même assez confiante vu que je sais pertinemment que je suis dans mon droit et que j'ai conservé précieusement tous les justificatifs plus le double de tous mes courriers depuis le début

Maman disait toujours : La vie, c'est comme une boîte de chocolats ; on sait jamais sur quoi on va tomber...
Non mais oh ! C'est pas parce que des trucs y disparaissent et que d'autres y apparaissent que c'est une poubelle ma machine, non plus hein !Maïwenn wrote:J'ai perdu 2 chemisiers (un rouge et un blanc à rayures). Geache, s'ils apparaissent dans ta machine, fais-moi signe !!!
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Les fleurs poussent même dans les cimetières
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Les familles avec enfants se croient tout permis. Piscine dans une arrière court collective avec les gamins qui crient comme si on les égorgeaient. Si ça continue, il ne vont pas crier "comme si"...
edit: il est expressément interdit de mettre une piscine ou autre jeu à cet endroit pour des raisons de sécurité (dalle en béton légèrement inclinée) - les parents mettent leurs enfants en danger et emmerdent tout le monde.
Evidemment, d'autres font la même chose dans la rue et je me retrouve avec des cris stridents en stéréo de préadolescents sans aucun respect pour la collectivité. Franchement, les loyers sont moins chers en dehors du centre ville et c'est en Suisse presque mieux déservi par les transports en commus que la ville, alors du balais les familles, vous gagnerez du pouvoir d'achat.

edit: il est expressément interdit de mettre une piscine ou autre jeu à cet endroit pour des raisons de sécurité (dalle en béton légèrement inclinée) - les parents mettent leurs enfants en danger et emmerdent tout le monde.
Evidemment, d'autres font la même chose dans la rue et je me retrouve avec des cris stridents en stéréo de préadolescents sans aucun respect pour la collectivité. Franchement, les loyers sont moins chers en dehors du centre ville et c'est en Suisse presque mieux déservi par les transports en commus que la ville, alors du balais les familles, vous gagnerez du pouvoir d'achat.

- scapeghost
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Je savais pas qu'on habitait si près que ça l'un de l'autre, ElieElieDeLeuze wrote:Les familles avec enfants se croient tout permis. Piscine dans une arrière court collective avec les gamins qui crient comme si on les égorgeaient. Si ça continue, il ne vont pas crier "comme si"...![]()

