C'est ma question, mes questions offertes au débat, mes demandes d'examen de solution, sachant juste que tout ce qui leur est offert en général est onéreux et donc limité! J'aimerais que soit évoqué cette question ici, car je crois qu'il a sa place! Et penser à eux aujourd'hui c'est la moindre des choses, et une force de propositions pour un nouveau défi à résoudre, afin que nous soyons plus en harmonie avec nos principes.
2) aux aveugles et aux sourds volontaires (ceux de "l'actualité", pouvoirs en place ou en devenir) qui nous oppressent ou nous menacent , nous opposons notre coeur et notre espérance pour le meilleur de l'esprit et de la parole, en cet espace de liberté et d'échange qui est le nôtre, et comment mieux dire à ceux-là notre refus de leur solution sinon par la voix d'un poète :
http://www.szoborpark.hu/turafvers.htm
J'espère que l'on remarquera qu'aux premiers, je mets une majuscule, et pas aux seconds. [La langue française est ainsi faite qu'il faut peu pour marquer une différence que le coeur et une attention, juqu'aux racines de l'être, opposent fondamentalement). Et cette différence et de taille pour la bonne compréhension de cette intervention!
Car à l'aube de cette nouvelle année

Soyons confiant en nos forces et que ce site où est promu la tolérance et l'échange soit l'outil qui nous aident à être vainqueurs de tout ce qui s'y oppose : voilà le voeux que je fais et que je suis sûr que beaucoup partagent! Bonne année à tous!
Et pour conclure, ce poème à mon sens rafraîchissant qui annonce déjà le printemps!
LES HIRONDELLES
Ouvre la porte, que le ciel
Du petit matin montre sa frimousse...
Qu'il nous lèche un peu comme un animal
De son souffle qui sent la mousse.
Ce petit monde, qu'il est beau!
Là-bas les vallées, ici notre hôtel.
Dans l'air cru d'en haut et dans la lumière
Notre balcon s'accroche au ciel.
Nuages... pins... viens près de moi.
Viens comme tu es. Vois, le soleil brille,
Et qui peut te voir ? Mais les hirondelles!
Et c'est alors qu'elles babillent
Et vont tourner dans le ciel,
Plus que jamais ivres, plus éclatantes
Et feront tourner la planète aveugle,
Celle du temps, la scintillante
Dont vont pouvoir nous arracher,
S'élançant encor, s'élançant toujours,
Enchaînées dans un seul enchaînement,
Nos étreintes, mon bel amour...
Gyula Illyès (poète hongrois 1902 - 1983)
[Adaptation de Guillevic, publiée dans la Collection "Poètes d'aujourd'hui" - Éditions Seghers 1966]
