[Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."

[Anuanua]

Je sens encore, c'que je peux rêver
J'ai là ta joue serrée contre ma joue
J'entends le train partir pour je ne sais où
Je sais que je ne pourrai pas t'oublier

Ça fait longtemps déjà
Tu m'as peut-être oublié
Et moi je suis toujours là
À caresser le passé

Si c'était à recommencer
Je t'aimerais tout autant
Je suis comme les giroflées
Je penche du côté du vent

Jean-Pierre Ferland (enrore) : "Ça fait longtemps déjà"
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PS : Merci Anuanua, c'est une ode à mon Finistère natal

'Comprends pas... Parles-tu des paroles du roi lion?

[Maïwenn]

Savez-vous les gars, danser danser la polka ?
Savez-vous valser, la mer va vous faire danser.

Le vent qui souffle de partout accorde son biniou
Il n'savait pas beaucoup d'refrain mais ils sont tous marins.

Chant de marin traditionnel - La polka



Ah non, j'ai cru que tu parlais de ma signature

[Anuanua]

Faut savoir que la goélette, c'est la goélette!
C'est pas la goélette à bois...
Celle-là avait fait naufrage juste devant chenou il y a vingt ans
Mon père trouvait donc ça triste de voir se perdre tout ce beau bois...
Depuis, nous avons un bin belle remise...
Non : c'était pas la goélette à morue non plus
Celle-là,on la sentait venir de loin.
Non : la goélette, c'était la goélette!
Et faut vous dire qu'y avait des sacrés bons marins!
Le capitaine avait ses cinq gallons
Le second en avait quatre
Le plus petit officier en avait au moins un
Et le moindre moussaillon avait au moins son quarante onces!

Gilles vigneault : "La goélette"
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PS : Merci Anuanua, c'est une ode à mon Finistère natal

Ah non, j'ai cru que tu parlais de ma signature

Euh... je croyais que tu étais thaï...

[joey]

Dites moi combien d'amants se sont aimés
Cachés dans vos alcôves
Doucement, violemment, riches ou pauvres
Clique fauve, nuit folles, miradors de la faune
Profondes racines, de ces lignes, qui coupent nos paumes
Combien d'affiches vous ont sali
Comme si votre âme était a vendre
Ont-ils une once de rectitude
Droits, murs, témoins de ma sombre solitude
Savent bien, qu'on peut devenir con par habitude

IAM : Murs

[Anuanua]

Pourtant je l'ai laissé partir sans faire un geste
Il m'a dit : "C'était pas si mal"
Avec la candeur infernale de sa jeunesse

J'ai mis de l'ordre à mes cheveux
Un peu plus de noir sur mes yeux
Par habitude
J'avais oublié simplement
Que j'avais deux fois
Dix huit ans.

Dalida : "Il venait d'avoir dix huit ans"

[Maïwenn]

J'en ai assez faut bien qu'j'te l'dise
Tu m'exaspères, tu m'tyrannises
Je subis ton sale caractère
Sans oser dire que t'exagères
Oui t'exagères, tu l'sais maint'nant
Parfois je voudrais t'étrangler
Dieu que t'as changé en cinq ans
Tu l'laisses aller, tu l'laisses aller

Ah ! Tu es belle à regarder
Tes bas tombant sur tes chaussures
Et ton vieux peignoir mal fermé
Et tes bigoudis quelle allure
Je me demande chaque jour
Comment as-tu fait pour me plaire ?

Aznavour - Tu t'laisses aller

[Anuanua]

You are the one for me
For me, for me, formidable
But how can you see me,
See me, see me, si minable
Je ferais mieux d'aller choisir mon vocabulaire
Pour te plaire
Dans la langue de Molière

Aznavour encore : "You are the one for me formidable"

Tu es celle celle qu'il me faut
À moi, à moi, outstanding
Mais comment peux-tu me voir
Me voir, moi so petty
I'd better choose my words
To please you
In the language of Soft yesterday

(Il fallait traduire, quoi...
...au cas où ça ne serait pas le jour de bonté d'Isis )

[joey]

c'est la langue de Molière
de Brahim et Kader
parfois langue de pute
quand ma bouche a bu
c'est du son qui bute
avec des mots courts et rudes
et toujours langue de bois
quand le discours est bourgeois
c'est le sel du quartier qui roule sur le bitume
chaude comme la braise elle tire a boulet rouge
c'est la langue qui traine c'est l'argot du XI.
c'est la main du mendiant qui réclame la tienne

La Phaze : La Langue

[Anuanua]

Bardot peu aligner les siennes
Ta façon de montrer les tiennes
Ne me déplaît pas...

Jean Ferrat : "Hommage à Brassens"

[Maïwenn]

Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes
A trop vouloir te regarder
J'en oubliais les miennes
On rêvait de Venise et de liberté

Francis Cabrel - L'encre de tes yeux

[Isis]

Quitte à tout prendre prenez mes gosses et la télé,
Ma brosse à dent mon revolver la voiture ça c'est déjà fait,
Avec les interdits bancaires prenez ma femme, le canapé,
Le micro onde, le frigidaire,
Et même jusqu'à ma vie privée
De toute façon à découvert,
Je peux bien vendre mon âme au Diable,
Avec lui on peut s'arranger,
Puisque ici tout est négociable, mais vous n'aurez pas,
Ma liberté de penser.

Florent Pagny - Ma liberté de penser

[svernoux]

Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne crois pas que tes souvenirs me gênent
Et cours, cours jusqu'à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m'aimes
Et si ce jour-là tu as de la peine
A trouver où tous ces chemins te mènent
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S'installe en toi
Pense à moi

France Gall - Message personnel

[Maïwenn]

Moi je m'appelle Lolita
Lo ou bien Lola
Du pareil au même
Moi je m'appelle Lolita
Quand je rêve aux loups
C'est Lola qui saigne

Alizée - Moi... Lolita

[svernoux]

C'est le tango du vengeur
Du killer amnésique et mis de côté
Il a du vague à l'âme
La vengeance est un plat fait
Pour les anorexiques
Foxa saigne
Je l'ai lu dans un livre
Pour moi c'est plus la peine

Billy ze Kick - Foxa

[Maïwenn]

Et si tu passes par là dans
Ton camion benne
Ne me ramasse pas,
C'est plus la peine

Dix heures, tu m'as laissé
Tout seul du mauvais côté
Dix heures, j'ai pas la clé,
Tombée, tombée

Gérald de Palmas - Tomber