J'ai les mêmes à côté de chez moi !
Y'en a un qui a une de ces voix


Maman disait toujours : La vie, c'est comme une boîte de chocolats ; on sait jamais sur quoi on va tomber...
J'sais pas trop ou mettre ce post... un peu de légèreté ou ces choses qui vous énervent ?
J'vous explique :
Mercredi, il faisait une chaleur torride dans l'appartement. J'habite au rez-de-chaussée, mais quand j'ai loué, je n'avais pas remarqué que l'appart était situé au-dessus du local de chaufferie. Or... la chaudière reste allumée pour alimenter les différents points d'eau de l'immeuble en eau chaude. Gasp !
Il faisait donc une chaleur lourde, oppressante, une sale chaleur d'avant orage, si vous voyez ce que je veux dire. Faisait vraiment trop chaud pour entreprendre de faire quoi que ce soit. J'avais ouvert les fenêtres en grand et je m'étais calé dans un fauteuil, pour rester tranquille devant la téloche.
Je ne regardais rien de particulier, rien en tous cas, susceptible d'accélérer mon rythme cardiaque.
J'ai commencé à avoir un peu mal dans le coude. Une petite douleur lancinante, mais pas insupportable. Puis mon bras a commencé à me donner une sensation de chaleur qui s'est vite étendue de la main à l'épaule puis s'est mise à gagner ma poitrine.
J'ai commencé à avoir sérieusement la frousse, craignant une crise cardiaque. D'autant que je m'étais mis à transpirer abondemment. Que ma respiration était devenue plus courte. J'ai formé le numéro des urgences, me suis pris une aspirine (histoire de liquéfier le sang sans trop de risques).
Les secours étaient là en moins de cinq minutes. Visiblement, au vu des examens immédiats qu'ils m'ont fait subir, des questions qu'ils m'ont posées, je ne m'inquiétais pas pour rien. Deux minutes après leur arrivée, je me retrouvai sur une civière, embarqué dans une ambulance et direction l'hosto.
Et vas-y que je te mette sous oxygène, et vas-y que je te mette des ventouses sur tout le corps.
Je ne sais pas trop bien pourquoi mais arrivé à l'hosto, la chaleur à commencé à s'estomper un peu partout pour complétement disparaître. Pareil pour la douleur lancinante dans le coude. J'étais presque honteux d'avoir dérangé l'ambulance, le médecin, l'équipe de secours.
Mais les infirmières ont été super sympas avec moi, très prévenantes même... trop peut-être (J'ai des suçons partout, partout... heureusement je suis célibataire, hein).
Enfin, bref, j'ai passé une nuit en observation, subit tous les tests cardiaques possible et imaginables pour m'entendre dire hier, que ce n'était rien du tout de cardiaque mais très probablement un gros coup de chaleur.
Well... c'est très bien tout cela mais les infirmières m'ont laissé tellement de marques que je n'ose plus sortir de chez moi ni me promener torse nu...
Faudrait quand même qu'ils inventent un système pour que leurs saletés de ventouses ne laissent pas autant de marques, non ?
J'vous explique :
Mercredi, il faisait une chaleur torride dans l'appartement. J'habite au rez-de-chaussée, mais quand j'ai loué, je n'avais pas remarqué que l'appart était situé au-dessus du local de chaufferie. Or... la chaudière reste allumée pour alimenter les différents points d'eau de l'immeuble en eau chaude. Gasp !
Il faisait donc une chaleur lourde, oppressante, une sale chaleur d'avant orage, si vous voyez ce que je veux dire. Faisait vraiment trop chaud pour entreprendre de faire quoi que ce soit. J'avais ouvert les fenêtres en grand et je m'étais calé dans un fauteuil, pour rester tranquille devant la téloche.
Je ne regardais rien de particulier, rien en tous cas, susceptible d'accélérer mon rythme cardiaque.
J'ai commencé à avoir un peu mal dans le coude. Une petite douleur lancinante, mais pas insupportable. Puis mon bras a commencé à me donner une sensation de chaleur qui s'est vite étendue de la main à l'épaule puis s'est mise à gagner ma poitrine.
J'ai commencé à avoir sérieusement la frousse, craignant une crise cardiaque. D'autant que je m'étais mis à transpirer abondemment. Que ma respiration était devenue plus courte. J'ai formé le numéro des urgences, me suis pris une aspirine (histoire de liquéfier le sang sans trop de risques).
Les secours étaient là en moins de cinq minutes. Visiblement, au vu des examens immédiats qu'ils m'ont fait subir, des questions qu'ils m'ont posées, je ne m'inquiétais pas pour rien. Deux minutes après leur arrivée, je me retrouvai sur une civière, embarqué dans une ambulance et direction l'hosto.
Et vas-y que je te mette sous oxygène, et vas-y que je te mette des ventouses sur tout le corps.
Je ne sais pas trop bien pourquoi mais arrivé à l'hosto, la chaleur à commencé à s'estomper un peu partout pour complétement disparaître. Pareil pour la douleur lancinante dans le coude. J'étais presque honteux d'avoir dérangé l'ambulance, le médecin, l'équipe de secours.
Mais les infirmières ont été super sympas avec moi, très prévenantes même... trop peut-être (J'ai des suçons partout, partout... heureusement je suis célibataire, hein).
Enfin, bref, j'ai passé une nuit en observation, subit tous les tests cardiaques possible et imaginables pour m'entendre dire hier, que ce n'était rien du tout de cardiaque mais très probablement un gros coup de chaleur.
Well... c'est très bien tout cela mais les infirmières m'ont laissé tellement de marques que je n'ose plus sortir de chez moi ni me promener torse nu...
Faudrait quand même qu'ils inventent un système pour que leurs saletés de ventouses ne laissent pas autant de marques, non ?
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Et tu ne veux pas y aller pour gagner du pouvoir d'achat ?ElieDeLeuze wrote:Franchement, les loyers sont moins chers en dehors du centre ville et c'est en Suisse presque mieux déservi par les transports en commus que la ville, alors du balais les familles, vous gagnerez du pouvoir d'achat.

Bon, moi les gamins qui font du bruit, ça me dérange pas trop, si c'est l'appart au-dessus, je mets de la musique et je les entends plus. Dehors ils ne me gênent pas non plus... par contre les 2 mecs qui fument du H dans le sous-sol, ou qui l'autre jour ont trouvé un chat dans l'escalier sous ma fenêtre (est-ce ce c*n qui est revenu chi** sur le palier ?) et pendant 1/2h le caresser et faire miaou miaou... là, juste sous ma fenêtre de chambre c'était un peu pénible.
A+ les cactus !
A izza i ana sacranou
Askaratni kaasoun kaasoun khalidah
Ana mal' anou bihoubbinn raasikhinn
Lan yatroukani abada...
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